zTHE RIVARD FAMILY z

Bulletin Ÿ Newsletter

November, 2001

THE RIVARD NEWSLETTER TEAM

Editor: Jan Dorn

Co-Editor: Marlyss Hernandez

Member of the Month Column: Marlyss Hernandez

Trivia & Humor: "Chippewa Falls Finest", Dot Giessler

Translators: Alain Gariépy & André Dufresne


DANS CE NUMÉRO

De Joyeuses Fêtes à tous

Le rapport de l’Association Internationale des Rivard

Réal Dufresne : Membre du mois de décembre

Autobiographie de Anna Schlosser Membre du mois de novembre

Première colonisation de Prairie du Chien

Expériences mystérieuses … Le mois prochain

Nouvelles du Forum en novembre

Nouvelles du clavardage en novembre – Des souhaits à l’occasion des Fêtes.

Le chef Rivard … Savoureux maïs soufflé au caramel

Les friandises de Peggy

De tout et de rien et le coin de l’humour

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HEUREUSES FÊTES À TOUS

Bon … La fête de l’Action de Grâces est passée et déjà les cousins Rivard se préparent à la bousculade et au remue-ménage de la saison des Fêtes, qui semble commencer avant qu’on ait eu le temps de manger tous les restes de dinde. Dans mon coin de pays, la parade de Noël Appleton est un des premiers signes que Noël est proche. Le deuxième naturellement est la grande vente « avant l’aube » de WalMart et d’autres grands magasins de notre coin. Ça nous semble un peu irréel cette année car généralement nous avons nous avons beaucoup plus de neige en cette période ce qui n’est pas le cas cette année car la saison a été passablement chaude dans le Wisconsin.

Durant les deux derniers mois, nous avons été occupés à composer la lettre de famille que nous envoyons à Noël. Cette lettre couvre les événements qui se sont passés dans la famille de janvier à décembre 2001. Nous conservons cette lettre à la fin de l’album de famille chaque année. Nos éphémérides sont ainsi à date et cela permet de savoir qui est qui et de combien chacun a grandi. Cette année nous avons collé quelques photos dont une en particulier de l’ancêtre Tremmel de mon mari qui émigra de la Bavière en Allemagne au Wisconsin en 1857.

Cette année la fête de Noël sera pour nous un peu différente de celles du passé. La principale réunion de famille se tiendra la deuxième semaine de janvier. Pour certains d’entre nous, la veille de Noël se passera avec huit résidents de la Maison « Assisted Living Home » de Chilton. Le Père Noël sera présent pour enjoliver ce jour qui autrement serait un jour comme les autres pour certaines de ces personnes. Son sac sera plein de cadeaux si je laisse ce bulletin afin d’aller au magasin « Dollar Store. » Il reste seulement quelques jours avant Noël

Que la joie de Noël retombe sur vous tous!

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AIFR Association Report

By André Dufresne

L’AIFR a tenu son assemblée automnale des membres le 24 novembre 2001. André Dufresne avait auparavant obtenu la permission du vicaire-général du diocèse de Trois-Rivières d’avoir accès au premier registre des délibérations des marguilliers de Batiscan (1670-1735), un livre vénérable et fragile que le public n’est ordinairement pas admis à consulter ou manipuler. Arrivé une journée à l’avance pour pouvoir étudier ce registre, André a obtenu la permission d’en faire une photocopie intégrale, dont il fera une nouvelle copie qu’il fera relier et donnera à la Paroisse de Batiscan. Ainsi, dans le futur, tout intéressé pourra consulter la photocopie à loisir. Un survol superficiel de ce registre a révélé quelques informations inédites : saviez-vous que Nicolas Rivard, fils de Robert Rivard dit Loranger, possédait une jeune esclave indienne? Ou que Julien Rivard dit Laglanderie, fils de Nicolas Rivard dit Lavigne, était chantre à Batiscan et que son salaire était payé en partie en eau-de-vie?

Le 24, la conférence s’est bien déroulée après un copieux repas, bien qu’elle ait été un peu courte. Monsieur Lévesque a parlé des fouilles qu’il a effectuées en 2001 sur le site de la maison de Nicolas Rivard à Batiscan, et de celles qu’il a effectuées en 1962 sur un site amérindien vieux de 3 000 ans sur la terre de Nicolas. Après sa conférence, Monsieur Lévesque a offert de conduire les personnes intéressées sur le site de la maison. Une quinzaine de chanceux s’y sont rendus et une surprise de taille les attendait : sur la terre fraîchement remuée, les artefacts jonchaient le sol. Mais il fallait être prêt à sacrifier ses chaussures car pour accéder au site, il fallait parcourir environ 200 pieds dans la boue et le fumier. Parlez-en à Joe Lavigne! Quelques-uns sont maintenant les heureux propriétaires d’objets ayant appartenu à Nicolas Rivard. On raconte qu’André était si excité qu’il a enfermé ses clefs dans sa voiture. Heureusement il a été secouru par Jean-Robert Rivard et son téléphone cellulaire et il a pu assister à la réunion du conseil d’administration qui s’est tenue à Champlain. Bref, une fin de semaine inoubliable.

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LE MEMBRE DU FORUM DU MOIS DE DECEMBRE RÉAL DUFRENSE

C'est un de nos "membres silencieux" qui a ete elu notre membre du mois. On n'entend pas beaucoup parler du cousin Real Dufresne sur le Forum. Il est un membre de l'Association internationale des familles Rivard et il est toujours pret a aider lorsqu'on a besoin de lui pour organiser un evenement dans la region de Trois-Rivieres, ou il habite. Fuyant les honneurs, il

Est du genre "supporteur discret", qui ne fait pas de bruit mais est toujours volontaire pour accomplir les taches que d'autres refusent. Nous avons hate d'en savoir plus sur toi le mois prochain Real! Felicitations!

