Bonjour tout le monde,
Aujourd’hui je vous raconte ce rêve que j’ai eu la veille de mon cohu conjugal, à ma fermeture à la compréhension, l’homme dans toute sa faiblesse.
Ce rêve, je l’ai fait le 7 mai 2003 et c’est seulement aujourd’hui que je le transmets car par la suite tout a déboulé pendant 7 jours.
Bon je cesse de patiner là et je vais au but...regardez par vous-même.
La nuit est longue et mon coeur treissailit par le démon du midi. Je me suis dit qu’il faut que je réussisses à dormir si je veux être en forme pour mettre en oeuvre ce que mon coeur dicte...je me mêle avec une jonglerie d’images mentaux que je me suis forgé...être à côté ou devant celle qui à éveiller l’ardante flamme de la fournaise...c’est fou que je me dis...comment puis-je en être ainsi...je me dis voyons ça ne ce peut pas être ainsi...qu’est-ce qu’il m’embrouille ainsi moi qui ne peut absolument promettre un amour physique à mon épouse et que soudain une lame de feu me propulse vers une fornication virtuelle...Seigneur je me suis dis...aides-moi à voir clair.
En fermant les yeux je me retrouve devant cette merveilleuse planète au couleur du ciel terrestre de par son intérieur. Assez saisissant...on dirait une grosse boule de glace...tellement glacial que je ressens mon corps gelé devant l’isolation ressenti...pas rien autour...juste moi et cette planète...Uranus se nomme-t-elle?
J’observe un tourbillon qui se formât sur celle-ci...un nuage tourbillonnant...je me suis dit...c’est quasiment impossible de voir des nuages sur cette planète...tout est tellement vitreux et nette.
Deux mains sortent de ce nuage quelque peu bizarre. Deux immenses poings comme venant vers moi pour me frapper...je me suis dit, ça y est c’est ma fête aujourd’hui...je suis bon à avoir une bonne taloche. Celui de droite s’arrête et s’ouvre comme pour me montrer quelque chose à l’intérieur. Comme pour faire languirer l’enfant en moi et pendant ce temps l’autre s’arrête à quelques pouces de moi en gardant le poing fermé. J’ai une étrange odeur mais quand même bien comme parfum...ça ressemblait à une fine cuisine...un fumet que je me dis...pour moi...cool!
La main droite sorti un éclair allant touché la planète et un énorme bang me retenti jusqu’à moi...un tonnerre qui fait résonné les pieds...je me dis c’est quoi qui va sortir de là. Un trône sort de la paume de cette main droite. Toutes sortes de pierres précieuses étaient incustrées sur ce trône...je distingue du rouge...un vert très pâle et des reflets de diamants. Les appuis-bras étaient en or massif et très luisant...autant que les diamants. Assez saisissant de voir toute cette richesse sur seulement un trône...je me mets en furie devant ce luxe...je dis:
C’est quoi l’histoire de voir autant de luxe...êtes-vous entrain de rire de moi là...si c’est le cas, je ne l’a trouve pas drôle cibole...eilles...pendant qu’il y a des humains qui s’arrachent le coeur à trimer ben dur pour n’avoir n’est-ce qu’un anneau au doigt et je vois ce trône plein de luxe.
J’entends un son d’une voix venant de la main gauche ouverte comme si je ne dois avancé plus vers la planète.
On m’avait prévenu que je ferais face à un rebelle et je le vois bien que tu es un rebelle dans ce qu’il y a de plus vrai...j’aime ça les rebelles moi.
C’est une voix féminine et je distingue un sourire narquois avec cette parole. Là je m’interroge pourquoi j’entends cette voix provenant de la main. Je me mets à scruter cette main pour voir si je verrais une bouche...je ne vois pas. Je sens une répulsion provenant de celle-ci et je me sens reculer. En scrutant toujours sa main j’ai ouvert mes yeux bien grand quand j’ai vu ce paquet de lignes bien bien humaines d’une main. Première ligne bien évidente est celle qui longe le pouce...la ligne de vie pour le chiromancien que je suis...la ligne qui longe celle-ci les deux autres en latéraux au-dessus...eilles...je vois sa profession...son hérédité et je vois l’émotion humaine...l’amour.
