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Histoires véridiques
Albert de Salvo

  Albert de Salvo, surnommé l'Etrangleur de Boston fut accusé du meurtre de treize femmes en l'espace de deux années. Il fut arrêté en 1966 et condamné à perpétuité en 1967 pour plusieurs viols commis sous la menace d'un couteau, mais sans autres brutalités. Afin qu'il plaide coupable pour ces viols, il y a eu négociation judiciaire pour ne pas évoquer ses treize meurtres de femmes, suivis de viol, commis entre 1962 et 1964, pour lesquels il n'existait que ses aveux spontanés et l'expertise psychiatrique du Dr Brussels. Il mourra dans la prison de Walpole, Massachusetts en 1973, assassiné de seize coups de poignard par ses codétenus.
D’un aspect physique sans signes particuliers, il est brun, musclé,  très soigné, inspirant confiance par sa tenue et ses talents de beau parleur persuasif, qui lui ouvre les portes des dames seules sous divers prétextes.
Sa situation familiale est désastreuse.  Son père, très violent et cruel envers sa femme et ses cinq enfants, est de plus incestueux avec ses filles. Sa mère est indifférente et peu présente dans le foyer.
Petit, il se sauve pour dormir avec le chien d'un voisin, à la recherche d'un peu d'affection.
Depuis ses 5 ans, il est entraîné à la vie sexuelle par sa soeur aînée et par l'exemple de son père qui introduit dans la maison des prostituées, sous les yeux des enfants. Toute sa vie, Albert de Salvo cherchera l'affection.
Elève consciencieux, très serviable, recherchant toute occasion pour être distingué et approuvé, il commet cependant des petits larcins et des actes de cruauté envers les animaux.
Il sera condamné à l'âge de 12 ans pour vols et attentat à la pudeur sur une fillette de 9 ans.
A partir de ses 17 ans, il rejoint l'Armée, où son sens du devoir est remarqué. C'est l'époque la plus heureuse de sa vie, car il ressent l'estime qui l'entoure et arrive au grade de sergent. En même temps, les charmes de son tempérament passionnel sont très appréciés par certaines épouses des officiers, quelque peu délaissées par leurs maris. Il est initié au bondage (relations sexuelles avec violences).
Marié par amour, père de famille, il excède sa femme par son comportement « trop » amoureux. Elle finit par devenir de plus en plus froide à son égard.
Après avoir fondé famille lui-même, il quitte l'Armée sur les instances de son épouse et trouve du travail dans les métiers du bâtiment et sur un chantier naval. Bon époux et bon père, il continue d'être assoiffé d'affection.
En outre, il est attristé par le handicap congénital de sa fille de 2 ans, les jambes en « grenouillère », et lui applique quotidiennement les massages prescrits par l'orthopédiste.
Le manque d'amour maternel pèse toujours sur son équilibre. Quand sa femme cesse de lui offrir la sécurité de son amour, il est submergé par des pulsions et régresse vers des actes criminels teintés de réminiscences autobiographiques.
Au début de sa série de treize crimes,  ses victimes seront des dames en âge d'être sa mère. Après une pause plus longue, il choisira des jeunes femmes. Pour les attirer, il entame une conversation concernant le prétexte invoqué pour entrer dans l'appartement (travaux à exécuter, etc.). Sa capacité de persuasion devait être importante, car les victimes étaient des personnes réputées sérieuses.
Une fois dans les lieux,  il assomme la victime dès qu'elle lui tourne le dos et l'étrangle avec un tissu trouvé sur place (bas, cordon d'une robe de chambre, etc.). Après la mise à mort, il se livre à un simulacre d'acte sexuel. Dans les cas des dames âgées, il n'y a pas de pénétration et l'acte semble commis par un impuissant ou un adolescent encore immature sexuellement. Dans les cas ultérieurs des jeunes femmes, il consomme l'acte de manière « normale ». Cette différence avait d'ailleurs égaré la police, qui croyait à l'existence de deux étrangleurs.
En réalité, il s'agissait du fait qu'il avait, entre-temps, évolué dans la maturité sexuelle comblant sa régression et revenant à sa capacité normale.
Après un dernier crime où, en possession de ses moyens, il commet l'acte d'une manière offensante pour la victime, en signe de mépris pour les femmes, il arrête définitivement sa série de crimes et ne commet plus que des viols. Ces viols, pour lesquels il fut condamné, se produisaient d'une manière inhabituelle: d'abord menace au couteau et immobilisation de la victime, puis caresses très tendres et prolongées qui disposent favorablement à son égard certaines de ces dames. Il recherchait, là encore, le consensus affectueux.
Pour revenir aux meurtres, il les « signe » par une mise en scène autobiographique rituelle : il dispose les cadavres dans une position suggérant les jambes d'une grenouille (sa fille handicapée) et lie le tissu autour du cou dans un noeud semblable à ceux portés par les petites filles, dont la sienne.
Après I 'acte,  il enlève toutes les traces de son passage et retourne à sa vie de travail et de famille.
Il explique ses gestes par des pulsions subites, un plaisir du pouvoir absolu de donner la mort,  une incapacité de comprendre ce qui se passe en lui-même.
Il éprouvera le souhait d'un traitement qui pourrait lui apporter l'explication de ses actes et la guérison.