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INTERVIEW AVEC LE MEMBRE DU FORUM DU MOIS DE NOVEMBRE
ANNA SCHLOSSER

Par Marlyss Hernandez

Traduction par Alain Gariépy

Pourquoi avoir choisi la généalogie comme passe-temps favori a-t-on demandé à Anna ? . Elle a répondu que cette bibitte l’avait piquée alors qu’elle n’avait que treize ans. Sa grand-mère, Neva Robinson Snyder, lui racontait une histoire. Cette grand-mère était une merveilleuse conteuse d’histoire, elle réussissait à capter complètement l’attention de Anna. Celle-ci dit : « Grand-maman suivait toujours le fil de l’histoire, sans pour autant délaisser les détails. C’est probablement la raison pour laquelle je ne perdais rien de vue. Dès mon jeune âge, je prenais des notes et j’essayais de garder en ordre les noms que j’écrivais. Je posais des questions : qui sont ces gens, quand étaient-ils nés, quel âge avaient-ils lorsque tel événement s’est produit? » Grand-mère lui dit donc : « Pourquoi ne les écrirais-tu pas dans un bon calepin? Tu pourrais ainsi voir qui est qui, leur relation avec nous, quel rôle ils ont joué dans notre vie. » Grand-mère ignorait encore qu’elle plaçait Anna sur la longue et merveilleuse route de la recherche, meilleure que ce que tout enfant pouvait imaginer. Ce fut la meilleure chose que fit Anna, mais elle dit qu’elle n’aurait jamais essayé si sa grand-mère ne l’avait pas poussée à le faire.




Voilà comment tout a commencé. Au début, la famille d’Anna la croyait folle et la trouvait assommante lorsqu’elle était sur la piste d’une histoire intéressante d’un membre de la parenté. Son père l’appelait le limier, ce que Anna trouvait très drôle. Anna a continué après son mariage, un peu moins cependant que dans ses jeunes années, car elle devait élever sa famille. Lorsque ses enfants ont grandi et sont devenus plus indépendants, la faim de Anna pour la recherche se mit à la ronger à nouveau, elle se remit alors à l’ouvrage. Entre-temps quatre nouvelles familles s’étaient ajoutées à celles sur lesquelles elle faisait déjà des recherches. Cela la gardait occupée, elle devait visiter plusieurs endroits pour trouver les réponses aux questions qu’elle se posait. Son mari et ses enfants ont commencé à comprendre ce que ces recherches signifiaient pour elle. Ils se mirent à lui poser des questions, ils voulaient savoir ce qu’elle avait découvert sur les différentes familles. Ils commencèrent à avoir un réel intérêt pour la généalogie, ils voulaient savoir la relation entre les familles d’aujourd’hui et celles du passé. Elle commença alors à faire des tableaux et des arbres généalogiques. Lorsque son mari réalise la somme de temps qu’elle dépense à ce passe-temps, il lui mentionne qu’ils pouvaient s’équiper d’un ordinateur de sorte que la compilation et le tri de ces informations pourraient être simplifiée. Le premier ordinateur fut un Commodore 64, puis un Amiga et par la suite vint le premier IBM. Elle s’éduqua dans l’informatique comme dans la généalogie. Elle se mit à construire son propre ordinateur, ce qu’elle fait toujours. Elle dit qu’elle « devenue une passionnée des trucs de l’informatique. J’ai toute sorte d’accessoires maintenant. Mais ils ne remplacent pas l’objet de ma passion. La généalogie tient toujours la première place dans mes passe-temps. J’ai bien dit de mes passe-temps, parce que rien ne prend la place de mon réel amour (Bob) Je crois qu’on peut dire que c’est ainsi que la généalogie a pris sa place dans ma vie; dans le vrai sens du mot. »

Le document le plus intéressant vient de la famille de son mari. Elle a découvert que sa famille vient de France et non d’Allemagne comme on l’avait toujours cru jusqu’alors. Il y a un mois, un de ses correspondants lui a envoyé de l’information et la généalogie de cette famille démontrant qu’elle est originaire de France et non de l’Allemagne. Elle dit : « Mon mari est tombé de sa chaise. On m’avait aussi donné les papiers de citoyenneté de l’arrière-grand-père de mon mari, ce qui en soit est excitant, qui mentionnaient également la France comme lieu d’origine de Valentine. C’était toute une révélation pour la famille. Ils peuvent à peine le croire, mais je crois qu’il y a là une autre piste menant à l’aventure. » Ce Valentine s’était dissocié de la famille durant la Guerre Civile et il avait perdu la main droite à la bataille de Piedmont. Cela mit fin à sa carrière comme boucher. La famille a trouvé cela très surprenant; mais le meilleur vint lorsque les frères et sœurs de son mari trouvèrent de leur côté que Valentine était leur grand-père, car personne n’avait jamais parlé de lui ou conté d’histoire à son sujet. Ce fut toute une surprise pour Anna de découvrir que la famille de son mari ne connaissait pas leur grand-père. Ce fut donc toute une surprise pour son mari et sa famille.

