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Matitia Chetrit

Avec la naissance d’un aimé, né aussi l’espoir. On espère qu’il vivra une vie heureuse et dans des conditions optimales de sécurité. On espère qu’il deviendra une personne de valeur. Nos écoles ont toujours été un précieux outil pour la réalisation de ces rêves. Jusqu’à récemment . . .

« A force de dire depuis des années que l’école doit s’ouvrir sur la société, on a fait entrer non pas les connaissances, mais les problèmes du quartier, les comportements et les « valeurs » de la rue et, donc, la violence » fait remarquer un proche de Jean-Pierre Chevènement. (1) Chaque jour les enfants doivent faire face à des risques d’agression, de racket, de vol, de viols, au sida, d’« accros » des drogues, à l’alcool, - il est facile de comprendre que les enfants d’aujourd’hui aient peur à l’école. On dehors de tous ces risques, il y a un risque important de mariage mixte et une grande dose de souffrances quotidiennes pour les élèves des écoles laïques. On espère que ces problèmes ne toucheront pas nos enfants. Malheureusement, le fait que ces problèmes aient déjà atteint nos communautés démontre que même les enfants des meilleurs foyers sont menacés.

Pour éviter que ces problèmes n’affectent nos enfants bien aimés, le Réseau d’Education Juive et Ozar Hatorah se sont unis. Ils offrent aux parents se sentant concernés pour l’avenir de leurs enfants une solution efficace: Un nouveau programme pour permettre à n’importe quel parent d’insrire son enfant dans l’ école qu’il mérite: une école juive.

Actuellement, n’importe quel parent peut appeler la « ligne d’écoute téléphonique » d’Ozar HaTorah. Il y trouvera des volontaires pour l’aider de toutes les manières possibles à faire rentrer son enfant dans son école juive - et à résoudre n’importe quel problème concernant l’inscription des enfants dans les écoles juive. Le numéro de téléphone de Rabbin Ariel Amoyalle, Directeur à Ozar HaTorah est 01-43-38-73-40. Par e-mail c’est jenet@iname.com.

Comment se sent une mère, si les cours sont terminés depuis deux heures, et son enfant n’est pas encore arrivé à la maison? Ces sentiments sont une indication du niveau de sécurité de l'école. La manière dont les enfants se sentent à l’école, est aussi un indicateur.

Trop souvent, les enfants sont des victimes silencieuses de la violence à l’école, sans que les parents ne le réalisent. Ils tremblent quotidiennement d’être déshonorés. Les enfants qui ont déjà souffert d’abus, soufrent de blessures plus grandes même que le mal physique - la douleur psychique - le stress post-traumatique. (1a) Pour eux, le mot « récréation » est synonyme de terreur car ils ont peur des élèves agressifs.(3) Dans le cadre d’une école laïque, (contrairement à une école juive), la violence et l’abus sexuel constitue un risque majeur. Des études ont montré que une fille sur trois est abusé sexuellement avant d’avoir finis le lycée. (3a) Aujourd’hui, dans une école publique il n’est pas extraordinaire de voir une jeune fille cartable au dos, dans son septième mois de grossesse ou qui a déjà subi un avortement.

Plus un enfant est proche de l’utilisation de drogues, plus grandes sont les chances qu’il en devienne un « accros ». 16 fois plus d’enseignants ont rapporté des problèmes moyens à sérieux de drogues dans des écoles privées non-juives que dans des écoles juives. Ce taux d’utilisation de drogues est 20 fois plus dans les écoles publiques. Une étude par le PEEP à demandé aux parents « Estimez-vous que l’établissement fréquenté par votre enfant est un lieu de risque concernant: la drogue, la violence et le sida? » Presque 27% ont repondu que les écoles étaient un lieu de risque pour la drogue. Presque 24% pour la violence. Et plus que 13% ont été affirmatifs pour le sida. Howard Safir, patron de la police new-yorkaise, qui à contribué à faire chuter la délinquance de 69% en quatre ans, a dit « Car l’essentiel de la criminalité est dû à la drogue et à l’alcool » Confirmation: de 62 à 82% des délinquants interpellés sont toxicomanes » (2) A l’école juive le taux d’utilisation des drogues illégales est pratiquement nul.