Charles Manson

  Une nuit d'été, au mois d'août 1969, Sharon Tate, actrice et épouse de Roman Polanski, et quatre autres personnes furent assassinées à Los Angeles. Vingt quatre heures plus tard deux autres meurtres eurent lieu dans un quartier voisin. Ces sept assassinats rituels semèrent la terreur à Los Angeles. Un vent de folie meurtrière s'était emparé de la ville. Charles Manson, dangereux gourou d'une secte californienne, exerçait un pouvoir inconditionnel sur ses disciples, qu'il poussait à tuer. Délinquant juvénile, familier du monde carcéral, menant une vie dépravée faite de drogue et de sexe, Manson donna libre cours à son insatiable soif de sang et à son mépris de la vie humaine. Coupable sans aucun remords, il échappa à la peine de mort et fut condamné à la réclusion criminelle à perpétuité au pénitentier de Vacaville, en Californie.


« je n'ai tué personne, je n'ai ordonné la mort de personne. Ces enfants qui viennent vers vous avec leur couteaus sont vos enfants. C'est par vous qu'ils ont été éduqués ». Charles Manson


« Presque tous ceux du ranch faisaient partie des gens que vous aviez rejetés, de ceux qui traînaient sur les routes » « La société m'a écrasé. On va tuer tous ces salauds. Allez-y et descendez les ». Charles Manson

David Bercovitz « le fils de Sam »
 
  David Bercovitz  dit « le Fils de Sam ». A  24 ans,  son tableau de chasse est constitué de six victimes tuées et sept blessées en 1976 et 1977. Il fut condamné à trois cent soixante-cinq années de prison.
On le décrit comme étant jeune avec un  visage rond poupin, des cheveux bruns longs et raides, des yeux rapprochés, une bouche mince, un gros nez et l’air timide.
Né d’un père inconnu et d’une mère refusant de l'assumer, il est adopté. Il en gardera un souvenir désagréable. Sa mère adoptive meurt quand il a 14 ans. Plus lard, de retour de la guerre de Corée, il part à la recherche de sa mère génitrice, la trouve mais la rencontre le déçoit, car elle n'accepte toujours pas de l'accueillir chez elle. Célibataire, il est fiancé à une fille brune aux cheveux longs qui ne l'attend plus à son retour de service militaire.
Enfant, il montre une cruauté extrême envers les animaux. Il verse de l'ammoniac dans l'eau des poissons rouges et empoisonne les canaris de sa mère adoptive. Des tortures raffinées sont réservées aux souris, papillons et autres animaux qu'il peut attraper. Tout cela pour vérifier sa puissance sur les êtres vivants.
Apparemment intégré socioprofessionnelle, il est employé des postes, sans histoires, effacé, jovial.
En réalité, avant d'accomplir la série de meurtres, étant déçu de ne pas avoir été accepté dans le corps des pompiers, il allume environ mille cinq cents incendies à New York, en gardant la trace et les détails sur une liste retrouvée par la police. Cela ne l'empêche pas de participer à des actions de sauvetages lors de son travail en tant que vigile dans une entreprise de transports, pour être traité en « héros ».
Ses victimes sont des couples d'amoureux, de préférence avec des filles aux longs cheveux bruns, ou femmes seules du même type.
Après un premier acte au couteau, qui lui déplaît à cause des éclaboussures, il descend, par prudence, au Texas pour s'acheter une arme de calibre 44 avec munitions et tire, vers la fin de la nuit, sur les couples qui flirtent dans leurs voitures ou sur des femmes seules. Il sort à la chasse chaque nuit, mais n'agit que lors des circonstances propices (donc préméditation à l'état conscient). En revanche, les nuits sans crime, il retourne sur les lieux des actes antérieurs pour revivre les moments exaltants. Il éprouve une jouissance érotique et la « gloire » de dominer autrui. Il assiste toujours à l'enterrement de ses victimes.
Après ses crimes, il adresse des messages à la police pour revendiquer l'acte et pour proférer des menaces :
« Les rues deviendront rouges de sang ».
Il acquiert le sobriquet de « Fils de Sam » et prétend agir sous l'effet d'un dédoublement de personnalité, sous les ordres de ses « doubles » Sam ou Craig.
Selon ses explications,  « Sam » serait une voix démoniaque qui lui ordonne de tuer et qui lui parle par le chien d'un voisin.
Lors d'un entretien à la prison, après sa condamnation, avec Robert K. Ressier, il avoue avoir inventé consciemment « Sam » et la communication avec le chien pour se moquer des journalistes qui publiaient ces élucubrations, de la justice et des psychiatres, et surtout pour pouvoir plaider la maladie mentale. Sam était le prénom d'un de ses voisins et Craig n'était autre que le shérif-adjoint qui enquêtait sur ses crimes et qui habitait aussi dans le même immeuble. Le chien en question n'a, bien évidemment, jamais parlé. Il précisa qu'en réalité, ce qui l'intéressait le plus était d'exercer son pouvoir sur la vie et la mort des êtres. En revanche, il témoigna moins d'empressement pour commenter la composante érotique, pourtant présente dans sa manière de revivre les moments des crimes et affirma que l'amour d'une « gentille femme » qui aurait accepté ses fantasmes l'aurait empêché de commettre les crimes. Cette ultime version ne serait-elle qu'une de plus ?
D'autres recherches ultérieures tendent à lui trouver des liens avec la « famille » de Charles Manson et avec d'autres groupes pratiquant le culte satanique.