Anna n’a pas trouvé de pirates ou de choses semblables dans l’armoire, mais elle a découvert que le grand-père Valentine avait un problème de santé mentale et qu’on l’avait placé à l’asile une couple de fois après la Guerre Civile. Ce fut toute une surprise de découvrir qu’il était mort à l’asile de Traverse City, MI. Anna dit : « Je crois que personne ne voulait qu’on sache à propos du grand-père. Voilà ce que j’appelle faire cliqueter les os dans le placard. Je recherche toujours les choses qui concernent cet événement dans la vie de grand-père et il se pourrait que je trouve autres choses. »

D’après Anna, les recensements, la visite des lieux où vécut la famille, la vérification des registres de l’église constituent une merveilleuse source d’information. Elle visite les cimetières, nettoie les pierres tombales, lit et enregistre les épitaphes. C’est extraordinaire tout ce que vous pouvez apprendre sur une personne en lisant les inscriptions placées sur la pierre tombale par la famille dit-elle. C’est ainsi qu’elle a amassé beaucoup d’informations pour ses dossiers. Elle vient de commencer à utiliser internet pour ses recherches. Elle a trouvé les liens entre trois familles en vérifiant uniquement les tableaux de famille. Elle utilise ceux de Rootsweb, de Ancestry et de Family Tree. Déjà, elle a reçu trois liens lui permettant d’obtenir des informations vitales et de créer des arbres généalogiques. Elle dit : «de ne jamais sous-estimer  ce que vous pouvez apprendre par internet, ce que vous trouvez dans un cimetière, ou dans de vieilles armoires sombres. Cela peut indiquer si vous un vrai généalogiste dans l’âme et dans le cœur ou un amateur d’un jour.

La réponse d’Anna à la question de qui lui a indiqué le forum est une histoire en soi. Sa famille la reconnaît comme l’historienne de la famille et comme celle qui conserve l’information. En 1996, Mary Ann Mickey était en relation avec sa grande-tante Lili Burkheardt qui parla d’Anna à Mary Ann et de toutes ces recherches qu’elle avait faites. Mary Ann lui dit qu’il lui fallait lui parler. Tante Lillie lui donna donc le numéro de téléphone d’Anna tout en lui spécifiant qu’elle n’était pas sûre que c’était le bon. En fait, elle avait donné le numéro de sa cousine Paulette qui elle donna le bon numéro. On peut dire que Mary Ann est allée chercher Anna. C’était bien avant le début du forum. Mary Ann se mit alors à parler de liens familiaux, d’histoire de famille et autres. Puis on en vint à parler d’un site internet où les cousins pourraient se réunir virtuellement, se parler, échanger de l’information et ainsi mieux se connaître. Anna croyait que c’était une excellente idée. Elle rencontre alors Greg Revord, qui, avec l’aide de Mary Ann, mit sur pied le forum. Ainsi Anna devint un des membres-fondateurs du forum. Elle dit : « Le forum a bien grandi et il grandit encore. Comme s’est merveilleux de voir une idée se matérialiser, de voir s’unir les efforts de plusieurs et devenir une partie importante de nos vies. »

Je lui ai demandé quel était le membre du forum qui l’avait le plus aidé. Elle dit : «Ah oui! honnêtement c’est Mary Ann. Elle est l’étoile qui me guide. Elle m’a tellement aidé à rejoindre des membres de la famille. J’étais très surprise de voir qu’ils appartenaient à notre famille. C’est elle qui m’a rejoint d’abord; on s’est très bien entendu et on est d’excellentes amies depuis. Elle a un grand cœur, écoute les autres avec attention, comme moi avec la généalogie, c’est sans doute ce qui nous rapproche. Nous ne sommes jamais fatiguées de chercher ces vieux papiers. Nous allons ensemble à la bibliothèque de Saginaw lorsque je me rends dans cette ville. Nous aimons être ensemble. Mais vous savez, impossible de ne pas mentionner Alain, et le « Creuseur » (aussi connu sous le nom de André Dufresne) Tous deux m’ont bien aidé lorsque j’avais des difficultés avec des mots français et dans d’autres situations également. Ce sont de vrais gentlemen; je suis contente de les avoir comme cousins. Et que dire de mon Ange avec ses ailes, cet adorable Henri. Il m’a donné un tel coup de main en ramassant tous ces avis de décès en vu de la parution d’une publication. Il a un cœur d’or et un tel sens de l’humour. Je t’aime Henri. Comme vous voyez, j’ai retiré beaucoup de bénéfices de ce forum et je suis sûre que plusieurs autres également. C’est une bonne place pour échanger parce qu’on le fait avec soin et que tous veulent aider. On apprend toujours quelque chose de nouveau. Plusieurs autres m’ont également aidé et à chacun de vous : «merci du fond du cœur. »

Anna recherche également les familles suivantes : Walter, Dennis, Labelle, Plamondon, Snyder, Lenox, Parish, Balenger, Saucier, Ver Snyder, Goldsmith, Scholler, Clasppell, Dyer, O’Bringer, Robinson, Westover, Doolittle, Smith et plusieurs autres.

AUTOBIOGRAPPHIE

1951 fut une année très occupée dans le monde. Voici quelques événements qui se sont passé cette année-là.

