LES SEINS DE L'AMAZONE
Par lucath
AVERTISSEMENT (NDT) :
Xena, Gabrielle et les autres appartiennent à MCA/Universal. Cette histoire contient des scènes d'amour très explicites entre deux femmes adultes consentantes. Si ce genre d'histoire ne vous plaît pas ou si elle est illégale dans le pays où vous vivez, merci d'aller ailleurs trouver quelque chose qui vous convienne.
Vous pouvez m'écrire à cette adresse (en anglais uniquement) :
lucath@oocities.com
****************************************************************************
Le corps nu et huilé de Gabrielle ployait et tournoyait dans la lumière du feu alors que Xena, ointe de la même façon, regardait et fredonnait un chant traditionnel pour accompagner la danse de son amante.
Les yeux de la jeune femme étaient clos ; elle faisait onduler son corps musclé et souple devant Xena. Elle ne l'entendit pas se mettre silencieusement sur ses pieds et, d'un pas de ses jambes incroyablement longues, venir derrière elle, l'envelopper de ses bras et mettre ses mains sur ses seins pleins et en caresser les tétons de ses longs doigts habiles.
Gabrielle continua à tourner en suivant la chanson de Xena et, les yeux toujours clos, posa sa tête aux cheveux de lin sur l'épaule luisante de la grande femme, le parfum fort et chaud des huiles de massage emplissait ses sens. Avec les herbes spéciales et les plantes qu'elles avaient ajoutées au feu de camp, Gabrielle commençait à se sentir légèrement droguée.
Les mains de Xena glissèrent sur le ventre plat de la jeune femme et commencèrent à faire tournoyer les doigts dans la douceur de son pubis - Gabrielle gémit légèrement et plia un peu les genoux pour permettre au doigt de Xena de glisser dans sa fente déjà frémissante et glissante, et de frotter le bourgeon érigé de son clitoris. Incapable de se concentrer sur la danse plus longtemps, elle se tourna dans les bras de Xena et leurs bouches se refermèrent l'une sur l'autre, affamées, leurs langues se mêlant, exigeantes, leurs dents cherchant quelque lèvre douce à mordiller. Haletant pour trouver de l'air, Gabrielle tomba à genoux devant son amante merveilleusement nue dont le corps souple et luisant brillait comme du cuivre dans la douce lumière, et enfouit son visage entre ces superbes cuisses déjà trempées de ses propres fluides ; elle tint les hanches puissantes contre sa tête et goûta voracement de sa langue. Xena leva sa jambe sur l'épaule de Gabby, lui permettant ainsi de lécher son clitoris frissonnant et d'aspirer le doux nectar qui sourdait des profondeurs brûlantes de son corps et courait dans la bouche de la jeune femme, badigeonnant son visage et son cou et dégoulinant le long de ses seins lourds.
Xena arqua le dos contre un arbre alors qu'elle jouissait, son orgasme déferlant sur elles deux en massives vagues de choc, comme marquées au fer rouge et elle attira la tête de la jeune femme profondément entre ses jambes, sentant les dents blanches pousser durement dans sa petite chatte à fourrure sombre. Gabrielle était allongée sur le sol, entre les jambes de Xena, vibrant toujours de passion, avec son propre orgasme qui approchait, les cuisses mielleuses de son essence, jusqu'à ce qu'enfin elle sente la bouche de Xena se refermer sur sa vulve, la longue langue s'écrasant sur son clitoris et se frayant un chemin dans son vagin - incapable de le supporter plus longtemps, elle jouit avec la force d'un énorme barrage qui éclate ou de l'ancienne Xena, irréductible, descendant majestueusement dans ses pays conquis.
Soudain Xena prit conscience d'un bruit et, sautant sur ses pieds, elle fit un salto jusqu'au bord de la clairière où elle découvrit Ephiny qui avait regardé, effrayée de bouger, les yeux grand ouverts devant le plaisir de cet accouplement sauvage dont elle venait d'être témoin, son corps tremblant de désir.
