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BBP LABORATORY. PRESS RELEASES |
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Liberation du 20/21 NOVEMBRE 1999 - N° 2708 -page 6 Biodiversité, Technologie du vivant. Les deux faces d'un mode de développement du patrimoine végétal Les biotechnologies ou technologies du vivant englobent un ensemble de méthodes et techniques d'investigation, de culture et d'exploitation d'êtres vivants de type végétal, animal ou microbien. Elles peuvent être utilisées par l'homme pour satisfaire ses besoins d'ordre médical et alimentaire, en particulier. On en distingue des biotechnologies traditionnelles, utilisées depuis longtemps (fermentation, lutte biologique...), et des biotechnologies modernes reposant sur les technologies de l'ADN (acide désoxyribonucléique) recombiné (génie génétique). Dans ce dernier cas, une progression exponentielle des connaissances a été enregistrée au cours des 20 dernières années. Des répercussions sur le vivant deviennent inévitables et nécessitent préparation et mobilisation pour affronter l'avenir. Si la nature a créé une multitude d'espèces vivant sur terre avec chacune ses propres caractéristiques et ses capacités, elle a, d'autant plus, mis des barrières pour respecter les frontières des espèces en limitant au maximum l'interfertilité ou si cette dernière intervient, elle aboutira à des individus stériles. Avec les biotechnologies modernes, il est devenu possible de franchir ses barrières et modifier le génomes des espèces. De nouveaux organismes (organismes génétiquement modifiés ou OGM) sont, ainsi, obtenus avec de nouvelles potentialités. Si les nouveaux traits montrés par les OGM donnent satisfaction, ceux ci seront multipliés infiniment, et peut être au dépend d'espèces naturelles. En général, la biodiversité ou diversité biologique fait référence au nombre d'espèces vivant dans le monde et qui est estimé à environ 10 millions d'espèces dont, seulement, 1,4 millions d'espèces dénommées. En se limitant uniquement aux espèces végétales, le Maroc compte parmi les pays à biodiversité élevée, en considérant la richesse de sa flore qui est liée à la diversité de sa géographie physique. Néanmoins, des risques d'appauvrissement en biodiversité pèsent de plus en plus sur nos forêts et nos palmeraies, en particulier. De nos jours, l'une des questions les plus fréquemment posées concerne l'impact du développement rapide des biotechnologies sur la diversité biologique mondiale. Etant des techniques puissantes, les biotechnologies restent, avant tout, des outils que l'homme utilise à son gré. Elles peuvent être, de ce fait, considérées comme une 'arme à double tranchant' où on note, simultanément, des apports positifs jouant en faveur de l'augmentation et la conservation de la diversité biologique et des aspects négatifs tendant à l'anéantir. D'une
part, l'apport positif des biotechnologies, ne se limitant pas qu'aux
aspects d'évaluation rapide des ressources génétiques, concerne, en plus,
l'assainissement de plantes virosées et la micropropagation par culture
in vitro d'espèces vouées à la disparition. Le meilleur exemple est celui
du palmier dattier qui est soumis au Maghreb à plusieurs contraintes biotiques
(maladies dues aux agents pathogènes) et abiotiques (sécheresse, salinité).
La multiplication à grande échelle de cette plante pérenne ne peut être
réalisée que par la voie des biotechnologies végétales (culture in
vitro par organogenèse et embryogenèse).
Le Maroc
s'est rendu compte de cette nécessité. Des efforts significatifs ont été
déployés, dans ce but, par le domaine privé et les établissements de recherche
et de développement (Universités, Institut National de la Recherche Agronomique,
Offices de Mise en Valeur Agricole). La production de vitro-plants n'a
pas pu, malheureusement, satisfaire tous les besoins. Ainsi, le Maroc
n'a planté qu'environ 100000 vitro-plants entre 1987 et 1992 dans le cadre
d'un projet de plantation de 3 millions de palmiers entre 1987 et 2007.
Le déficit en matériel végétal peut être expliqué par la complexité de
la culture des tissus et de l'acclimatation de jeunes palmiers dattiers.