  1. Le romancier américain Kurt Vonnegut a publié « Le joueur de piano »
  2. La poétesse américaine Marianne Moore a publié « assemblage de poèmes »
  3. L’écrivain américain J. D. Salinger a publié « The catcher in the rye(le receveur dans le seigle) »
  4. L’écrivain américain James Jones a publié le roman de guerre : «  From Here to Eternity (D’ici à l’éternité) »
  5. On a installé dix millions de télévisions dans les chaumières américaines.
  6. On a fait la démonstration de l’enregistrement des images télévisuelles sur vidéo
  7. Le bureau américain du Recensement a reçu UNIVAC 1, le premier ordinateur commercial.
  8. Julius et Ethel Rosenburg ont été condamnés à mort pour espionnage contre les Etats-Unis.
Vivant à Flint, ville du Michigan dans le conté Genesee, Beatrice Margaret (Robinson) Walter et Albert James Walter père, chauffeur de camion pour les frères épiciers Hamady, tous deux âgés de 24 ans, ont vu s’ajouter à leur famille, un troisième enfant, une fille, née le 29 août 1951 à l’hôpital Saint-Joseph. On la prénomma Ann Marie Walter, mais je préfère qu’on m’appelle Anna, s’il vous plait!!! Je vous conterai l’histoire plus loin. Maman dit que je pesais 8 livres. J’ai oublié quel temps il faisait ce jour-là, mais je suis née quand même, j’en suis la preuve vivante, Papa et Maman m’ont ramené à leur première maison, au 813 rue Elizabeth à Flint au Michigan. J’ignore combien de temps nous sommes demeurés dans cette maison; mais j’ai bien des souvenirs de la seconde au 4333 rue Colombine, dans le canton de Burton, là où j’ai commencé l’école. Je me souviens très bien de cette place car il se passe dans la vie d’un enfant bien des choses dont on se rappelle toujours. Une de mes sœurs aînées a été frappée par un bicycle à gazoline. Elle fur sérieusement coupée à la tête et a subi une commotion cérébrale. C’était sérieux mais elle s’en est sortie. Elle conserve cependant une vilaine balafre. Je me souviens également de ma première année à l’école. J’écrivais à mon pupitre et je regardais le bout aiguisé de mon crayon. Au même moment, un garçon derrière moi me poussa la tête sur le bureau. La pointe du craton m’a pénétré dans la figure. J’en conserve toujours une cicatrice et la mine du crayon. J’ai poussé le garçon si violemment qu’il en a vu des chandelles. Il ne m’a plus jamais importuné. Nous sommes déménagés à quelques reprises, réellement plusieurs fois, si souvent qu’il m’était difficile De me faire des amis et de les garder. Nous étions sur la rue Donaldson dans la ville de Flint. À sept ans, j’ai fait ma Première Communion à l’église Saint-Pie X sur la rue Hogarth. On ne vivait pas près de cette église, car c’est la paroisse de ma grand-mère maternelle. Nous ne sommes jamais allés à une autre église. Mon père nous conduisait tous les dimanches sans ma mère. Elle n’est jamais venue à l’église avec nous. C’était l’affaire de mon père. Nous assistions à la messe puis par la suite nous avions une séance de catéchisme. Mon père allait rendre visite à ma grand-mère pendant ce temps. Mon frère et ma sœur plus âgés avaient des difficultés à mémoriser les prières, alors ma mère m’a confié la responsabilité de leur enseigner les prières de sorte qu’ils pourraient recevoir les sacrements en même temps que moi. Ma mère disait qu’il n’y avait pas de deuxième chance dans ce domaine. Mon frère et ma sœur me détestaient car j’avais l’autorité nécessaire pour leur faire apprendre leurs leçons. Mon Dieu! Quelle corvée! On a fait notre communion ensemble. Plusieurs années plus tard lorsque j’ai rencontré mon mari Bob, avec lequel je suis mariée depuis plus de trente-trois ans, j’ai appris que lui aussi avait fait sa communion avec le même groupe que moi. Ça je ne le savais pas jusqu’à ce que sa mère me montre sa photo de Première Communion et me la donne. Voilà, nous étions tous les quatre sur la photo. C’est une chose étrange d’avoir quelqu’un dans sa vie depuis si longtemps et qu’il le sera dans le future mais sans savoir que cela arrivera. C’est exactement ce qui est arrivé.

Je suis allée à d’autres écoles dans d’autres villes; finalement mes parents ont pensé que ce serait une bonne chose de demeurer à une place pendant un certain temps et ce fut au 2110 rue Nedra. J’ai rencontré mon mari dans le voisinage. J’étais impliquée à l’église avec ma grand-mère. Notre résidence de la rue Nedra était près de la sienne; en fait sur la rue voisine. Il était devenu facile d’aller à l’église et Grand-mère en avait saisi tout le sens. Elle et moi avons chanté pendant 12 ans dans la chorale. Nous étions côte à côte chaque dimanche matin. Quelle merveilleuse période!