Récemment François Bayrou, ministre de l’Education français, a dit « Quand celle-ci (la société) est en crise, les enfants manquent de repères, la violence augmente ». (4) Pour remedier à ceci, l’état propose d’améliorer les écoles. Les psychologues ont une autre solution - améliorer l’éducation des enfants à la maison. Le temps que ces reformes soient appliquées, encore faut-il qu’elles le soient, les enfants se trouvent toujours dans le risque. Dans un école juive, un enfant est en sécurité aujourd’hui même.

Une partie de ces violences est causée par les extrémistes islamistes. Ils exacerbent les sentiments des jeunes arabes. Ils disent « La France est raciste. On doit leur montrer qui on est. Bien tôt c'est nous qui seront être les maîtres. » (5) Si ce sont les propos qu’ils tiennent sur la France. Imaginons donc ce qu’ils disent sur les juifs! Dans une école laïque, les enfants sont à la merci de tous les courants extrémistes - fanatiques islamistes, neo-nazi, les skins, les hooligans, les ultras...

Les écoles juives ont des taux bien inférieur aux taux nationaux des écoles - d’agressions, de racket, de drogues, et de crimes. Dans les écoles juives selon la Halacha, la promiscuité, les grossesses d’adolescents, les naissances hors mariage (en France 43 % des premières naissances surviennent hors du mariage) et les maladies sexuellement transmissibles n’existent quasiment pas. Les enfants ne souffrent pas de l’angoisse et de traumatisme à cause de la violence à l’école. Les pressions sociales sont moindres et les attaques antisémites ne sont pas un risque.

La bar ou bat mitzvah introduit un enfant dans l’héritage juif de notre famille. Il est ainsi lié à une chaîne qui remonte à la période de l’exode en l’Egypte. Un enfant qui contracte un mariage mixte détruit cette chaîne.

Le manque d’éducation juive est la cause numéro un des mariage mixtes. Une sondage a prouvé que sur 100 enfants juifs, 70 de ceux qui n’ont pas fréquenté les écoles juives se marient hors du judaïsme. (5a) (consultez SVP diagramme 1) Tandis que 2 pour 100 des enfants se rendant à l’externat juif jusqu’à la terminale, a contracté un mariage mixte. Dans les écoles Ozar HaTorah, ce taux est encore moindre.

Soyons réalistes, nos enfants aimés s’associent avec des jeunes de tous les abords - à l’école, en récréation, en sport, au travail, à des soirées, aux bars, et même à la maison (en regardant la télé), et pourtant en attend assûrement qu’il épouse un juif. Malheureusement, trop d’enfants n’ont pas eu l’instruction suffisante pour ne pas s’assimiler. Pour compenser, un enfant a besoin d’une éducation juive.

Combien de fois est-il arrivé que des enfants, sur le point de se marier hors de judaïsme, ont reprochés leurs parents « Pourquoi maintenant seulement tu montres de l’intérèt pour ma vie de juif? Tu m’as montré l’importance de manger en famille le vendredi soir. Tu m’as enseigné qu’on devrait être « juif dans le coeur », mais tu ne m’as jamais donné une éducation juive convenable. Tu aurais dû me donner une vrai éducation juive, et je ne serai pas sur le point de contracter un mariage mixte, aujourd’hui! » Nos enfants, en arriveront-ils à nous rapprocher la même chose?

Nos enfants constituent le prochaine maillon d’une chaîne de 3 300 ans de tradition juive et assurent la perénité de la famille que nos ancêtres ont fondé. Cette chaîne devrait-elle être détruite tellement facilement? Comme dit le dicton, « mieux vaux prévenir, que de guérir. »

Une école juive enseigne aux enfants à comprendre la beauté profonde du Judaïsme et du peuple juif. En les envoyant là bas on leur transmet un message important! « On s’intéresse à ta vie juive ». C’est la raison pour lequelle si l’énfant fréquente l’école juive il est peu probable qu’il se mariera à l’exterieur de la communauté.

Dans le cadre d’une école juive, les enfants reçoivent le meilleure des deux mondes - ils apprennent tous les sujets enseignés à l’école laïque - dans une environnement sain - tout en recevant une éducation juive. Les enfants sont confrontés à qui leur perturbent énormément dans leurs études. (6) Celles ci incluent les enfants perturbateurs, les adolescentes qui leur font la court, le risque de violence, et les enseignants perdus. Dans les écoles juives les éleves peuvent se concentrer tranquillement sur les études et les enseignants peuvent se concentrer sur l’enseignement.

Les écoles juives essayent d’investir un maximum d’efforts pour l’epanouissement optimal de l’enfant: les éleves pratiquent les sports, apprennent la musique et participent à des activités parascolaires. Une grande partie d’entre eux deviennent des médecins, des avocats, des scientifiques, des cadres, des comptables et rentrent dans d’autres professions.