"Ephiny, j'aurais pu te tuer, que fais-tu ici," rit Xena - "Ca en aurait valu la peine..." répliqua-t-elle, en plaisantant à moitié.
"Le petit (son bébé centaure) va dormir toute la nuit, maintenant et mes seins sont comme des volcans prêts à exploser et tout aussi durs !"
Xena comprit ce que voulait Ephiny. Petite fille, elle avait été nourrie au sein de la Reine Melosa elle-même, forgeant sa force au combat, grandissant plus que la plupart des mâles. Le lait des Amazones aux seins lourds était spécialement riche quand elles s'accouplaient avec des Centaures, les créatures grandissaient très vite, presque capables de se tenir debout juste après la naissance. Les jeunes Amazones partageaient le lait au sein de leurs sœurs de lait jusqu'à ce qu'elles aient grandi complètement, car elles savaient que cela augmentait leur force bien au-delà de celle des autres femelles, et de nombreux mâles. C'est comme cela qu'elles recevaient leur nom.
Gabrielle finit par remarquer que Xena était assise sur un rocher, face à Ephiny, maintenant nue, et qu'elle tétait tendrement les seins lourds qui pendaient. Une fois que le lait eut commencé à couler, il sortit en un flot continu non seulement le long de son ventre et entre ses jambes, mais aussi sur le menton de Xena et sa gorge et autour de ses propres seins ; de petits filets blancs dégoulinaient à travers les poils de son Mont de Vénus et à travers sa fente toujours brûlante. Leurs mains caressaient doucement les seins, dispersant les grosseurs dues au lait rassemblé et l'aidant à le faire sortir dans la bouche de Xena.
Gabrielle se retrouva elle-même à côté d'Ephiny qui caressait le marbre veiné de bleu de ses seins engorgés, imaginant la sensation d'allaiter son rejeton, l'intense sensation de nourrir le fruit de ses entrailles. Elle avait entendu Xena et Gabrielle parler des pratiques d'accouplement rituel des Amazones et des Centaures. Pendant des années, ils avaient été en guerre, mais depuis qu'ils avaient appris à vivre en harmonie ensemble, les Amazones plus anciennes apprenaient aux jeunes Centaures comment monter et copuler avec les femmes comparativement fragiles. La façon la plus simple était que la femme soit allongée sur une haute botte de foin et que le Centaure mâle passe plusieurs heures à tenir, à embrasser et à caresser la jeune femme en utilisant ses mains et sa bouche sur son vagin, pour s'assurer qu'il soit complètement ouvert, gonflé de passion et suffisamment large pour prendre aisément le membre de la largeur d'un poing du Centaure, sans blesser sa compagne Amazone.
Les jeunes filles rêvaient de leur compagnon Centaure. Elles n'étaient pas autorisées à s'accoupler avant d'avoir trente ans, parce qu'elles avaient besoin de parfaire leurs talents physiques sans être encombrées par une grossesse ni par les tétées, et elles avaient besoin d'être complètement adultes et sexuellement expérimentées pour profiter des rapports sexuels tumultueux avec un Centaure. Bien sûr, c'était normal pour eux de prendre des amantes femelles d'un âge très jeune. Elles faisaient souvent l'amour avec d'autres jeunes filles et d'autres femmes pour le plaisir, mais avec des hommes et des Centaures uniquement quand leur corps leur disait qu'elles voulaient se reproduire. Les jeunes filles jouaient les unes avec les autres et avec des courgettes, pour éduquer leur corps et étirer leur vagin durant l'orgasme, jusqu'à ce qu'elles puissent confortablement se fister l'une et l'autre. Au bout d'un certain temps, elles étaient des femmes bien mûres et ne pouvaient attendre d'être montées par leur Centaure préféré. Les Centaures eux-mêmes étaient pris de frénésie, attendant d'être choisis par les Amazones qui ressemblaient aux déesses, et ils se distrayaient et s'apprêtaient eux-mêmes en s'exerçant, en se préparant et en apprenant les arts subtils de l'amour, car les meilleurs amants n'étaient pas toujours les plus beaux. Le Centaure qui avait le plus de succès connaissait des poèmes pour faire fondre l'Amazone la plus endurcie, il connaissait des techniques sexuelles pour la conduire au délire, puis l'amener à l'orgasme avec juste un petit coup de langue, bien avant qu'ils ne commencent le coït et la pénétration avec son phallus.
