
Même les derniers qui rentrent chaque soir au «Village», (cette fois-ci à Sherbrooke),
suivis du «balayeur», une équipe chargée de voir à ce que tous les cyclistes
rentrent au bercail, sont accueillis par des applaudissements!
L'expérience semble tellement émouvante que, savez quoi,
un de ces soirs j'aimerais que ce soit moi le dernier!
Denis Dufresne, journaliste participant au Grand Tour

Ils n'allait peut-être pas vite vite mais ils n'ont pas eu besoin du «balayeur»

et pourront afficher fièrement leur certificat.