Des efforts supplémentaires restent encore à fournir pour réussir ce pari.
L'élargissement du champ de la biodiversité reste, également, l'un des apports positifs des applications biotechnologiques. En effet, les pratiques des cultures in vitro des tissus et des cellules peuvent être des sources de variabilité génétique importantes (variations somaclonales) touchant des changements au niveau du nombre et de la structure des chromosomes. Les traitements mutagènes peuvent, à leur tour, augmenter les chances des mutations. La combinaison d'individus génétiquement distants par hybridation somatique (fusion des protoplastes) permet l'obtention de nouveaux organismes. Un des exemples le plus connu est celui de la 'pomate', hybride entre la pomme de terre et la tomate. D'autre
part, la restriction du champ de la diversité biologique est aussi
une résultante probable des applications biotechnologiques. En effet,
même si l'exigence de productions homogènes industrialisables obtenues
par voie de la culture in vitro conforme, a fait le succès des biotechnologies,
elle aurait aussi entraîné le risque de perte de la diversité génétique
et la biodiversité, en général. Les réticences à l'application des
biotechnologies récentes commença à être ressenti à partir des années
70 alors que les chercheurs ont mis au point de nouvelles méthodes
permettant de combiner des segments d'ADN et de les transférer d'un
organisme à un autre. Ce fut alors la transgénèse et on commença à
toucher précisément aux problèmes de l'ambivalence des biotechnologies.
La différenciation de nouveaux organismes transformés était le point
de départ d'accusation par certains d'attenter aux propriétés naturelles
des espèces et donc à leur diversité ; alors que d'autres préconisent
que la transgénèse est une démarche par excellence pour accroître, artificiellement,
mais de façon durable, le spectre de la diversité par l'ajout de traits
héréditaires 'utiles'. Or, c'est cette 'utilité', misant sur des intérêts
économiques qui est taxée de méfiances et de soucis sur une éventuelle
perte de la biodiversité. De plus, les OGM sont qualifiés de 'perturbateurs'
des écosystèmes environnants, par échanges génétiques de certaines
de leurs caractéristiques (via la pollinisation) avec les espèces
sauvages et adventices apparentées. Rappelons qu'en 1992 plus de 400
essais en champ avaient été réalisés à petite échelle sur diverses
espèces végétales comme le coton, le maïs, la pomme de terre, le colza,
le riz, le soja et la. La première mise en ve d'une variété de créée
parvoie de génie génétique a eu lieu en 1994. Il s'agit d'une variété
de tomate améliorée sur le plan qualitatif. Etant un des pays producteurs
et exportateurs de la tomate, le Maroc a intérêt à défendre la qualité,
la diversité et l'originalité de ses produits dans ce secteur.
L'opinion internationale reste conscient des effets positifs
et négatifs des biotechnologies sur la biodiversité qui continuera
à précéder et conditionner un développement approprié de toutes les
applications, de la transgénèse à l'élevage et à l'agriculture. C'est
pour cette raison que la biodiversité a fait l'objet d'un premier
accord international à Rio en juillet 1992, dans le cadre de la
Convention
des Nations Unies sur l'Environnement et le Développement (CNUED)
qui a pour objectifs la conservation de la biodiversité, son utilisation
durable et le partage des avantages découlant de son exploitation.