Vittorino Andreoli, professeur à l’université de Vérone, a dit récemment « les enfants ont perdu cette faculté d’imposer une rigueur à leurs processus mentaux, et d’appliquer les principes de la logique. Tout est mis au même niveau, comme si le cerveau mémorisait sans esprit critique » (7) Ces aptitudes sont essentiels pour trouver un emploi, bien réussir dans le cadre de celui-ci et donc le conserver.

Dans une école juive on apprendre aux étudiants à réflechir et à aiguiser leur esprit à l'anayse - à poser des questions et à rechercher des réponses. Des enfants qui avez étudié le Talmud à l’école étaient capables d'apprendre à écrire des programmes d’informatique deux à quatre fois plus vite que la moyenne. (7b) Dans les écoles juives, la moyenne des élevés arrivant jusqu’au BAC et plus importante que dans une école publique et le pourcentage de ceux qui quittent l’enceinte de l’école est bien moindre.

Avec une éducation juive, les enfants sont mieux équipés (ils sont blindés!) pour affronter le monde et ce, à tous les niveaux.

La paix, la considération et l’amour sont les bases de la maison juive. Le Shabbat et les fêtes permettent aux membres de la famille de ressérer et d’apprécier les liens qui les unissent. Le temps passé ensemble leur permet de jouir d’une vie familiale harmonieuse. La communication ouverte est encouragée et le foyer a moins de chances de se briser - le taux de divorce dans des familles juives observantes est négligeable comparé au 36% (ou 50% dans la région parisienne) de la société laïque française.

Actuellement, on entend parler de divorces, de foyers brisés, du manque de communication, d’enfants irrespectueux, de fossé de générations, . . . laissant la société désemparée. La séparation des familles engendre souffrance affective et solitude, et ce; autant chez les enfants que chez les parents. On comprend, alors, pourquoi la vie d’une famille juive authentique fut, à travers l’histoire, admirée à la fois par juifs et non-juifs.

La Torah nous enseigne que chaque jour est une nouvelle bénédiction. La Torah fait briller des rayons d’espoir dans chaque situation. Evoluer selon sont point de vue, permet à notre enfant de comprendre et de surmonter les défis quotidiens de la vie et d’éviter les problèmes.

Les psychologues ne cessent de répéter, que tous les problèmes - comme la dépendance aux drogues, l’alcoolisme, le suicide, la délinquance juvénile, et la violence - sont dus principalement à un manque de repères et de valeurs. (9a) « De nos jours nombreux sont les jeunes déstabilisés ... par une société en perte de repères; à défaut de pouvoir donner un sens à leur vie, ils ont recours à des conduites à risque. » proclament les psychologues Alain Vernet, Alain et Michel Hénin. (8) En ayant un sens dans la vie, un enfant évite ces problèmes.

La Torah nous enseigne: qu’il y a une dimension supérieure en l’occurance spirituelle à la vie; que chacune de nos actions sert pour une but plus élevé; que tous les efforts positifs sont appréciés d’en haut; et que chaque individu parmis nous, contitue une partie essentielle du Am Yisrael - du peuple d’Israël.

Pourquoi les enfants restent insatisfait alors qu’ils reçoivent tellement de biens? Ils sont comblés matériellement: tous leurs désirs dans ce domaines sont exaucés, et ils trouvent encore « à redire » et à se rebeller. Pourquoi?

Pour atteindre le vrai bonheur dans la vie, une personne doit satisfaire quatre besoins psychologiques. Elle a besoin d’un sens dans la vie, du plaisir, de comprendre la vie et de réaliser la potentiel de soi-même. (9b) Une éducation juive permet à un enfant de répondre à tous ces besoins. Elle aide à construire l’amour propre de l’enfant. Elle lui permet de s’améliorer continuellement et d’atteindre son potentiel. Elle permet à une personne d’atteindre à long terme la satisfaction spirituelle et émotionnelle.

Quand on envoie nos enfants dans une école publique, les valeurs et les problèmes de la société trouvent une voie d’entrée dans notre maison. Dans une école laïque, chaque enfant amène à école les valeurs de la rue et de la maison. Un enfant apprend d’un autre ce qui est correct et ce qui ne l’est pas. Si un enfant ne possède pas de valeurs positives, inculqueés par ses éducateurs, il remplira ce vide avec n’importe quelles valeurs populaire. Si les amis se sentent mieux avec la drogue - le fait de prendre des drogues peut devenir une valeur positive à leurs yeux. Si les enfants profittent du vol - le vol peut devenir une valeur qu’ils adopteront. Si les amis sont promiscues - les fils et filles peut les suivre.

