Discussions de vol libre au Québec

>J'ai volé 5h40min. aujourd'hui mais ce n'était pas vraiment une =

journée à

>distance.

>

>R.Noel

ou Noël, avec deux yeux sur le e...

Pour la distance, il faudra déménager le club. Car si nos =

conditions sont très bonnes en local,

elles sont très loin d'être idéales quand il s'agit de voyager. =

Nous ne pouvons sortir que vers

l'ouest, et il y a inévitablement un grand trou à traverser.

Les meilleures conditions se retrouvent par vents de nord-ouest, mais =

nous sommes alors

sous le vent des Laurentides. Il faudrait plutôt être appuyé =

sur les Appalaches. Crois-tu qu'on

pourrait convaincre nos confrères d'aller exploiter d'autres =

terrains ?

Jean

Le projet d'alerte météo est à mon avis une des plus belles applications

que nous pouvont faire de cette liste. J'espère bien que le projet

prendra forme concrète.

Une alarme pour les "journées à 100 milles", c'est peut-être ça qui nous

faut pour en faire plus souvent. En passant, il n'y a pas eu plus de 10

vol de plus de 100 milles de fait au Québec. À ma connaissance, ça fait

plusieures années qu'il n'y en a pas eu.

MecFly

Abonné de la machine à potin du vol francophone

la première alarme de notre nouveau réseau ultra moderne d'alerte. Il

fallait préciser que cela ne concernait que le cross-country. Et encore.

Un peu restrictif, va sans dire.

Je persiste à croire que les claviers seront remplacés avantageusement en

fin de semaine par le trapèze planant.C'est déjà commencé comme je l'ai dit

et comme en témoigne déjà La Liste.

Enfin notre climat est loin d'être celui de la mère patrie. Ici, c'est le

tiers monde du vol libre en ce sens. Et vous pouvez diviser vos savants

calculs par 3. Ma stratégie est de me libérer et voler quand c'est volable

et de profiter de l'invisible.

Je persiste. Ce n'est pas une fausse alarme; mes rhumatismes me trompent

moins que les engins qui crient "aux moutons, aux moutons".

Soignes vite ton arrière train, concierge, lâche un peu le télé-gueule et

clenche pour un site au plus sacrant.

> Oui. Comme disait le vieux proverbe chinois (que je vais traduire en français) :

> « Il vaut mieux être en vol et être heureux d'y être que d'être au sol et regretter

> de ne pas avoir décollé »

>

Non! "Vaut mieux être au sol et espérer être en vol, pluôt qu'en vol et

espérer être au sol."

C'est peut-être plus pessimiste, mais définitivement plus sécuritaire.

Francois Ayotte