M.BAAZIZ Université Cadi Ayyad, Marrakech ----------------------------------------- LE MATIN DU SAHARA ET DU MAGHREB, Jeudi 21 Janvier 1999-N° 10.226 Le palmier dattier (Phoenix dactylifera L.) est une plante pérenne citée dans plusieurs versets du Coran, comme celui de la sourate Al Bakarat :’L’un de vous aimerait-il avoir un jardin de dattiers et de vignes sous lesquels coulent les ruisseaux, et où pousse pour lui toute espèce de fruits’. Cette ‘plante du désert’ est cultivée au Maroc depuis l’antiquité, du fait de son adaptation parfaite aux climats chauds. La datte, fruit très apprécié du palmier dattier, surtout au mois sacré de Ramadan, constitue la source de vie de la majorité des populations des oasis. Les évaluations montrent que les revenus d’un million d’habitants sont assurés, à hauteur de 40-60%, par les produits du palmier dattier. En plus, l’ombre de l’arbre permet de créer un mésoclimat où se développent plusieurs cultures sous-jacentes (céréales, henné, luzerne,...). Le nombre de palmiers dattiers au Maroc, s’élève à 4,5 millions qui est un chiffre relativement faible par rapport aux autres pays du Maghreb (Algérie: 9 millions, Libye: 7 millions, Tunisie: 3 millions). De ce fait, la production des dattes au Maroc reste insuffisante et peut varier d’une année à l’autre selon les conditions du climat. Ce sont essentiellement des dattes de qualités faible et moyenne qui prédominent. Les meilleures dattes ‘Mejhoul’ et Bou-Feggouss’ sont rares et coûtent cher. L’insuffisance de la production dattière et sa qualité médiocre sont liées, d’une part, à l’état des palmeraies où l’effectif des palmiers a diminué de façon remarquable. Cette régression est due à des facteurs variés, comme les sécheresses prolongées, l’ensablement, le manque d’intérêt de la part des populations, le vieillissement des palmiers et les maladies, comme le Bayoud. D’autre part, la qualité médiocre de la production est due, essentiellement, à la composition variétale des palmeraies marocaines. Si en Tunisie et en Algérie, la phoeniciculture est axée principalement sur un seul cultivar très réputé dans le marché mondial; la variété ‘Deglet Nour’ qui représente, respectivement, 56% et 45% des palmeraies dans ces pays, au Maroc, c’est une multitude de cultivars qui prévaut, en plus des palmiers provenant de semis, appelés ‘Khalts’ (ou ‘Sairs’) et n’ayant pas encore subi de sélection par les cultivateurs. Un réservoir de gènes favorables La biodiversité montrée par les palmeraies marocaines constitue pour toujours une source d’espoir pour sauvegarder la phoeniciculture, en cas de danger particulier où on aura recours à ce réservoir naturel pour puiser les gènes favorables. Les travaux de recherche scientifique menés sur le palmier dattier au sein de la Faculté des Sciences-Semlalia de Marrakech en collaboration avec les autres Institutions locales, ont permis d’aboutir à une clé d’identification variétale basée sur les marqueurs isoenzymatiques. Cette étude est basée sur l’analyse, par électrophorèse, des isoenzymes des folioles de palmier dattier. Les ‘empreintes digitales’ qui en résultent ont permis également d’avoir une idée sur la diversité génétique des palmeraies marocaines où plus de 90% de variation reste à l’intérieur des populations, alors que la diversité entre les populations est limité à 10%, environ. Néanmoins, certaines palmeraies de Tafilalet commencent à s’écarter des autres. C’est le cas de la palmeraie de Rissani où le cultivar Bou-Feggous, de très bonne qualité, est plus abondant. L’exploitation des khalts dans l’amélioration de la qualité des dattes au Maroc reste une voie très prometteuse. En effet, une part de plus de 60% des ressources génétiques du palmier est constituée de Khalts, dont la qualité peut dépasser celle des meilleures variétés cultivées. Aussi, la palmeraie de Marrakech est un exemple de palmeraies des plus diversifiées mais de productivité négligeable. S’étendant sur une superficie de 15000 ha, cette palmeraie de renommée touristique internationale, peut après sélection de clones de palmiers de bonne qualité fruitière et de maturité précoce, contribuer à la production nationale de dattes. En effet, il ne s’agit, dans ce cas, que d’une maturité incomplète, du fait que la plante n’arrive pas