MON ÉRABLIÈRE 

 

 


Voici la plus belle partie du patrimoine culturel de ma famille.

 Mon érablière constitue également un patrimoine floral intéressant.  Plusieurs espèces particulières y vivent et son protégées par la Loi sur les espèces menacées ou vulnérables (L.Q. E-12.01).  C’est le cas, entre autre de l’ail des bois, une plante sauvage comestible qui fut saccagée pendant des années.  En association avec le jardin botanique de Montréal, nous assurons maintenant la survie de la population de cette plante qui est aussi délicieuse qu’elle donne mauvaise haleine.

 

Dans un autre ordre d’idée, j’en aurais très long à vous raconter sur tous les mémorables « partys» qui se sont déroulés en cet humble endroit.  Évidemment, il y a eu (et il y aura) les bonnes vielles parties de sucre (voir index des cabanes à sucres).  Mais il y a eu aussi nombreux conventums et autres « partys » où l’alcool coulait à flot...

 

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