Le jardin secret de Michou  |
Sandra |
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Avant une sortie au resto,
Sandra perce mes mamelons :
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Comment je l'ai
connue:
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À la
fin des années quatre-vingt, j'avais rencontré
Ingrid, une dominatrice professionelle de la région d'Ottawa,
à quelques reprises et je ne pouvais plus me passer des frissons
qu'elle me faisait vivre. Mais je trouvais que ce serait
beaucoup plus pratique si je pouvais trouver, dans la région de
Montréal. le même genre de femme. J'ai donc commencé à consulter les
petites annonces d'Hebdo Police, un hebdomadaire populaire à
l'époque. J'ai ainsi été mis en contact avec quatre ou cing
dominatrices professionnelles, dont deux étaient des
transexuelles. Une de ces dernières avait pour nom Sandra.
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Lorsque je l'ai rencontré, une des pièces de son
appartement était aménagé en un donjon très bien équipé. Ce qui
m'a particulièrement frappé chez Sandra c'est son
professionalisme et le plaisir qu'elle
semblait éprouver à me dominer. Par
contre, elle m'a fait vraiment peur. En premier lieu, malgré la
protection de la jupe de cuir que je portais, elle m'a fouetté
si fort avec son "bullwhip" que, si je n'avais pas
eu les bras ligoté dans mon dos et les chevilles entravées, je
crois que je n'aurais pas pu m'empêcher de la frapper à mon
tour. En deuxième lieu,
avant même que notre session débute, elle a reçu un homme qui
est venu lui livrer de la drogue. Pour
ces raisons, je n'ai pas eu recours à ses services par la suite
mais nous sommes demeurés en contact.
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Une
certaine sympathie s'est même développée entre nous deux et j'ai
continué à la rencontrer à l'occasion. Je l'ai même reçu à mon
appartement à une couple de reprises. C'est au cours de ces
contacts que j'ai appris sa transexualité et toutes sortes
d'informations sur le milieu des travestis de Montréal et, en
particulier, des
personnificateurs féminins, dont elle avait été. Mais, en dépit de la
sympathie que j'éprouvais pour elle, je me méfiais. Quelques
mois plus tard, je me suis rendue compte que j'avais raison de me
méfier. Mais c'est un autre sujet dont je vous en reparlerai un peu plus loin.
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Liz fait la
connaissance de Sandra:
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Somme
toute, mes
expériences avec les dominatrices professionnelles de Montréal,
avaient été plutôt frustrantes. Mais, toujours par l'entremise des petites
annonces d'Hebdo Police, j'ai continué mes recherches. C'est
ainsi que j'ai
fait la connaissance de Liz, une dominatrice amateure. Elle
m'avait surprise par sa réponse à la lettre que je lui avait
expédié en me demandant de lui faire parvenir une de mes petites
culottes. Je la trouvais inventive et originale et ça ne
nous a pas pris longtemps avant d'apprécier les plaisirs que
nous pouvions nous procurer mutuellement. Plus particulièrement, elle aimait
faire des sorties et moi aussi. Comme mes moyens financiers me
le permettaient, deux ou trois fois par semaine, nous nous
rendions au restaurant, ou faire du magasinage, ou passer une
soirée au cabaret.
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Au
cours de ces sorties, j'ai avoué à Liz que j'étais toujours en
cantact avec Sandra et elle a voulu faire sa connaissance. Notre
première sortie à trois s'est effectuée au cabaret
L'Entre-Peau (rebaptisé Mado, par la suite), un lieu de
rencontre pour homosexuels où l'on présentait des spectacles de
personnificateurs féminins. Au cours de cette soirée, la
présentatrice du spectacle a, accidentellement, reversé son
verre sur moi. Elle s'est excusée mais, lorsqu'elle s'est rendue
compte que j'étais une "femme à temps partiel", j'ai eu droit à
toutes sortes de taquineries de sa part, devant tout l'auditoire.
J'étais mortifiée et je voulais, sans attendre, quitter le
cabaret. Mais, Liz et Sandra, qui avaient bien du plaisir
ensemble (leur penchants respectifs pour l'alcool aidant) m'ont
ordonné de ne pas bouger. Nous avons quitté seulement à la fin
du spectacle, après que
la présentatrice soit revenue nous rejoindre à notre table pour
s'excuser et s'assurer que j'avais bien eu une consommation
gratuite.