Un petit enfant dans une école juive chante joyeusement notament sur l’importance d’aider les parents à la maison. Les écoles juives enseignent aux enfants des valeurs nobles et éternelles, dont - le respect pour les autres, l’honnêteté, la responsabilité, la générosité, la dévouement à la famille, à la communauté, et au peuple juif. Ceci enseigne aux enfants à être appréciés pour leurs valeurs intérieures, plus que pour leur apparence extérieure. Ceci sont les valeurs de la Torah. L’école est associée et est partenaire amical des parents dans l’éducation des enfants. Elle aide les parents à transmettre des bases solides qui les accompagneuront pour le reste de leur vie.

L’école juive est sensée non-seulement enseigner les valeurs, mais les appliquer aussi. Le personnel traite les enfants comme si ils étaient les leurs. Fréquemment, leurs enseignants sont des exemples vivants des valeurs nobles qu’ils enseignent. Les enfants apprennent par observation du comportement des adultes et par association avec ceux-ci.

Combien de satisfactions ressent-on quand nos enfants parlent avec respect, accomplissent des actes de bonté, et aiment leur prochain. Quelle tranquillité d’esprit nous avons quand ils se comportent correctement!

La manque d’une véritable éducation juive provoque quotidiennement la conversion de 700 à 800 juifs aux autres religions. La plus grande partie des membres des cultes nouveaux d’aujourd’hui sont juifs. Tous les ans, plus de 600 groupes de missionnaires dépensent plus de $200 million dans le monde entier pour convertir les juifs à leur cause. On estime que dans les 25 dernières années, plus de 500.000 juifs ont succombé à leurs efforts. (10) Si les enfants ignorents la beauté de la Torah et du judaïsme, ils sont susceptibles de tomber entre les mains de cultes dangereux et de missionnaires idolâtres.

Dans moins de quatre générations il n’y aura quasiment aucune trace de ceux qui sont actuellement élevés dans une maison où le judaïsme n’est pas pratiqué, ou où ils n’ont pas reçu d’éducation juive authentique. (consultez SVP diagramme 2) Le taux actuel de mariage mixte parmi les juifs non-observateurs est de 72 pour 100, parmi les reformés de 53 pour 100, et parmi les conservateurs de 37 pour 100, comparé à 3 pour 100 pour les juifs observants. (11) Depuis la deuxième guerre mondial, nous avons perdu plus que 6 millions de juifs par l’assimilation et par les mariages mixtes. Plus de juifs que ce que l’on a perdu pendant l’Holocauste. L’inscription des enfants dans une école juive est la meilleure chose qu’une personne puisse faire pour arrêter cette crise.

Nos enfants apprennent à vivre et à aimer leur héritage juif dans une école juive. Ils constituent un lien éternel avec les belles traditions juives de leur famille. Ils apprennent l’importance de célébrer les fêtes juives, et de participer aux offices dans les synagogues. Ils goûtent à la douceur de l’étude de la Torah. L’enseignement des matières religieuses est adapté au rythme de chaque élève.

L’éducation juive est accessible à chaque famille juive. Des bourses sont disponibles, la rendant accessible pour n’importe quel budget. C’est un investissement pour le bien-être et la croissance de votre enfant. C’est un investissement pour l’avenir de la famille.

Lorsque les parents s’interrogent si ils devraient envoyer leurs enfants dans une école juive ou le laisser dans une école laïque, le fait de se poser les questions suivants les aiderait peut être à décider: «  Quelle importance revêt à mes yeux le fait que mes enfants apprennent dans un environnement sûr, chaleureux et qui prend à coeur l’éducation et la personnalité de mes enfants? le fait qu’ils deviennent les individus bien-équilibrés? le fait qu’ils s’associent à des amis aux valeurs semblables? le fait qu’ils reçoivent une éducation laïque complète? le fait qu’ils soient respectueux? le fait qu’ils ne soient pas dépendants de drogues, de la promiscuité, de l’alcolisme, ou de la violence? le fait qu’ils apprennent des valeurs positives de la vie? le fait qu’ils préservent et transmettent leur héritage juif? le fait que le peuple juive survive? le fait que mes petits-enfants soient juifs? le fait qu’ils soient proches de nous lorsque nous vieillirons? le fait qu’ils mènent une vie paisible, avec un sens et dans le bonheur?

