Social
Famille
La famille constitue inévitablement la cellule de base de la race canadienne-française.  Telle l’abeille dans la ruche, le membre de la famille travaille toujours pour l’avancement et le progrès des siens, du patriarche aux enfants.  Cette cohésion est essentielle à la préservation de nos saines et uniques traditions et, conséquemment, à la survivance de notre race, en cette merveilleuse terre d’Amérique, fière porte-étendard des racines françaises que la France a misérablement rejeté il y a 200 ans avec sa subversive révolution.

La famille, c’est comme la ruche et l’abeille.  Tous sachent quoi faire dans un but commun.  L’abeille, protéger la ruche dans un effort coopératif; le père, la mère et les enfants, protéger l’institution familiale, dans ce même effort coopératif, avec des rôles bien précis qui permettent la perpétuation de notre existence nationale sur Terre.  La Providence a ainsi voulu que le père, ce Pater familias, fut le chef de famille à qui tous les membres de la famille doivent obéissance et respect.  C’est ce respect à l’autorité et à l’ordre qui fait le succès de la ruche.  Le père, en tant que dépôt du savoir et de la sagesse paternelle et des enseignements maternels, possède l’habileté naturelle pour coordonner l’action familiale.  C’est aussi lui qui met le pain sur la table.  Sa connaissance du monde extérieur, de ses dangers, de ses épreuves font de lui le plus apte à diriger la famille.
La mère canadienne-française, dans la province de Québec, avec son amabilité, son dévouement a appris à tant de générations d’enfants quels devaient être leurs devoirs nationaux et religieux.  Pourquoi modifier ce qui a fait notre succès?  Elle doit donc s’en remettre à ses qualités matrimoniales exceptionnelles en plus de ses habiletés ménagères, transmises depuis la nuit des temps.  C’est à elle aussi que dépend l’avenir de notre race.  Femmes, renoncez aux miroitantes offres de libertés, promettant généralement des lendemains stériles.  Votre rôle maternel vaut bien toutes les réussites matérielles! Que valent des biens, de l’avoir, une job à la chaleur qu’apporte le sourire d’un enfant?

Certaines prétendent que la nourriture matérielle surpasse la nourriture spirituelle et qu’il faut prioriser cette nourriture matérielle.  Émancipationneuses!  À vous la faute de la baisse de la natalité, à vous la faute des problèmes de la modernité!  Vous avez renoncé à la mission que la Providence vous a accordée. Vous sapez les bases de la famille, donc de la société canadienne-française  À celles qui privilégient les joies du rôle traditionnel de la maternité tout en se lançant, en second lieu, dans les troublantes aventures des métiers et professions, vous avez compris le véritable sens de la vie.  Notre parti n’a pas la prétention de vouloir empêcher la femme à des destins mercantiles et futiles.  La famille peut avoir besoin de ce revenu supplémentaire, dans les secteurs qui concernent la femme.  Toutefois, le revenu qu’elle peut tirer de son travail ne doit pas surpasser celui de son mari.
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