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Liz et Sandra
s'associent pour me torturer:
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Quelques temps plus tard, au cours d'une autre soirée, Sandra
nous a reçu chez elle. Je me rendais compte qu'elles
devenaient de plus en plus complices, à mes dépends, ces deux-là. Je dois
avouer que j'en profitais aussi. Ainsi, dès le début de la
soirée, elles m'ont fait leur servir leurs boissons préférées.
Je devais constamment parader, sur mes talons hauts, devant
elles. Mais, cela a fini par leur semblé trop facile pour moi.
C'est alors qu'elles m'ont fait agenouiller sur une chaise et
m'ont ligoté de manière à ce que mes pieds soient immobilisés.
Ainsi à leur mercie, Sandra m'a enlevé mes talons hauts (je
déteste être nu-pieds et Sandra en était parfaitement
consciente). Puis, Liz a porté les premiers coups de cravache
sur la plante de mes pieds. Sandra, trouvant qu'elle n'y allait
pas assez fort, lui enleva la cravache des mains et se mit à me
frapper à son tour. Je criais, je pleurais, je me tordais de
douleur et j'avais l'impression que je ne pourrais plus marcher
avant plusieurs jours.
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Je me
trompais car, dès qu'elles ont décidé que j'en avais assez,
l'une d'elles m'a remis mes talons hauts et l'autre m'a détaché
de la chaise. Les coups de cravache appliqués sur mes fesses et
entre mes cuisses aidant, elles m'ont alors fait parcourir,
quatre à cinq fois, le corridor de l'appartement, pendant que
mes bras étaient toujours ligotés dans mon dos et que je devais
rouler des hanches comme une prostitué. Elles riaient à gorge
déployée et mes déhanchements étaient bien plus des contortions
de douleur. Au cours des deux jours qui ont suivi, j'ai eu de la
difficulté à chausser mes souliers de gars et, plusieurs fois,
au bureau, j'ai dû tenter d'expliquer pourquoi ma démarche avait
changé.
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Une soirée au
resto:
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Quelques semaines plus tard, Liz et moi, devions nous rendre ensemble
au restaurant. Pour l'occasion, Liz, qui était en contact avec
Sandra sur une base régulière, m'a demandé de me rendre chez
cette dernière avant de passer la prendre.
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Dès
mon arrivée chez Sandra, cette dernière m'a informé que Liz lui
avait demandé de lui rendre un petit service avant que j'aille
la retrouver. Comme ce doit être une surprise pour moi, elle me
fait porter un bandeau sur mes yeux avant de me diriger dans une
autre pièce de l'appartement où elle me fait tenir debout contre
un mur.
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À ma
grande surprise, avant d'attacher mes poignets au-dessus de ma
tête, elle m'enlève ma blouse et ma brassière. Je déteste que
des parties de mon corps soient dénudées car, à cette époque, je
n'avais pas le loisir de m'épiler, mais je l'ai laissé faire.
Puis, de nombreuses sangles de cuir finissent par m'immobiliser
de la tête aux pieds. Même que mes jambes sont tellement
écartées que c'est assez douloureux.
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Lorsqu'elle m'enlève enfin mon bandeau, je ne peux que constater
que je suis attachée à une croix en X dans le donjon de Sandra.
Elle m'explique alors que Liz lui a demandé de s'arranger pour
que ma sortie au resto soit un peu plus "épicée" qu'à
l'ordinaire.
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Avant
de quitter la pièce, elle met de la musique, allume
des chandelles et me laissant mijoter plusieurs
minutes.
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Elle
revient habillée de son minuscule costume de cuir rouge et de ses
talons de six pouces (elle a de la difficulté à marcher avec
ces souliers). Elle me caresse la poitrine avec son
grand fouet. Après quelques coups bien appliqués, elle pose
des épingles à linge sur mes deux mamelons et me donne quelques
autres coups de fouet. J'ai cru un instant perdre connaissance. Elle
s'en est aperçu et m'a laissée quelques temps pour récupérer.
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Puis, elle a ouvert devant moi une enveloppe contenant une aiguille
(celles qui servent habituellement sur les seringues) puis elle a dégagé
un de mes mamelons en enlevant l'épingle à linge. C'est quand on les enlèvent
ces trucs que cela fait mal et j'ai cru encore une fois défaillir.