Jack l'Eventreur

  Le premier et probablement le plus connu d'entre eux est sans conteste Jack the Ripper. Il a sévi du 31 Août 1888 au 9 Novembre 1888 et a fait apparemment 5 victimes qui étaient toutes des femmes de petite vertu. Sa technique est on ne peut plus simple: il attaquait ses proies de nuit, dans le quartier populaire de White Chapel, à Londres. Une fois sa victime assassinée, il opérait sur le cadavre un certain nombre d'opérations quasi chirurgicales plutôt abjectes dont nous ferons l'économie ici.
Malgré la nature du "travail" de ses victimes, Jack the Ripper ne s'adonnait à aucun acte d'ordre sexuel sur elles. Il y avait mise à mort des femmes, dissection en bonne et due forme selon une logique abominable et connue du tueur seul mais en aucun cas il n'y eut viol.
Les 5 malheureuses à avoir croisé sont chemin sont Mary Ann Nichols (31 Août 1888), Annie Chapman (9 Septembre 1888), Elisabeth Stride (30 Septembre 1888), Catherine Eddowes (même jour), et Mary Kelly (9 Novembre 1888).
Ce qui a fait comprendre aux spécialistes que ce tueur souffrait d'une pathologie d'ordre compulsif est ce qui se passa la nuit du 30 Septembre. Dérangé en "plein travail" sur le corps d'Elisabeth Stride, il fut poussé à attaquer plus tard le même soir Catherine Eddowes. Il lui fallait à tout prix terminer ce qu'il avait entrepris, quitte à courir le risque de se faire prendre. La pulsion était telle qu'elle ne pouvait être raisonnée et demeurer insatisfaite.
Bien évidemment, de nombreuses hypothèses furent échafaudées pour découvrir l'identité du tueur. Tout le monde y allait de sa petite idée: le médecin de la reine Victoria, Le petit-fils de cette même reine, un comédien américain en tournée à Londres pendant les événements, un illustre membre de l'Académie des Sciences de sa Majesté, etc.
Il y a peu parut en livre de poche ce qui devait être le journal de Jack the Ripper. Ce document aurait été écrit par un riche représentant de commerce habitant en province et dont les déplacements correspondraient avec les dates des assassinats. Mais il fut prouver que ce journal était une mystification, soit d'un remarquable faussaire, soit d'un éditeur fort peu scrupuleux.
Quoi qu'il en soit, ce n'est pas vraiment l'identité du tueur qui est importante mais la nature des crimes. Cette vague d'assassinats est d'autant plus surprenante qu'elle montre un degré de dépravation sexuelle terrifiante et ce, dans un monde maintenu dans une rigueur morale extrême et hypocrite propre à l'ère victorienne.