à bénéficier de la somme des températures nécessaire pour la maturation du fruit. Afin de préserver tout ce patrimoine végétal du Maroc, les efforts, de Nous tous, sont sollicités, aussi bien par les chercheurs aux laboratoires que par les ingénieurs et agriculteurs au champs. De plus, la vulgarisation et l’application des résultats des recherches scientifiques, trouvés dans les différents établissements universitaires et à caractère agronomique, est une tâche non négligeable, nécessaire pour valoriser les produits de la recherche scientifique sur le palmier dattier, en particulier. Ces objectifs peuvent être atteints par le concours de toutes les potentialités et la constitution de conseils de recherche où toutes les tendances seront représentées (Universitaires, Ingénieurs, Agriculteurs, Commerçants, Associations,...). Mohammed BAAZIZ Enseignant-chercheur à la Faculté des Sciences-Semlalia, Marrakech -------------------------------------------------------------------------L'OPINION, 27 Avril 1999, N° 12.379 C’est au 15 Avril que se sont achevés les travaux de l’Atelier ‘Constitution et Organisation d’Equipes de recherche scientifique dans les domaines de Foresterie et des Arbres fruitiers’ organisé à Marrakech conjointement par la Fondation Internationale pour la Science (IFS) dont le siège est à Stockholm, en Suède et l’Université Cadi Ayyad, à travers la Faculté des Sciences-Semlalia de Marrakech. C’était une occasion de plus pour faire connaissance, d’une part, des activités de cette Organisation non gouvernementale internationale et d’autre part, de constater les réalisations en matière de recherche scientifique, d’aménagement et de reboisement effectuées, respectivement par l’Université Cadi Ayyad fêtant son 20ième anniversaire, l’Institut National de la Recherche Agronomique et les Institutions locales du ministère délégué chargé des Eaux et Forêts. Le soutien de la Fondation Internationale pour la Science s’adresse directement à des chercheurs individuels. Cependant, celle ci a été traversée par un débat récurrent sur les avantages comparatifs de soutenir des individus ou des groupes de chercheurs. La complexité croissante des problèmes qui se posente à la recherche aujourd’hui ne peut trouver d’issues constructives que dans la confrontation des idées et des approches entre disciplines et dans le cadre de groupes ou réseaux de recherche pluridisciplinaires. Il est évident que tout en contribuant au soutien de chercheurs, la Fondation a contribué , en même temps, à la formation et au renforcement de groupes de recherche et directement ou indirectement à la création de réseaux. Les exemples existent, notamment dans le domaine des substances naturelles dans lequel l’aboutissemed’une rest le plus souvent largement dépendant d'une collaboration étroite entre des ethnobotanistes, des taxonomistes, des chimistes organiciens et des pharmacologues. La formation de groupes de recherche autour d’une masse critique de boursiers de l’IFS au sein de la Faculté des Sciences-Semlalia travaillant sur divers problèmes liés à la production du palmier dattier en constitue un exemple concret et probablement exemplaire. L’atelier organisé à Marrakech sous le thème ‘Constitution et Organisation d’Equipes de recherche scientifique dans les domaines de Foresterie et des Arbres fruitiers’, est un Laboratoire qui permettra de tester certaines hypothèses sur le travail en équipes ou en réseaux. Il a permis de donner des éclaircissements sur plusieurs questions. Quelles conséquences peuvent donner les expériences marocaines sur la politique et le mode de soutien privilégié pour ne pas dire quasi-exclusif de la Fondation à savoir le soutien à des individus ? Quels changements seraient-ils souhaitables d'introduire dans nos pratiques respectives ? Le Maroc occupe une place privilégiée au sein des activités de l’IFS. Avec 142 boursiers et 217 bourses de recherche, le Maroc est aujourd’hui le troisième pays bénéficiaire par ordre d’importance dans le monde après la Chine et le Nigéria. Marrakech et la Faculté des Sciences-Semlalia, en particulier, occupent une place tout à fait honorable, puisqu’avec, respectivement, 33 et 22 chercheurs marocains soutenus, elles arrivent en deuxième position après Rabat et