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C'est
à ce moment que, sans perdre de temps, elle a remplacé l'épingle
par une pince (des forceps) et a transpercé mon mamelon
avec l'aiguille. Après avoir appliqué du peroxyde et posé
un petit bouchon de liège au bout de l'aiguille, elle a fait subir
le même traitement à mon autre mamelon.
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Lorsqu'elle
m'a enfin détachée et m'a obligée à remettre
ma brassière, j'ai bien cru que mes talons hauts atteignaient six
pouces (en réalité, ils n'avaient que quatre pouces et demi). La
pression exercée par mes
prothèses mamaires sur mes mamelons et mes moindres mouvements
m'occasionnaient des douleurs très vives.
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Lorsque je suis arrivée à l'appartement de Liz, elle avait sa
cravache à la main et arborait un sourire que je qualifierais de
sadique. Parce qu'il faut souffrir pour être belle, disait-elle,
et pour que je sois bien consciente de mon état pendant tout le
repas, elle m'a fait dénuder ma poitrine pour torturer mes eins
avec sa cravache.
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Au
restaurant, je n'ai pas mangé beaucoup ce soir là. Cette
fois là, ce n'était pas à cause de mon corset trop
serré mais parce que Liz a profité de toutes les occasions
pour me toucher les seins et me faire souffrir.
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Pendant
ce temps là, à la table à côté, mon patron de
l'époque (que j'avais appris à détester, non sans raisons)
qui, comme par hasard, mangeait avec sa conjointe à la table d'à côté, n'arrêtait pas de m'examiner
et (parait-il) m'a suivi des yeux les deux fois où Liz m'a ordonné de parader
jusqu'aux toilettes, juste pour vérifier sa réaction .
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À la
fin de la soirée, de retour chez Liz, j'ai dû de nouveau denuder
mes mamelons devant elle pour qu'elle les torture encore avec sa
cravache, avant que je m'en retourne à mon appartement. Ça
m'aiderait à conserver, pendant plus longtemps, un souvenir de
notre soirée passée ensemble.
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De
retour chez moi, je n'ai pas besoin de vous dire que je me suis
empressée de me débarrasser de tous les vêtements qui frottaient
sur mes mamelons. Puis, pour la première fois de la soirée, j'ai
pu examiner dans un miroir les fameuses aiguilles qui m'avaient
fait tant souffrir.
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Par
contre, je dois avouer que j'ai éprouvé du plaisir à me voir
ainsi et, n'éprouvant plus de douleurs, j'aurais bien aimé
conserver ces petits bijoux dans mon corps quelques jours de
plus si ce n'avait été que jedevais retrouver ma famille le
lendemain.
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Liz veut voir
Sandra percer mes mamelons:
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Le
lendemain, lorsque j'ai eu l'occasion de converser au téléphone
avec Liz, il m'est apparu bien clair qu'elle avait adoré me voir
porter les aiguilles et qu'elle avait éprouvé du plaisir à me
voir souffrir. En tout cas, au cours de la semaine qui a suivi
notre aventure au resto, elle s'est empressée d'inviter Sandra à une soirée
organisée chez
moi.
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Dès
que j'ai eu fini de leur servir un verre de mousseux, sous
prétexte de leur montrer si les plaies à mes mamelons étaient
guéries, elles m'ont fait dénuder ma poitrine puis ont ligoté
mes bras dans mon dos et mes chevilles au haut tabouret sur
lequel elles m'ont fait assoir.
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C'est
à ce moment que Sandra à pris charge de la situation. Pendant
que Liz me caressait les cheveux et les épaules, Sandra a
commencé à torturer mes mamelons avec des épingles à linge et
une cravache. Puis, lorsque j'ai commencé à m'habituer à la
douleur, elle a brusquement enlevé une des épingles à linge pour
la remplacer par des forceps. Et, pendant que Liz intensifiait
ses careses, j'ai senti la douleur vive caractéristique du
transpercement de la peau de mon mamelon par une aiguille. Ça
n'a été long que mon autre mamelon a subit le même traitement
.
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Après
l'obligatoire séance de photos et pendant qu'elles ingurgitaient
la deuxième bouteille de mousseux, j'ai bien eu droit à quelques
caresses additionnelles de la part de Liz mais j'ai surtout dû
passer le reste de la soirée ligotée sur mon tabouret pendant
que, tour à tour, elles se sont évertuées à torturer mes seins
et mon sexe avec une cravache. Elles ont semblé avoir bien du
plaisir.