Le mouvement de Xena ramena Gabrielle au présent avec un sursaut. Elle se mit debout et embrassa Ephiny, et Gabrielle sut que c'était pour qu'Ephiny profite de la valeur nutritive et de la saveur de son propre lait, alors Gabrielle commença aussi à prendre du lait des seins semblables à des gourdes et à le transférer dans la bouche d'Ephiny. Elle aimait Ephiny plus comme sa meilleure amie que comme son amante, mais ce jeu hautement érotique recommençait à éveiller ces tremblements de terre dans son pubis et elle contracta ses cuisses DUREMENT ensemble pour presser les tissus gonflés avant qu'ils ne soient sens dessus dessous. Elle remarqua qu'elle tétait de façon continue aux tétons durs d'Ephiny, sous le charme de la douceur de son lait, intoxiquée par le parfum de leurs corps en sueur. Ephiny était à terre et Xena commença à soulager sa vulve énorme en suçant et léchant le sexe en forme d'huître. Gabrielle, sans hésitation, se plaça sur le visage d'Ephiny, pour pouvoir recevoir le même genre de traitement que celui que Xena donnait et pour se soulager au moins de ces sensations qui semblaient avoir augmenté à un niveau plus haut de sensations.
A la fin, Xena prit l'objet d'ivoire en forme de croissant qui était près du feu et glissa le double gode à la taille exquise, ancienne et chaude entre les grandes lèvres séduisantes de Gabrielle; tendrement, elle manipula l'instrument à l'intérieur de son amante; doucement, elle la ramena à l'orgasme; avec ardeur, elle s'assit sur le fier jumeau sortant du corps bouillonnant de Gabrielle; avec un soulagement immense, elle sentit les chauds tissus organiques glisser à l'intérieur d'elle. Elle jouit. Elle chevaucha les hanches de son amante et elle jouit à nouveau. Ephiny était émue aux larmes, non pas par l'érotisme du moment, mais par l'amour sans nom et à couper le souffle et le désir qui passaient entre ces femmes, même dans les affres du plaisir sexuel sauvage.
Faible pour une fois, Xena roula sur le dos, amenant Gabrielle dans ses bras pour qu'elle repose entre ses jambes. Gabrielle, par une quelconque force primitive, commença instinctivement à faire des mouvements de pompe, les cuisses de Xena s'écartèrent encore plus largement; elle jouit, encore et encore; Gabrielle ne put plus se contenir - elle passa sa jambe au-dessus de celles de Xena et pressa durement sur le double gode et s'empala elle-même une fois de plus sur le membre dur et doux d'ivoire en érection sortant des cuisses magnifiques de Xena. Lao Ma avait appris à Xena beaucoup de choses à propos de la spiritualité, mais aussi beaucoup à propos de la chair. Elle avait appris à Xena qu'à côté de l'âme se trouvait la chair (elle cultivait celle de Xena !) dont nous nous occupons chaque jour - cette chair avait besoin de nourriture, d'amour, de considération et de tendresse.
Quand elle s'endormit dans les bras de Xena, ses lèvres se pressèrent sur cette gorge sculpturale, elle avait conscience des orgasmes qui résonnaient à travers le corps de Xena comme des raz-de-marée et des éclairs dans ses reins, alors qu'Ephiny mordillait légèrement les grandes lèvres de Xena et en suçait ses derniers fluides, en gratitude - et vénération.
FIN
Ecrit par lucath (lucath@oocities.com)
Traduit par Fausta (fausta88@yahoo.com), Paris, le 8 février 2000.
Tant de choses, mon cœur, me parlent de toi, de nous…