l’Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II. Les autres Institutions bénéficiaires à Marrakech sont respectivement la Faculté des Sciences et Techniques de Guéliz, l’INRA et l’Ecole Normale Supérieure. Dans le domaine des recherches forestières et agroforestières, avec pas moins de 28 chercheurs marocains soutenus, le Maroc partage la première place avec la Chine suivie par le Brésil (22), l’Argentine (18) et le Mexique (18). Ce domaine est particulièrement bien représenté à Marrakech avec 15 boursiers de l’IFS qui concentrent leurs efforts sur les recherches ayant le palmier dattier comme sujet. Les participants à l’atelier ‘Constitution et Organisation d’Equipes de recherche scientifique dans les domaines de Foresterie et des Arbres fruitiers’ ne sont pas tous des spécialistes du palmier dattier travaillant à Marrakech. Au total, 11 pays étaient présents et représentés par des boursiers de l’IFS, des Conseillers scientifiques et des Encadrants. Nous citons le Togo, le Caméroun, le Burkina-Faso, la Tunisie, l’Algérie, la Finlande, l’Allemagne, la France, l’Angleterre, la Suède et le Maroc. Tout a été prévu pour optimiser la communication grâce à la traduction simultanée de toutes les interventions. Trois chercheurs marocains, ayant une expertise reconnue, ont pris en charge la présentation d’exposés introductifs sur l’état des recherches dans les domaines de foresterie, des arbres fruitiers et du palmier dattier. Il s’agit, respectivement des Professeurs Omar M’HIRIT, de la Direction du Développement forestier à Rabat, Abdelkader HILAL, de l’INRA de Marrakech et Mohammed BAAZIZ, de la Faculté des Sciences-Semlalia de Marrakech. Une trentaines de communications affichées, montrant les résultats des projets des chercheurs boursiers de l’IFS, ont été visitées et expliquées aux participants. Des discussions fructueuses ont eu lieu entre les chercheurs et conseillers des différents pays participants. L'Atelier s'est déroulé sous forme de 3 groupes de travail avec des animateurs et des rapporteurs. Après présentation des rapports des différents groupes, des discussions ont été engagées sur plusieurs points étudiés, dont en particulier, ceux relatifs aux questions : qu’est ce qu’une équipe de recherche permanente ?, qu’est ce qu’une équipe de recherche non permanente ?, Comment renforcer les liens entre les chercheurs des équipes non permanentes ?, Quelles sont les critères de la responsabilité dans les équipes ?, Qu'est ce que la délégation d'une responsabilité ?... Plusieurs recommandations ont résulté des travaux de l’Atelier. Elles seront rassemblées et éditées prochainement par la Fondation Internationale pour la Sciences. On peut citer quatre d’entre elles : 1) Constitution de réseaux thématiques à l’intérieur d’un même pays ou entre plusieurs pays, 2) Création d’une association des boursiers de la Fondation Internationale pour la Science, 3) Edition et diffusion élargie des rapports des groupes de travail et 4) Organisation de l’Atelier prochain sur deux thématiques principales ; l’évaluation de la recherche scientifique et la gestion de la qualité des recherches et du partenariat. En relation avec le thème de l'Atelier, une visite de tous les participants à Oukaimeden, encadrée par des chercheurs de la Faculté des Sciences-Semlalia et des ingénieurs de la Direction régionale des eaux et forêts, a permis, d’une part, de se rendre compte des dangers de destruction de la forêt dans le Haut Atlas et d’autre part, de voir de plus près les résultats des opérations d’aménagement et de reboisement qui nécessitent tout le soutien en termes d’actions urgentes et de sensibilisation des populations pour préserver le patrimoine forestier. D’autre part, la visite des Laboratoires de la Faculté des Sciences-Semlalia de Marrakech a permis à tous les participants de témoigner des activités de recherche très importantes réalisées, particulièrement sur le palmier dattier. La nécessité de réfléchir sur l’exploitation et l’application au champs de tous les résultats obtenus a été souvent évoquée lors des visites des différentes unités de recherche. Plusieurs contacts ont pu être établis entre les chercheurs marocains et ceux des autres pays développant des thématiques similaires. |
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