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C'est
seulement lorsqu'est arrivé le moment d'aller les reconduire
chez elles que j'ai été débarrassée de mes liens mais pas avant
que Sandra n'attache de vicieuses pinces, reliées par une
chaîne, sur chacun des mes mamelons. Puis, pour que Liz ait
accès à cette chaîne pendant tout le trajet, je n'ai eu droit ni
à une brassière, ni à une blouse. Seul un veston a servi à
couvrir mes épaules et ma poitrine.
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Pendant les quarante-cing minutes qu'à duré les trajet, jusqu'à
ce que j'arrive chez elle, Liz ne s'est surtout pas privée de
tirer sur la chaîne qui reliait mes mamelons. C'est seulement
avant de descendre de l'auto que j'ai eu la permission de
détacher les pinces. Elle savait bien que le frottement de mon
veston sur les pinces serait si douloureux que, même si je lui
en faisais la promesse, je les enlèverais dès qu'elle aurait le
dos tourné.
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Les policiers
s'en mêlent:
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Mais
revenos à la méfiance que j'éprouvais envers Sandra.
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À
cette époque, j'épouvais beaucoup de difficultés dans mon
travail et, dès qu'une opportunité se présentait, j'en profitais
pour prendre congé afin de diminuer l'effet des frustrations que
je vivais. Ainsi, par un bel après-midi où Sandra était
disponible, nous sommes sorties ensemble pour faire du
magasinage. Liz acceptait que je le fasse, lorsqu'elle même
n'était pas disponible.
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Sur la
rue Sainte-Catherine, alors que je la ramenais chez elle, elle
m'a demandé de faire un court arrêt dans une pharmacie pour
qu'elle puisse acheter des médicaments. Comme il n'y avait pas
d'espace libre pour me stationner sur cette rue à sens unique,
je me suis stationnée en double pour l'attendre. Lorsqu'elle est
revenue à l'auto, elle avait l'air énervée et m'a demandé de
mettre en marche le plus tôt possible parce que plusieurs
véhicules attendaient derrière nous. Son comportement m'a un peu
intriguée mais, avec cette fille, je m'étais un peu habituée à
son tempérament parfois bizarre.
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C'est seulement le lendemain matin que j'ai pu prendre
conscience de la gravité de ce qui venait d'arriver. En
passant devant le bureau de ma secrétaire, elle m'a informé
qu'un policier cherchait à entrer en contact avec moi.
Lorsque je l'ai appelé, il m'a informé qu'une femme avait
effectué un vol de marchandise dans une pharmacie et que,
après son vol, cette femme s'était enfuie dans une voiture
conduite par une autre femme. Comme cette voiture était
immatriculée en mon nom, le policier voulait savoir qui
était au volant.
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Heureusement que le policier ne m'avait pas devant lui, au
moment de cet interrogatoire, parce qu'il se serait sûrement
rendu compte qu'il avait raison de me soupçonner. En essayant de
garder une certaine contenance, j'ai eu la présence d'esprit de
lui expliquer que, la veille, j'avais prêté mon auto à une
copine. Lorsque je luis ai proposé de m'enquérir de ses allées
et venues, auprès de cette copine, il a accepté.
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Ai-je
besoin de vous dire que mon appel suivant s'est fait chez Sandra
et que je n'étais pas particulièrement de bonne humeur? Mise au
courant de ma conversation avec le policier, elle n'a pas nier
son larcin. Je lui ai alors fait comprendre qu'elle devait
retourner la marchandise volée et que ça pressait. Une heure
plus tard, elle me rappellait pour m'informer qu'un taxi s'était
chargé de cette tâche.
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Dans
l'après-midi, lorsque j'ai informé le policier que les
commerçants devaient avoir récupéré les biens volés, il m'a
laissé entrevoir qu'il était probable que les choses en
resteraient là. Et c'est ce qui est arrivé, à mon grand
soulagement. Et, ça été la fin de mes contacts avec cette fille.
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Épilogue:
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Je ne
sais pas si Liz est demeurée en contact avec Sandra après que je
l'eus mise au courant de l'épisode du vol à la pharmacie mais je
ne le crois pas. De mon côté, à partir de ce moment-là, je n'ai
plus entendu parlé d'elle.
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