Indépendement de l’âge de votre enfant maintenant - de la maternelle à l’âge adulte - on peut, peut-être l’aider à profiter d’une véritable éducation juive. On peut vous aider:

1. Pour apprendre plus au sujet d’une éducation juive.

2. Pour choisir une bonne école.

3. Pour aider votre enfant à y être accepté.

4. Pour organiser l’aide financière et

5. Pour ceux de plus de 18 ans, pour recevoir un voyage subventionné de 6 semaines en Israël.

Chaque jour, trois fois par jour, les juifs ont tout au long des siècles, récité dans leur prière, « le Shema Israël » (« Ecoute Israel »), qui traite,entre autre, de l’obligation de donner aux enfants une éducation juive. N’est il pas à présent temps de prêter l’oreille?

Aujourd’hui, il devient évident que le question ne serait plus « Pourquoi devrais-je donner à mon enfant une éducation juive? ». Elle devient « Comment puis-je ne pas donner une éducation juive à mon enfant? »

Nos enfants méritent également une éducation juive. • The Jewish Education Network - jenet@iname.com.

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Contact: Matitia Chetrit

tel/fax: 001-972-2-571-2496

email: jenet@iname.com

http://www.oocities.org/Heartland/Acres/2233

Jewish Education Program (JEP) - Queens, NY - Contact: Rabbi Motty Katz - 718-941-2600

Ozar HaTorah, Paris, 01-43-38-73-40

1) Jelen, C., Insécurité - Violences urbaines - des ripostes inadaptées, Le Point, 23 mai 1998, No. 1340, p. 95

« Pour se forger une identité, celui-ci a besoin que l’institution scolaire lui fournisse des repères clairement exprimés.»

(1a) « Les répercussions de la maltraitance sur le psychisme de l’enfant sont tout aussi importantes que les dommages physiques. . . Ce n’est pas tant l’intensité de la douleur qui predomine mais le fait même d’avoir été battu, d’avoir été « déshonoré »: « Tuez-moi, m’sieu, mai ne me déshonorez pas! », telle est la citation qui illustre une caricature sur la violence physique (1) »

- Tazrout, Monique, Aider l’enfant battu à réparer ses blessures - Le Journal des Psychologues, Févriers 98, no. 154, p. 14 et (1) Caricature extraite du journal Pour Rire, 1855

(2) Irastorza, Pascal, La réponse américaine, Le Point, 21 février 1998, No. 1327, p. 54

(3) - Blancharde, Sandrine, Des professeurs exédés d’une dégredation continue depuis des années, Le Monde 24 mai 1997, p. 14

(3a) Lynn Phillips, "The Girls Report", the National Council for Research on Women, from International Herald Tribune, June 18, 1998, p. 2

(4) François Bayrou, ministre de l’Education, de Léotard, Marie-Laure et Simonnet, Dominique, Comment protéger nos enfants - exclusif: Le plan Bayrou, L’express, 23 mars 1995, p. 88

(5) - Jelen, C., Insécurité - Violences urbaines - des ripostes inadaptées, Le Point, 23 mai 1998, No. 1340, p. 95

(5a) 1990 National Jewish Population Study by the Council of Jewish Federations

6) Blancharde, Sandrine, Des professeurs exédés d’une dégredation continue depuis des années, Le Monde, 24 mai 1997, p. 14

7) Deléage, Jean-Remi, Culture zapping et échec scolaire, Sciences et Avenir, Février 1998, p. 36

7b) Rosenblum, Jonathan, Are yeshiva students dumb?, The Jerusalem Post, January 2, 1998

8) 9a) - « De nos jours nombreux sont les jeunes déstabilisés ... par une société en perte des repères; à défaut de pouvoir donner sens à leur vie, ils ont recours à des conduites à risque. »

« ... la bruyance des comportements des adolescents n’est que le reflet de leur détresse et de leur recherche de repères et d’un sens à donner à leur vie. »

Vernet, Alain et Hénin, Michel, Ados cherchent sens à la vie - Le Journal des Psychologues, Mars 98, no. 155, p. 14

9b) The Eye of a Needle, R. Y. Coopersmith, 1993, Feldheim Publishers

10 ) 1990 National Jewish Population Study by the Council of Jewish Federations

11 ) 1990 National Jewish Population Study by the Council of Jewish Federations