LE PROJET DE LA
THESE
Nome : Petra Karlová
Sujet : « Sur les
relations du Japon et du Vietnam au début du XXe
siècle »
A cette époque-là, le Vietnam fit
partie de l’empire colonial français – l’Indochine Française - tandis que le
Japon fut un seul pays asiatique indépendant et disposant d’une économie
et d’ une armée comparables à
celles des puissances occidentales. Grâce à sa situation unique, le
Japon se proclama éducateur des nations asiatiques, en encourageant des jeunes
gens de la peau jaune à venir étudier au Japon. Parmi les étudiants, il
y eut deux cents des Vietnamiens qui s’enfuièrent secrètement de
l’Indochine. La naissance et l’organisation de ces études furènt liées
avec un mouvement vietnamien « Ðông Du » dont la personne principale
Phan Bôi Châu coopéra avec des hommes de la politique japonaise.
Dans ma thèse, je pars de quatre
aspects des relations du Japon et du Vietnam : 1. l’attitude du Japon -
l’attitude du gouvernement japonais et l’attitude officieuse (l’attitude des
hommes de la politique japonaise) ; 2. l’attitude de l’Indochine -
l’attitude du governement colonial français et l’attitude de la nation
vietnamienne. Ensuite, je veux montrer des causes de ces attitudes dans le
contexte politique de la situation internationale en Asie sud-est, spécialement
en connexion avec la guerre russe-japonaise, l’alliance entre le Japon et
l’Angleterre, l’entente franco-japonaise etc. Aussi, je veux éclarcir le
dévelopment des relations entre le Japon et le Vietnam sous l’influence des
relations du Japon et des puissances occidentales dans la region de l’Asie
sud-est comme la Russie, l’Angleterre, les Etats-Unis, l’Alemagne.
Pour conclure, le but de ma thèse
est faire recherches des relations du Japon et du Vietnam à
l’arrière-plan de la politique extérieure du Japon au début de XXe
siècle vers les puissances occidentales d’un côté, et les pays
asiatiques dominés de l’autre côté.
TERMINOLOGIE
Nome : Petra Karlová
Sujet : « Sur les
relations du Japon et du Vietnam au début de XXe
siècle »
·
Indochine Française – ou l’Union
Indochinoise ; l’empire colonial français dans l’Asie sud-est.
L’Indochine se consistait en trois pays : Vietnam, Cambodge et Laos qui se
trouvent dans la region appellée « les Indes orientales ». Elle était
créé en 1887 où la France a annexé le Vietnam à deux pays
ci-dessus déjà dominés. Sa existence a fini en 1945 où le Vietnam
a proclamé son indépendance et créé la République.
·
Panasiatisme – ou asiatisme ; une idée de la solidarité asiatique qui déclare que
tous les nations asiatiaques font une grande famille de la race jaune avec le
Japon en tête. Le Japon se présentait d’être éducateur des nations
asiatiques qui apportait une éducation moderne à ses frères. En
même temps, les pays sous la domination européene ont ésperé que les
Japonais chassent des envahisseurs de la peau blanche, et leur rendent l’independance.
·
Péril
jaune – c’est une idée liée avec celle du panasiatisme. En
effet, c’est une réaction des puissances occidentales qui craignaient de perdre
ses territoires conquises en Asie. En 1905, le Japon a vaincu la guerre contre
la Russie. Ainsi, il a montré qu’un pays asiatique peux battre un pays
européen. En Europe, la victoire japonaise a provoqué un mouvement rassiste
contre les peuples de la peau jaune qui gradait jusqu’à la crainte que
les Asiates envahisseront l’Europe.
·
Politique
de l’entente – une nouvelle politique française vers le Japon
en réaction aux idée du panasiatisme et du péril jaune. Après la guerre
russe-japonaise, la France se trouvait dans une position très difficile
car elle était allié de la Russie batu, et en même temps, ennemi de
l’Angleterre, un allié du Japon. L’Angleterre et le Japon étaient fameux par
ses flottes de guerre, c’est pour cette raison la France devait changer sa
politique extérieure et signer une entente avec Japon en 1907.
·
Mouvement Ðông
Du (Mouvement « Voyage à l’Est ») –
un mouvement vietnamien en années de 1906 – 1910. Phan Bôi Châu, un lettré
vietnamien, a organisé des études pour les jeunes Vietnamiens en coopération
avec des hommes de la politique japonaise. Ces Vietnamiens cultivés au Japon
devaient créer une base pour la lutte contre les colonialistes françaises et
pour la restauration du Vietnam.