Voyons. Je me suis mariée dès l’âge de 17 ans; le 17 octobre 1969 en l’église Saint-Pie X. Nous avons deux dates de célébration. Nous nous sommes mariés secrètement une première fois pour protéger l’enfant à naître le 16 mai 1969. On faisait des choses étranges à l’époque; mais nous devons utiliser cette date pour tous les documents légaux. L’Église devait prendre la date du 16 mai, mais on ne dit pas à l’Église ce qu’elle doit faire, n’est-ce pas? Pourquoi deux dates? Je me suis mariée enceinte et très jeune, mais je n’étais pas idiote; je savais que je terminerais mes études. Mon premier enfant est né en janvier 1969 et notre second en octobre 1971, une belle fille. Le premier était un beau garçon incidemment. Alors que j’étais la mère de deux enfants, je devais prendre soin de notre première maison. Je voulais poursuivre mon rêve de finir mes études. J’ai commencé à suivre des cours trois soirs par semaine; en plus, je travaillais au Red Roof Inn, j’éduquais mes enfants et je devais être une bonne épouse. La marmite était pleine! Mais j’ai réussi, j’ai obtenu mon certificat d’études. Nous avons eu après cette période un troisième enfant, un garçon, mais ma grossesse a été pénible. Lui aussi était de santé délicate et je devais en prendre un soin particulier, mais il est devenu un beau grand jeune homme. J’ai pris aussi plusieurs autres cours pour enrichir mon certificat d’études; j’ai appris comment utiliser les ordinateurs, car ils devenaient une partie importante de nos vies et de nos emplois. J’ai appris comment m’en servir, comment les programmer. J’ai pu ainsi avoir de meilleurs emplois, et surtout un plus grand nombre d’offres. En même temps, j’ai pu approfondir ma religion. J’ai enseigné le catéchisme pendant 16 ans. J’ai travaillé également avec les enfants en difficulté d’apprentissage et j’ai adoré cela. Munie de cette expérience, j’ai commencé à enseigner quotidiennement à l’école Elmer Knoff pour enfants en difficultés. J’ai continué à suivre des cours sur le travail de bureau, et j’ai pu mettre ces cours en pratique en devenant secrétaire suppléante dans différentes commissions scolaires. J’ai eu plusieurs emplois de cet ordre. Mon dernier emploi consistait à travailler avec des enfants que personne ne voulait avoir; des enfants difficiles, ceux qui s’élèvent eux-mêmes parce que personne ne se soucie qu’ils vivent ou qu’ils meurent. C’est vrai, même les enseignants les abandonnaient. Je travaillais dans les bureaux de ces écoles, je m’occupais de ces enfants et j’ai obtenu de très bons résultats qui ont impressionné même mon patron, le surintendant. On me disait : « Anna, tu as reçu un don pour t’occuper de ces enfants. Continue, tu feras peut-être la différence dans leur vie. » J’ai vu plusieurs de ces enfants terminer leurs études, et certains avec d’excellentes notes. C’est extraordinaire, j’étais fière d’eux et je le leur montrais. On ne peut cacher ses sentiments avec les enfants. Ils connaissent la différence. En ce moment, en tapant ce texte, je peux, sur mon bureau, voir ces enfants qui furent présents dans ma vie et qui l’ont enrichi. Lors de mon départ, ils ont fait une immense mosaïque avec leur portrait dessus et d’autres photos d’eux et de moi alors que j’intervenais auprès d’eux. Cela m’a bien touché. Voilà ce que je faisais avant de prendre ma retraite auprès de mon mari. C’était durant l’été de 1998. Pendant cette période, je me suis occupé des itinérants dans notre paroisse and j’ai travaillé avec les mourants. J’ai adoré cette vie bien remplie et je l’aime encore.

J’ai d’autres centres d’intérêt. J’ai enseigné le tricot, le contre-point et autres genres de couture. Mon favori reste le point et le crochet. Le jardinage est une autre de mes passions quoique je n’en ait pas fait depuis que nous avons construit notre nouvelle maison. Mais ça revient car j’ai dû faire de l’aménagement paysager l’été dernier. Mon mari m’a construit une balançoire en cèdre il y a 27 ans et l’été dernier nous lui avons fait un siège en cèdre. J’ai fait des calques et de la peintures sur cette balançoire et cela donne un bon effet. Tout le monde aime cela. Je joue aux dards et je suis assez bonne. J’aime bien aller à la pêche ou simplement me promener sur notre bac de 20’ avec mon mari et nos deux chiens. L’un est un labrador et l’autre un Golden Retriever; de bons animaux de compagnies. Je leur ai enseigné le langage des signes et ils comprennent très bien ce que je veux dire. C’est ma deuxième langue parce j’ai perdu 60 % de mon acuité auditive, c’est pourquoi je dois me servir quelquefois du langage par signes. Dans les grandes foules mon mari est mon interprète, parce que je ne peux pas entendre du tout. Mais je ne suis pas laissé abattre par ce problème lorsque je dois communiquer avec les gens ou faire mon travail. Je lis très bien sur les lèvres. Je lis le langage du corps. Avec ces trois choses, je me débrouille très bien dans le monde des entendants. Mais j’ai appris les signes à l’école et j’utilise d’autres moyens de communication pour me faire comprendre. Ne me parlez pas trop fort, c’est habituellement ce que les entendants font avec un sourd. Je peux très bien entendre une voix normale. Notre plus jeune fils a également un problème de surdité. La mère de mon père était sourde dans ses derniers jours; mon père également. Au début, ça me faisait peur, mais le temps m’a enseigné que je peux très bien vivre sans entendre. Mais de grâce qu’on ne m’enleve pas la vison. C’est surprenant de voir comment on a besoin de ses yeux.

Même si ma vie a été dure par moments, cela m’a permis de me structurer pour être un survivant, de savoir que ma foi me permet de passer à travers les difficultés et de continuer à avancer. Je suis une battante vis-à-vis les causes justes ou les choses en lesquelles je crois. J’ai une morale religieuse profonde, mais je n’essaie pas de convertir les autres. On doit être responsable de ses actions et de ses décisions. Nos enfants suivent notre exemple, j’espère avoir bien influencé mes enfants. Avec tout ce qui m’est arrivé dans la vie, j’ai appris qu’il faut par-dessus tout qu’il faut pardonner, avoir de la commisération là où c’est nécessaire, être fort et sévère lorsque l’amour le commande. C’est ainsi que j’ai élevé mes enfants. À leur tour, ils élèvent les leurs de cette manière avec de légères différences. Ce sont des individus forts et je suis très fière d’eux trois. Les deux plus vieux m’ont donné cinq petits-enfants. Le plus jeune n’a pas encore rencontré la sienne. Il a des normes élevées, c’est pourquoi je prie Dieu qu’Il lui fasse rencontrer la bonne. Nous sommes toujours inquiets de nos plus jeunes. Mes objectifs futurs sont très simples. Je veux devenir assez vieille pour profiter de mes petits-enfants et leur enseigner toute sorte de choses. Je veux leur raconter l’histoire de leurs ancêtres. En plus j’ai une foule d’histoires sur leur branche. Je crois bien que cela couvre ce que je voulais vous raconter. Je n’ai rien d’autre.

