Le 29 juin 2006, mon bon copain, B, m'a
fait toute une surprise en m'offrant, avec seulement quelques
heures de préavis, de venir me rendre visite. C'est le genre
d'offre que je serais incapable de refuser car cela signifie
habituellement plusieurs heures de sensations fortes pour moi
(hihihi).
J'ai comme l'impression,
qu'intuitivement, je m'attendais à cette visite car, le matin
même, j'avais épilé mes sourcils et, la veille, j'avais presque
complètement épilé mon corps. Quelle chance!
La petite jupe noire, tenue par des
bretelles, et la blouse rouge, que je portais ce soir-là,
n'étaient pas les vêtements qu'il m'avait demandé de mettre. Mais,
cela ne semble pas l'avoir affecté négativement car, dès son
arrivée, lorsque je me suis retournée pour lui offrir mes poignets
dans mon dos pour qu'il les attache, il a réagit en parcourant mon
corps avec ses mains et, quelques minutes plus tard, il me
conduisait sur mon lit, dans la chambre à coucher.
Rendus là, il m’a même un peu
« brutalisée ». Mais, ne vous en faites pas! J’ai tellement aimé
ça que j’aurais espéré qu’il soit encore plus brutal (hihihi).
De la part de B, c'est assez inhabituel
qu’il me prenne de cette manière. Mais, vous pouvez prendre ma
parole qu'il m'a fait vivre des sensations que je ne me serais
jamais cru capable de ressentir un jour.
Éventuellement, il a fini par faire un
peu trop chaud dans la chambre et j’ai eu la permission d’enlever
ma petite jupe et ma blouse. En passant, il a semblé trouver bien
de son goût le nouveau corset de cuir que je portais en dessous.
Mais, avant de nous rendre au salon, il a inséré la douloureuse
plogue gonflable entre mes fesses, sous prétexte de me garder
ouverte pour « usage futur » (hihihi). (Je n’arrive toujours pas à
comprendre pourquoi mes amis/amants, B et C, sont si friands de
me faire porter, ces derniers temps, cet instrument de torture,
que je déteste?). Et, afin qu’il ne vienne même pas à mon esprit
de me débarrasser de cette plogue, il m’a enfilé une paire de
culotte de latex noir, très serrée, avec un trou à l’avant, au
travers duquel il a fait ressortir mon clito.
Au salon, il a prit dans son sac une
sorte de lotion qu’il a commencé à appliquer sur la culotte de
latex, sous prétexte de la rendre plus brillante. Alors, me tenant
debout devant lui et me faisant tourner sur moi-même
périodiquement, il a utilisé ses deux mains pour caresser mes
fesses, mon ventre et a même ralentit ses mouvements entre mes
cuisses et sur mon clito, maintenu à découvert. Ce dernier n’est
pas devenu brillant mais il a grossit de plus en plus et quelles
merveilleuses sensations cela m’a procuré (lol).
Un peu plus tard, après la dorénavant
habituelle session de photos, c’était l’heure pour B de s’en
retourner et il m’a permis de me débarrasser de la plogue, qui
était devenue trop douloureuse à porter, et je lui ai redonné
la culotte de latex.
Je n’ai pas été « utilisée » de nouveau
ce soir-là mais laissez-moi seulement vous dire que j'espère me
faire « brutaliser », de nouveau, par lui, et le plus tôt sera le
mieux (hihihi). |
On June 29th, 2006, my good friend, B, surprised me when he offered, on a very short notice, to pay me a visit. This is the kind of offer that I cannot refuse because it usually means many hours of very good sensations for me (lol).
I probably had, intuitively, anticipated his visit since, in the morning, I had epilated my eyebrows and, the day before, I had done the same to the greatest part of my body. Am I lucky or not?
The little black skirt, held with braces, and the red blouse I wore were not the kind of clothes he had asked me to wear. But, that did not seem to bother him since, as soon as I greeted him at the door, when I turned around to offer my wrists behind my back to tie them together, he had his hands all over my body and, soon, he lead me onto my bed.
There, he even used some “brutality” on me. But, do not worry! I enjoyed it so much I wished he would have been more brutal (lol).
That was pretty unusual behaviour, for B, to take me like that. But, my god, he made me experience some new sensations I would have never anticipated to feel, in my whole life.
Eventually, it became too warm in the bedroom and I was allowed to take off my little skirt and my blouse.
By the way, he seemed to have appreciated the new leather corset
I was wearing underneath. But, before we moved to the living room, he inserted the painful inflatable butt plug inside my pussy, pretending to keep it open for “future use” (lol). (I still wonder why, my friends/lovers, B and C, have been so fond,
lately, of that torture instrument, which I hate?). And, to prevent any attempt, from my part, to get rid of that plug, he made me wear a pair of tight black latex panties, with a little hole in front, which he used to make my clitty peak out.
In the living room, he took out from his bag some kind of lotion which he applied all over the latex panties, pretending to make them shine. So, standing on my feet, in front of him, he made me turn around
periodically and used both hands on my buns, my belly and even slowed his motions inside my thighs and on my unprotected clitty. The latter did not become shiny but it grew bigger and what marvellous feelings that gave me (lol).
Some time later, after the usual photo session, B had to go and I was allowed to take off the plug, which had become much too painful to wear, and I gave him back the latex panties.
I was not “used” again, that evening
but, let me just tell you that I cannot wait to be “brutalized”
again and the sooner the better (lol).
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