<%@ Language=JavaScript%> Le journal

« Vacances » avec François...

Santiago (33‹23'35"S 70‹47'09"W)                               Île de Chiloé (42‹30'00"S 73‹45'00"W)
                                                                                                                                              1044 km

Île de Chiloé (42‹30'00"S 73‹45'00"W)                                 Osorno (40‹36'41"S 73‹03'37"W)
                                                                                                                                                218 km

Osorno (40‹36'41"S 73‹03'37"W)                           Volcan Puyehue (40‹36'00"S 72‹08'00"W)
                                                                                                                                                   78 km

Volcan Puyehue (40‹36'00"S 72‹08'00"W)                           Valdivia (39‹47'49"S 73‹14'30"W)
                                                                                                                                                130 km

Valdivia (39‹47'49"S 73‹14'30"W)                                     Valparaiso (32‹56'59"S 71‹28'43"W)
                                                                                                                                                776 km

Valparaiso (32‹56'59"S 71‹28'43"W)                                   Santiago (33‹23'35"S 70‹47'09"W)
                                                                                                                                                   81 km

                                                                                                                               Total =  2327 km

 

Table des matières (cliquez sur les titres !)

Retrouvailles à Santiago

Pâques à Chiloé

Sus au volcan !

Repos à Valdivia

Adieux à Valparaiso

 

Retrouvailles à Santiago

Le 4 avril 2004. 040404. Je retrouve mon ami (et facteur) Suisse à Santiago pour 2 semaines de « vacances » (je sais que ce mot fait sourire certains) ensemble. Jfai pris un lit à la Casa Roja et cfest une adresse super ! La lecture de mon courrier et des petits cadeaux qui viennent avec est un grand plaisir.

Le soir même nous prenons le bus pour lfîle de Chiloé. En chemin nous visitons lféglise de Puerto Montt et son curieux chapelet géant fait de flotteurs de bateaux.

Pâques à Chiloé

Lfîle de Chiloé est classée au patrimoine mondial (voir ma page spéciale) du fait de ses églises en bois qui sont toutes plus mignonnes les unes que les autres. Chemin faisant nous nous régalons avec les églises de Castro (la capitale de lfîle), Dalcahue, Achao, Curaco de Velez...

Mais la visite des églises nfest pas notre seule occupation, ni dfailleurs notre seule préoccupation : François a une tente et un réchaud tout neufs qufil nous faut inaugurer.

Nous partons donc camper 2 jours dans le parc naturel de lfîle. Ça sera dfailleurs les 2 seuls jours où nous nfavons pas eu de pluie !

On en a pris plein les yeux et aussi plein les oreilles car le Pacifique fait autant de bruit que le périph à Paris ! François trouve le moyen de discuter et moi je fais des expériences photographiques.

Et même sfil fallait parfois se déchausser pour passer, et même si le bus de 16:30 ne circule pas le vendredi saint (sachant que le mecredi on me disait qufil circulait « todos los dias »...), cfétait SUPER !

Jfélucide 2 mystères : les lions de mer sont des Otaria byronia. et les fuchsias des fuchsias magellanicas (voir le site britannique de la Fuchsia Society !).

En rentrant on fait un peu de lessive...

 

Le jour de Pâques je nfai pas pu aller à la messe car la messe de 11:00 nfa pas eue lieu, alors que lfon mfavait donné lfhoraire la veille au soir... mais jfai eu mon oeuf de Pâques, merci François !

Sus au volcan !

La suite du programme était moins claire pour moi mais très claire pour François : il me parlait amoureusement et avec insitance dfun certain volcan au nom imprononçable : Puyehue. Le fait qufil pleuvait presque 24 heures sur 24 nfavait pas lfair de lfémouvoir... peut être parce que quand il ne pleut plus les écairages sont superbes ?

On nfa tout de même pas tenté la nuit sous la tente et jfai bien aimé la grange... Le lendemain François sféquipe et part sous des trombes dfeau, moi jfopte pour la grasse matinée au lit en attendant une météo meilleure. Sur le coup de midi et demi je ne peux plus me mentir : il ne pleut plus... alors je pars à mon tour en direction du refuge 1000 mètres plus haut.

Au refuge lfambiance est sympa mais assez froide, genre 6 degrés avec le poele allumé... On y trouve un couple de Tasmaniens super bien équipés , un couple dfécossais habitué aux temps pourris, une américaine qui attends depuis 3 jours que le temps sfaméliore, François et moi...

Le lendemain matin il fait 3 degrés et il neige... Ma décision est prise : je redescend ! En vieillissant je me prends à apprécier le plaisir plus que la performance. François mfaccompagne, après tout nous faisons équipe.

 

On nous a dit qufil y avait un bus « todos los dias » à 12:30... À 11:30 nous nous mettons au bord de la route...

Pas de bus... Le téléphone des gardes forestiers ne fonctionne pas... Le stop ne donne rien...

Repli tactique vers un de ces cabañas au toit pointu qui me faisait rêver depuis un bout de temps. Comme le gaz était épuisé ce nfétait pas très chaud non plus...

Le matin, après le ménage, on se remet au travail au bord de la route. On nous a dit que le Bus Norte de 10:30, sfarrêterait pour nous, mais lui, tout autant que les camions, il ne sfarrête pas...

Ce nfest que plus de 24 heures plus tard que, enfin, une 504 break customisée nous prends en stop...

Repos à Valdivia

Dans la foulée, nous partons pour la ville proche de Valdivia où nous y trouvons soleil, sites intéressants à visiter et hospedaje super ! Ouf...

Le soir on dîne dans un petit resto génial où le cuisinier met tout son coeur dans lfélaboration des plats. Sa verve me subjugue, on dirait un débutant passionné.

Adieux à Valparaiso

Il nous reste 24 heures avant que François ne reparte et, pour bien finir ce programme chargé, nous nfavons dormi que 2 nuits au même endroit, je lui  propose de faire le détour par Valparaiso qui mfa tant plus. François peut même me chanter la chanson...

Alors on a fait les puces,  on a regardé les petites maisons colorées (elles font dfailleurs lfobjet dfun concours) et vues des otaries à la longue vue.

 

François repart... et moi je vais visiter et traîner dans le sympathique petit port de Horcon où lfon utilise des chevaux pour mettre les bateaux à lfeau. Je nfavais jamais vu ça, comme déjà tant de choses.