Oui, une chose encore. N’ayez pas peur de dire merci à quelqu’un qui vous a impressionné assez pour changer le cours de votre vie, de changer votre destinée sous sa gentille direction. Ils furent de grands modèles et leur enseignement vous a permis de modeler votre vie d’après leur exemple. Quel hommage à donner à quelqu’un qui vous aime assez pour vous enseigner toutes ces choses de grande valeur, pour vous donner de l’espoir quand vous croyiez qu’il n’y en avait plus? Je veux rendre hommage à ma grand-mère maternelle, Neva Marie (Snyder) Robinson et à ma tante Glora Walter. J’ai eu le bonheur d’avoir la meilleure des belles-mères, car elle a été élevée comme moi et on s’entendait comme larron en foire. Elle m’a aidé à avoir bon cœur, elle continue d’aimer quelqu’un qui lui a fait mal. C’est ça l’amour. C’est laisser une partie de vous-même à l’autre, pour qu’il grandisse, et à votre tour, vous continuez sur votre lancée.

Anna, The Highlander, Schlosser

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CRAWFORD COUNTY PRESS, PRAIRIE DU CHIEN, WIS.

Le 14 mai 1919

Premier établissement de Prairie du Chien

La recherche de document de diverses sources nous a convaincu que des Blancs
ont continuellement établi leur demeure dans cette ville depuis plus de 164 ans.

Par le révérend M.E.Fraser


On fixe habituellement à 1781, la date d’arrivée des premiers colons à Prairie du Chien, lorsque Pierre Antaya, Augustine Ange et Basil Girard revinrent après avoir signé un traité avec les Indiens Fox à Mackinac avec le gouverneur Sinclair. On n’a jamais su si c’est Antaya, Ange et Girard ou si c’est le gouverneur Sinclair qui ont signé ce traité. Est-ce que ce sont ces trois colons ou est-ce tous les colons de Prairie du Chien qui ont payé les Indiens pour ces terres? Ce soi-disant traité semble avoir été un incident dans la résidence des marchands plus ou moins continuel depuis 1885 et devait confirmer le titre des terres.

Lorsque Nicolas Perrot fut nommé gouverneur des Territoires de l’Ouest, il vint à Green Bay en 1685 pour assumer les devoirs de sa charge et là il rencontra une délégation de Miamis qui « prièrent Perrot d’installer son établissement sur le Mississippi près du Wisconsin ce qui leur permettrait de vendre là leur fourrures. » LaPotherie disait en 1685 que « établissement » signifie un poste de traite fortifié ce qui donne « une situation avantageuse contre les attaques des tribus voisines. » On appela ce fort Saint-Nicolas et il est mentionné dans divers documents de l’époque.

On voit le fort Saint-Nicolas sur la carte préparée par Franquelin en 1688 pour être présentée au Roi de France et il est situé à l’embouchure de la rivière Wisconsin. Cette carte fut dessinée au Québec, certifiée par le gouverneur canadien comme « étant très précise » et Parkman la qualifia comme la plus remarquable de toutes les cartes décrivant alors l’Amérique du Nord.

On publia en 1755 une carte géographique de D’Anville sur laquelle on voit « Vieux fort français de Saint-Nicolas. »

En 1755, M. Bellin écrit sur sa carte géographique que « Nicolas Perrot bâtit un fort à l’embouchure de la Wisconsin qu’on appela Saint-Nicolas. »

En 1762, la carte de Thomas Jeffreys d’Angleterre décrit « Fort Saint-Nicolas, détruit »

En 1767, l’atlas de Covena & Mortier pointe l’endroit de « l’ancien fort » à l’embouchure de la Wisconsin.

Dans « Geography » publié vers 1780 par Barnes de Londres, on précise le site du fort Saint-Nicolas. Ce premier fort français a eu une existence brève et un autre fort fut créé en 1755.

On ne peut contester l’existence permanente de marchands français à Prairie du Chien de 1685 à 1755; il est probable qu’il y avait un village indien dans la région du vieux fort français Saint-Nicolas; on ne peut nier le fait que les Indiens venaient offrir leurs fourrures et autres marchandises avec plus ou moins de régularité. La preuve que les Indiens habitaient cette contrée depuis des temps immémoriaux est mise en évidence par le fait qu’une ancienne tradition indienne voulait que les terres de Prairie du Chien soit un terrain neutre, où aucune lutte intertribale n’était permise et où il n’y avait aucune contrainte pour le commerce.

Dans une pétition au Congrès de la part des propriétaires de terres de Prairie du Chien en 1816 pour la décharge des titres spécifie que « en l’an 1755, le gouvernement de France a établi un poste militaire près de l’embouchure de la Ouisconsin dont Mons de Marin était le commandant; et que plusieurs familles de colons se sont établies dans les environs du fort … » et « et ont fondé le village de Prairie du Chien tel qu’on le connaît aujourd’hui. » Ce document était signé par des gens qui étaient ici en 1781 ou avant. Cette pétition fut adressée au Comité sur les Terres Publiques et ce comité fit une recommandation favorable au Congrès, répétant l’énoncé historique dans son rapport.

En 1777, le général Carleton craignant la désaffection des marchands français, envoya Charles Gautier en émissaire parmi les colons et les tribus indiennes. Le journal de Gautier contient ce qui suit : « 27 janvier 1778, je suis arrivé à Prairie du Chien chez le Sieur Lese où j’ai pu obtenir l’information sur l’endroit des quartiers d’hiver » montrant bien où se situaient les colons à ce moment.

