Omar Wisyam
Le spectacle du spectacle
Le masse tecnicamente
educate corrono verso la paranoia popolare.
“Le Spectacle
est...”. Ecco, dopo l'indispensabile Tesi 1:
Toute la
vie des sociétés dans lesquelles règnent les
conditions modernes de production s'annonce comme une immense
accumulation de spectacles. Tout ce qui était directement vécu
s'est éloigné dans une représentation.
***
Le Spectacle
n'est pas un ensemble d'images mais un rapport social entre des
personnes, médiatisé par des images.
Le
Spectacle est une vision du monde qui s'est objectivée.
Le
Spectacle est l'affirmation de l'apparence et l'affirmation de toute
vie humaine, c'est à dire sociale, comme simple apparence.
Le
Spectacle se présente comme une énorme positivité
indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que : “ce
qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît”.
Le
Spectacle n'est rien que l'économie se développant pour
elle-même. Il est le reflet fidèle de la production des
choses, et l'objectivation infidèle des producteurs.
Le
Spectacle est le mauvais rêve de la société
moderne enchaînée, qui n'exprime finalement que son
désir de dormir. Le Spectacle est le gardien de ce
sommeil.
Le Spectacle est ainsi une activité
spécialisée qui parle pour l'ensemble des autres.
Le
Spectacle est le discours ininterrompu que l'ordre présent
tient sur lui-même, son monologue élogieux
Le
Spectacle est le capital à un tel degré d'accumulation
qu'il devient image.
Le Spectacle est le moment où la
marchandise est parvenue à l'occupation totale de la vie
sociale.
Le Spectacle est une guerre de l'opium permanente
pour faire accepter l'identification des biens aux marchandises;
Le
Spectacle est l'autre face de l'argent : l'équivalent général
abstrait de toutes les marchandises.
Le Spectacle est l'argent
que l'on regarde seulement, car en lui déjà c'est la
totalité de l'usage qui s'est échangée contre la
totalité de la représentation arbitraire.
Le
Spectacle, qui est l'effacement des limites du moi et du monde par
l’écrasement du moi qu'assiège la
présence-absence du monde, est également l'effacement
des limites du vrai et du faux par le refoulement de toute vérité
vécue sous la présence réelle de la fausseté
qu'assure l'organisation de l'apparence.
In Parco Centrale
Walter Benjamin sostiene che fin dal XIX secolo le forme di
trasmissione di conoscenza metropolitana privilegiate, che hanno
nell'informazione e nella réclame i propri elementi centrali,
avvengono tramite choc. Proprio commentando il Freud di Al di là
del principio di Piacere Benjamin definisce lo choc come un
fenomeno provocato da energie troppo grandi che operano
all'esterno dell'organismo e che irrompono verso l'interno
dell'organismo stesso. È
come se la trasmissione di conoscenza avvenisse tramite una frecciata
che ha possibilità di arrivare a bersaglio in misura
direttamente proporzionale alla propria velocità.
Quest'impatto si chiama choc ed è una forma di
trasmissione del sapere che toglie spazio alle vecchie figure sociali
della trasmissione di conoscenza tramite narrazione.
La televisione è
il consenso per eccellenza; è la tecnica immediatamente
sociale, che non lascia in essere nessuna distanza con il sociale, è
il sociale tecnico allo stato puro.
Deleuze.
Karaba la
sorcière ne mange pas les hommes, elle les transforme en
spectacles.
Il n' y a plus de je
(pas plus celui de l'écrivain que de personnages), il
n'y a plus d'intrigue, il n'y a plus de sens caché (ou
d'idéologie), derrière l'aridité de la
succession des mots ... Ne nous est offert que le spectacle d'une
superposition de conscience sans sujet, de désir sans objet,
d'événements sans passé ni avenir.
Il serait
alors vain, de chercher dans, hors, au delà (....) de cette
errance, un quelconque sens sous-jacent.
Cette dimension
supposerait, soit la mise en perspective par un auteur tout
puissant d'un mystère ou d'un message, qui, bien que
dissimulés, préexisteraient à l'acte d'écriture,
soit une attitude de lecture aussi autoritaire que vaine, où
le lecteur, tenterait de se substituer à l'écrivain.
A
travers sa pratique poétique, Blanchot nous invite plutôt
à partager le risque d'expérimenter la densité
autant que la précarité de cet espace orphique, point
de tension extrême, que Blanchot désigne sous la
terminologie du neutre.
Si l'on peut considérer cet espace
comme un lieu vide, déshumanisé, placé sous le
signe du désastre, il est aussi, et ce sans exclure le premier
mouvement, un lieu dégagé de toute nécessité
(autre qu'elle-même). Un espace subversif, car affranchi de
toute contrainte (morale, sociale...), de toute norme, de tout
référent (idéologique, philosophique,
psychologique)... Un lieu de questionnement radical.
Nulla di
più falso della frase cara alle persone di mezza cultura, per
cui vivremmo nell'epoca dell'angoscia. Questa tesi ci è
inculcata dagli agenti ideologici di coloro che temono solo che noi
si possa realizzare sul serio la vera paura, adeguata al pericolo.
Noi viviamo piuttosto nell'epoca della minimizzazione e
dell'inettitudine all'angoscia. L'imperativo di allargare la nostra
immaginazione significa quindi in concreto che dobbiamo estendere e
allargare la nostra paura. Va da sé che questa nostra angoscia
deve essere di un tipo affatto speciale: 1) Un'angoscia senza timore,
poiché esclude la paura di quelli che potrebbero schernirci
come paurosi. 2) Un'angoscia vivificante, poiché invece di
rinchiuderci nelle nostre stanze ci fa uscire sulle piazze. 3)
Un'angoscia amante, che ha paura per il mondo, e non solo di ciò
che potrebbe capitarci.
“Qui parle?”
disait-elle. “Qui parle donc?” Elle avait le sentiment
d’une erreur qu’elle ne parvenait pas à situer.