Je me suis dit...calvénus que je suis veinard. Je regarde comme il faut et mon coeur se mit à me chambarder dans le corps...je n’ose même pas regarder car je reconnu ses lignes. Ce sont les miennes.
Un nuage sortit du trône et une personne apparut après la dissipation. Première réaction que j’ai eu est de me dire que c’est une reine...une couronne était sur sa tête...comme ceux de l’Égypte ancien. J’ai essayé de m’approcher davantage et plus je m’avançais plus la main gauche grossissait...mais avant que je ne puisses plus voir le trône je m’arrêtai. La carpe était de couleur pourpre et tissée de fil d’or pur par l’éclat. Un médaillon était sur la couronne et le caillou change de couleur tout en étant opaque. Des mains de femme sortirent de ses manches et s’appuyèrent. Les ongles longs fait finement travaillé, couleur ivoire. J’ai décelé un visage de femme...ouf! à peine 2 secondes à la fois car elle changeait constamment de visage tous féminins bien sûr.
Ah! Ah! mon Buzzz?!..., tu te perds avec la féminité...ça prends juste un homme pourtant pour reconnaître la féminité et toi tu t’égares avec...c’est trop drôle.
Si tu arrêterais de changer de figure peut-être que je reconnaîtrai ta féminité...mais tu ne me donnes pas la chance. Le temps de te parler, j’ai décelé qu’aucun visage n’est pareil. Serait-ce parce que tu cherches une identité?
Je vois que tu es arrogant mais que tu manques de discernement. En premier lieu, je ne suis pas une reine. Je suis prêtresse de profession. Si tu es devant moi c’est qu’à quelque part, tu as une féminité en toi car l’intuition est féminin. Le fait que tu vois mille et un visage féminin m’indique que tu es un homme avec ses yeux d’homme car je le vois que tu complaises à voir défiler mes visages.
Chose étrange dans le son, c’est la main gauche qui me chuchottais ces paroles...comme un ventriloque sait le faire.
Je t’ai appelé mais tu n’as pas répondu...je t’ai indiqué le chemin pour parcourir mais tu n’as pas suivi...pourquoi Buzzz?!...
Premièrement, je ne te connais pas et tu ne m’as jamais appelé. Quand aurais-je pu suivre ton indication?
Un visage demeura en position. Féminin certes mais jamais vu un visage comme celui-là...jeune d’apparence avec lèvres charnues mais immuable...sans émotion...des sourcils très minces et tracés au crayon de couleur pourpre et des yeux envouteurs par la différence de la couleur de l’iris de chaque oeil...comme ceux du chanteur David Bowie.
Regardes-moi dans les yeux Buzzz?!...et dis-toi une chose. Tant et aussi longtemps que tu persisteras à faire le bohémien tu auras à faire face devant moi et, à chaque fois que tu vas regarder les yeux des gens tu auras l’hypnotisme à ta rencontre car ce seront mes yeux. Alors si tu mélanges amour et émotion tu auras le pouvoir de dire sinon tu vas t’égarer et personne oseront essayer de te regarder car tu fais peur avec ton rebellion...ta masculinité te rends bête jusqu’à l’os et tu mélangeras amour d’avec la possession. Ton image Buzzz?!..., ton image est importante, il ne faudrait pas que tu t’en serves plein d’orgueil.
En disant ces mots, je me suis senti envoûté et possédé par ses yeux...je ne pouvais absolument pas détourner mon regard. Je voulais mais je ne pouvais pas comme très très intense par la beauté de ses yeux et par la voix douce et mielleuse.
Maintenant tu comprendras pourquoi je te serai toujours omniprésente car je suis toi.
En ces mots que je me suis réveillé et, pas besoin de vous dire que ça m’a perturbé en regardant les yeux un certain temps...je ne décelais que la haine et de la jalousie en plus d’être orgueilleux et égocentrique...disons vraiment j’ai été égaré dans mes sentiments...et je prie depuis ce temps d’avoir le pardon à cause de mes fresques égotiques.
Voilà pour vous l’astrologue dans l’âme de ce que je suis.
Amicalement vôtre Buzzz?!...
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