Il était une fois les Fées,
qui vivaient en belle harmonie
dans les grandes forêts d'Europe.
Le Petit Peuple qui veillait
sur l'équilibre de la nature
était alors respecté
par nous, les humains.
Puis, les temps changèrent...
Et on oublia les Fées.
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Il était une fois les Fées, qui vivaient en belle harmonie dans les grandes forêts d'Europe. Le Petit Peuple qui veillait sur l'équilibre de la nature était alors respecté par nous, les humains.
Puis, les temps changèrent... Et on oublia les Fées. |
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Le phénomène de la disparition de la croyance aux fées et aux esprits de la nature procèda d'une mainmise des pouvoirs politiques et religieux sur la conscience des individus. En reniant la féerie et tout le plan éthérique auquel elle participe, le monde religieux a plaqué sur l'humanité une religion humaine et non divine, sous-tendue par des intérêts économiques et financiers.
Cette escroquerie spirituelle renforça les mouvements existentialistes, athéistes et matérialistes qui nièrent totalement le Peuple des Esprits de la Nature. Privilégiant la matière sur l'esprit, la surproductivité sur la qualité, on puisa sans scrupules et sans conscience dans les ressources de la planète. Guidée par les pouvoirs de l'argent et les asservissements qui en découlèrent, une nouvelle forme d'escroquerie "matérielle" apparut alors dont les conséquences à nos jours se révèlent graves. La désacralisation et l'anéantissement des valeurs intrinsèques à l'être humain - sa résonance cosmique et son environnement écologique - conduisent aujourd'hui à un total désintérêt et une non responsabilité vis-à-vis de la planète. Les explosions, les destructions, les pollutions souvent irréversibles de la terre, des eaux, des airs et même de l'espace, le prouvent. |
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