L’Encyclopédie britannique dit que : « Godfrey de Linctot, un négociant de Prairie du Chien, agissant comme agent du général George Rodgers Clark, détacha plusieurs tribus de l’influence britannique et il prit la tête d’un groupe de colons français pour voler à son aide » en 1779

Dans « Voyages & Travels » le capitaine J. Long disait en juin 1780 : « Les négociants indiens ont placé leurs fourrures à La Prairie des Chiens sous la surveillance de Monsieur Langlade, l’interprète du Roi ou à Dog’s Field où il y a une ville de grand renom, bâtie selon la méthode indienne. » Ce fort fut détruit la même année.

Michael Brisbois, devant Isaac Lee en 1820, fit une déclaration sous serment qu’il était à Prairie du Chien en 1781 et que Prairie du Chien était occupée et cultivée avant et depuis l’arrivée du déclarant dans le pays. »

B.W. Brisbois avait entendu son père Michael, qui était présent lors du traité Sinclair en 1781, dire que Antaya, Ange et Girard représentaient tous les colons établis à cet endroit.

Il est donc raisonnable de croire qu’il y a eu des Blancs qui ont résidé à Prairie du Chien de façon continue ou presque depuis 1755. [Source : La bibliothèque d’histoire de Madison, Madison, Wisconsin]

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PRINCIPAUX SUJETS DE DISCUSSION SUR LE FORUM

Par Marlyss Hernandez

Traduction de Alain Gariépy

On a lancé 399 messages sur le forum durant le mois qui vient de se terminer. Cinq nouveaux membres se sont joints au groupe pour un grand total de 312. J’espère que les nouveaux cousins vont se faire connaître et vont devenir des membres actifs sur le forum. Une couple de cousins ont dû suspendre leurs activités. Ainsi Tom Dufour, notre cousin de Windsor qui a su si bien organiser le rendez-vous de l’été dernier, a dû laisser le forum, trop occupé par son travail et par le baseball. Souhaitons que Tom nous revienne bientôt.

CE QU’ON A APPRIS CE MOIS-CI :

AVIS DE DÉCÈS : Henri Lanouette a trouvé une soixantaine d’avis de décès sur les Rivard et noms apparentés. Il fait ses recherches sur Internet. Lorraine, Jan et Nickie en ont trouvé une chacune. Anna Schlosser les compile en vue d’en faire un bouquin. Elle aimerait en obtenir une plus grande quantité en provenance des Etats-Unis.

CONDOLÉANCES ET PRIÈRES :

À Bill et Anne Surprenant à l’occasion du décès de la mère de Bill le 21 novembre. On prie pour le jeune fils de Anna Schlosser afin que les résultats des examens sur le cancer soient négatifs.

ALERTE AU VIRUS : Il se propage automatiquement en envoyant des messages de lui-même sur Internet. Il fait également d’autres dégâts tel que spécifié à l’adresse suivante : http://securityresponse.symantec.com/avcenter/venc/data/w32.badtrans.b@mm.html

Si vous recevez un message au sujet d’un courriel dont vous n’avez pas souvenance, vous avez ce virus ou un autre. Si vous recevez u n message sans contenu et que l’envoyeur a un tiret avant son nom c’est que quelqu’un essaie d’infecter votre ordinateur. Une cousine a reçu un virus durant le mois, heureusement elle a pu s’en débarrasser sans infecter d’autres membres du forum.

ADRESSES INTÉRESSANTES POUR LA RECHERCHE DES RIVARD :

http://worldconnect.rootsweb.com/cgi-bin/igm.cgi?op=GET&db=beebeewood&id=I4048

http://www.usinternet.com/users/dfnels/index.htm

Cette adresse concerne l’échange de marchandises – généalogie du Midwest américain – histoire précédant 1840. Jan nous dit cependant : « C’est un site très intéressant, mais on doit utiliser l’information en prenant les précautions d’usage »

Voici l’adresse pour les décès du comté de Kankakee Valley :

http://www.kvgs.org/deathindex/

Recherches dans Ancestry.com. Dawn nous dit ce qui suit : « Après avoir reçu, lors de votre recherche, une liste de fiches de recensement, vous pouvez retracer une page particulière et voir tous les noms affichés sur cette page. Voici comment. Faites votre recherche, lorsque vous trouvez ce qui vous intéresse, allez au bas de cette page à « Refine Search ». Enlevez le nom inscrit, puis entrez d’abord le canton (sans aucune période de temps) et le numéro de la page. Par exemple, 9 w newark 244. Cliquez. Vous retrouvez tous les noms inscrits sur cette page. »

Voici l’adresse de tous les messages parus sur le Forum des Rivard :

http://www.oocities.org/Heartland/Flats/1865/Newsletters/news.html

Si vous en avez manqué un, voilà le site où vous pouvez vous reprendre.

Mary Ann Mickey a placé un autre fichier sur notre site. Elle dit que : « Voici un autre morceau de notre histoire à considérer lors de nos recherches des ancêtres. Le docteur Hall a fait une recherche exhaustive sur les esclaves du début de la colonie. Le site est à : http://www.ibiblio.org/laslave/fields.php

J’en ai extrait toutes les fiches appartenant aux Rivard/Rivarde et j’en ai fait un fichier disponible à : http://groups.yahoo.com/group/rivard_forum/files/Slave%20Records.doc. C’est dans le format Word. Si vous préférez un fichier Excel ou Text, laissez-le moi savoir et je vous l’enverrez directement. Vous y trouverez Antoine, son fils François, leurs veuves, et d’autres Rivard de l’époque (Jean-Baptiste, son fils Jean-Baptiste, sa fille Marianne et le petit-fils Achille) Les fiches les plus récentes contiennent le nom du notaire. Mais je suis certaine que les bénévoles n’ont pas saisi le nom du notaire dans les fiches plus anciennes.

