<%@ Language=JavaScript%> Mes aphorismes

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La vie se déroule à moitié peuplée de remords, à moitié peuplée de regrets, à moitié peuplée de rêves. Rêves d'une vie sereine qui ne sera jamais la mienne.

Il fallait bien rentrer, sinon comment pouvoir repartir ?

C'est la dernière fois qui est importante. La dernière fois, pas la première. La dernière fois que l'on voit quelqu'un. Son dernier amour. Sa dernière femme. On peut se tromper la première fois, on n'a pas le droit de se tromper la dernière fois, il n'y en aura pas d'autres. C'est un joli paradoxe : on est toujours sûr de la première fois mais on n'est jamais sûr que c'est la bonne ! Seule la dernière apporte la certitude de la bonne réponse.

Tousseul est à nouveau lui-même.

Le célibat c'est bien sauf pour bricoler. Là c'est vraiment la merde.

Personne ne sait toujours après quoi je cours… mais je cherche.

Mes 2 premières maîtresses ont été des maîtresses d'école.

Allez, admettons que j’arrive un jour à être plus ou moins père. Mais alors mère de famille, ça non, c’est trop dur. Un vrai boulot. Il faut une constitution de femme pour résister à ce truc là. En tous cas je suis farouchement contre l’égalité de sexes.

Homme. Homme, oncle, parrain, ami, amant parfois. Mais ni père, ni mère.

On ne peut pas « gagner une guerre », on ne peut que la perdre et son âme avec.

Le monde s’étend, le monde s’étale, le monde se ramasse, le mode se vautre.

Les courbes de la bourse remplacent les arabesques des femmes et l’énoncé de la chute des marchés a remplacé la déclamation des poèmes.

Je ne sais plus où j’habite, j’ai envie d’habiter partout, j’ai envie de voir le monde, l’autre, celui qui reste beau, j’ai envie de rencontrer l’Homme, celui dont j’espère qu’il existe encore quelque part.

« Personne ne me comprend… » sans doute mon p’tit gars mais t’en fait pas quelqu’un a déjà vécu ça… quelque part !

Pendant longtemps je me suis appelé « Tu-travailles-toujours-autant ».

Quand une femme vous aime beaucoup, c’est le beaucoup qui est en trop.

Quand une femme vous dit « bonne continuation », cela veut dire : toi tout droit, surtout tout droit, moi je tourne ici…

Boulimique de la vie, voilà ce que je suis, je voudrais tout faire en même temps, profiter de tout au même instant. Écouter de la musique, visiter, lire, regarder, réfléchir, manger, parler, au même moment.

Je veux tout mais j’ai besoin de si peu.

Je ne sais de quels plaisirs inconnus les divisions de la joie me rapprochent mais elles tournent en rond depuis 2 jours.

 

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