AIDE DEMANDÉE (ET REÇUE) :

FRIANDISES Que la joie de Noël rejaillisse sur vous et votre famille et que l’Année Nouvelle apporte la solution à vos mystères généalogiques !

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A HOLIDAY GREETING FROM THE CHAT

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VIRUSES

Avoir Spreading of Viruses … By Alain Gariépy

Voici la procédure à suivre pour éviter d'envoyer un virus à vos contacts:

Pour tous ceux qui l'ignorent, plusieurs virus se répandent par eux-mêmes; ils s'acheminent eux-mêmes à tous les contacts de votre carnet d'adresses. Si vous voulez éviter cette situation, voici un truc efficace.

Ce truc ne vous protégera pas contre l'arrivée de nouveaux virus, mais il empêchera les virus, si vous en recevez, de se répandre par l'intermédiaire de votre carnet d'adresses vers vos contacts.

Alors, pour éviter ça, créez un nouveau contact dans votre carnet d'adresses au nom de : 0000 sans y inscrire d'adresse e-mail et sans autre détail.

Ce nouveau contact s'installera en premier, sur votre liste. Si un virus tente de faire parvenir un message à tous les contacts sur votre liste, il commencera par essayer de s'envoyer à votre premier contact (0000) mais puisque ce dernier ne contient pas d'adresse, votre ordinateur réagira automatiquement (en faisant une "erreur") et le virus s'arrêtera, sans avoir contaminé qui que ce soit d'autre.

C'est simple, mais ça marche et c'est une preuve de savoir-vivre, de responsabilisation et de civisme envers nos contacts.

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Maïs au caramel

Ingrédients

½ lb. Beurre (non pas de margarine)

½ c. sirop de maïs blanc

1 c. cassonnade

1 sac maïs à souffler Old Dutch

1 c. à thé de soda à pâte

Chauffer votre four à 250° puis verser le maïs à souffler dans une grande marmite.

Faire fondre le beurre, la cassonnade, et le sirop de maïs jusqu’à ce que le mélange fasse des bulles, cuire deux minutes, ajouter le soda â pâte (le mélange fera une mousse) enlever du feu, verser le maïs à souffler, cuire 45 minutes en remuant toutes le 10 minutes.

Verser dur un papier ciré, briser en morceau et SAOUREZ.

IL EST IMPORTANT DE LAVER IMMÉDIATEMENT VOTRE MARMITE PARCE QUE LE CARAMEL QUI COLLE NE SE LAVE PAS FACILEMENT. … C’est une recette de Diane Dorn. C’est la sucrerie favorite de son père durant les Fêtes.

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LES GÂTERIES DE PEGGY

SUCRE BRUN … Pour ramollir la cassonnade prise en pain de sucre, placez une tranche de pain dans un sac et scellez pour quelques heures. Utilisez une râpe si vous en avez besoin immédiatement.

BROCCOLI … Pour cuire également les fleurons et les tiges, découpez un X dans la tige.

BEURRE … Pour ramollir, utilisez une râpe. Conservez l’enveloppe au frigidaire et utilisez la pour graisser vos plats.

HAMBURGERS … Pour faire cuire plus rapidement, faites un trou au centre du hamburger.

MIEL … Avant de mesurer, garnissez la tasse à mesurer avec du Pam.

POPCORN … Conservez le dans le frigidaire. Il reste ainsi frais et élimine le surplus des grains qui ne sont pas soufflés

VIN … Le soda est ce qu’il y a de mieux pour enlever les taches de vin. Pour des taches plus rebelles, utilisez une pâte de savon et de l’eau. Grattez et nettoyez dans l’eau la plus chaude possible (très efficace) Versez su sel sur la nappe immédiatement après le déversement.

PRENEZ PLAISIR … Peg j;o)

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DE TOUT ET DE RIEN

Napoléon fondit en un ensemble de sept lois près de 14,000 décrets. C’est la première fois dans l’histoire moderne que les lois d’une nation s’appliquaient également à tous ses citoyens. Les sept lois de Napoléon sont si impressionnantes, qu’en 1960, plus de 70 états en avaient fait leur modèle ou les avaient utilisées comme telles.

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UN PEU D’HUMOUR

Un ivrogne qui sentait le fond de tonne s’assoit dans le métro sur le siège voisin d’un prêtre. La cravate de l’homme est tachée, sa figure est couverte de rouge à lèvres et une bouteille de gin à moitié vide sort de sa poche arrière. Il ouvre son journal et commence à lire. Après quelques minutes, il se tourne vers le prêtre et lui dit : « Mon père, savez-vous ce qui cause l’arthrite? »

« Mon fils, c’est causé par une mauvaise vie, par la fréquentation de femmes perverses, par trop d’alcool et par le mépris pour vos semblables. »

« Eh bien! Je serai damné » dit l’ivrogne qui retourne à sa lecture. Le prêtre, en repensant à sa réponse, donne un coup de coude à l’homme et s’excuse. « Je m’excuse. Je ne voulais pas être si violent. Depuis combien de temps faites-vous de l’arthrite? »

« Mais je ne fais pas d’arthrite. Je lisais un article mentionnant que c’est le cas pour le Saint-Pèret.

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Rendez-vous le mois prochain.

D’ici là soyez gentils les uns envers les autres et gardez le sourire