Jeffrey Dahmer

  Dans les années 80, un tueur en série sévit dans les environs de Milwaukee: Jeffrey Dahmer. D'ailleurs, l'agent Bocks dans l'épisode Irresistible/Le Fétichiste le nomme expressément, s'émouvant du fait qu'aucun de ses voisins ne se soit jamais inquiété des innombrables allées et venues de Dahmer et des nombreuses visites de jeunes hommes qui ne semblaient jamais repartir de chez lui.Issu d'une famille bourgeoise, Dahmer est né en 1960. Il a un frère plus jeune qui fut l'enjeu du divorce de ses parents, chacun se disputant la garde du petit dernier, mais ignorant totalement l’ainé. De plus, il fut victime d'une agression d'ordre sexuelle lorsqu'il était enfant, par un garçon de son quartier. Considéré comme un élève brillant mais asocial par ses professeurs, il plaqua ses études pour s'engager volontairement dans l'armée qu'il fut pourtant obligé de quitter avant sa démobilisation en raison de son alcoolisme.L'agent Scully dit au cours d'un épisode que les tueurs en série chasse dans leur propre groupe ethnique. Dahmer semble être l'exception qui confirme la règle: il avait une préférence certaine pour des victimes noires ou appartenant à une autre minorité ethnique.

Accusé de viols, meurtres et cannibalisme, il écopa de 957 années de prison ! NDR : Moi je lui aurai donné la perpétuité non mais des fois, histoire qu’il remette ca quand il sortent ! C pas possible, ca ! La justice de nos jours ne vaut pas un clou !)

Son trajet s'acheva en 1987, lorsqu'il fut assassiné par un de ses codétenus (NDR : après lui avoir rasé les cheveux, et avoir voulu le donner en condiment à ses camarades de cellule !)

Il ne s'agit pas ici de trouver des excuses à ses meurtres mais d'expliquer la constitution de sa pathologie. Il semblerait, d'après les experts chargés de son cas par le tribunal, que Dahmer ne supportait aucune forme de séparation d'avec les gens auxquels il s'attachait. A fortiori, il ne pouvait supporter qu'on le quitte

Ted Bundy

  Ted Bundy fut suspecté d'une soixantaine d'assassinats de jeunes filles sur le territoire de douze Etats d’Amérique du Nord. Condamné à mort pour les faits prouvés, il fut exécuté en janvier 1989.
Choyé par des parents qui sont, en réalité, ses grands-parents, puisque celle qu'il considérait comme sa soeur était, en réalité, sa mère (célibataire), c’est un élève ambitieux dont la réussite scolaire permet d’entreprendre des études de droit. Il va fréquenter les milieux intellectuels et politiques, participer, en tant que volontaire, à des actions sociales et bénéficier de la sympathie générale et de l'admiration des dames. Ses rêves de réussite vont se voir couronnés par les fiançailles avec une jeune fille blonde, aux cheveux longs avec une raie au milieu, issue de la grande bourgeoisie. Malheureusement pour lui, la famille de la fiancée rompt les liens. Bundy va accuser le coup avec orgueil et se lier avec une jeune femme qui reste, durant des années, sa maîtresse attitrée.
Avec son allure de beau jeune homme intelligent, séduisant, cultivé et bien élevé, il fréquente le milieu mondain des politiciens et des juristes, paraissant promis à une belle carrière. Il pourrait gagner la sympathie et les faveurs de beaucoup de jeunes filles qui l'entourent à l'université ou dans les salons, mais il préfère choisir des filles inconnues qu'il viole et tue dans des tortures indescriptibles. La dernière victime est une fillette de 12 ans. Il éparpille les morceaux de ses victimes sur le territoire de plusieurs Etats des Etats-Unis, les enterre puis les déterre parfois pour les caresser encore. Parfois, il mord et consomme. Sa voiture dispose d'un système de blocage de la portière du côté du passager. Il  lui arrive de se déguiser en policier, avec arme et menottes, pour mieux impressionner sa victime.
Les estimations tournent autour d'une soixantaine de jeunes victimes. Très mobile dans sa voiture rapide, il change souvent de résidence d'un Etat à l'autre.

Son mode opératoire est toujours le même : il recherche la connaissance d'une fille blonde aux cheveux longs avec une raie au milieu, dans un lieu fréquenté par des jeunes : campus universitaire, collège, plage, discothèque. Exerce son charme durant un bon moment, puis la persuade de l'accompagner ou bien pour une promenade ou bien pour l'aider à conduire sa voiture, lui-même ayant un bras en écharpe. Une courte matraque cachée dans sa manche intervient au moment voulu pour étourdir la fille. De longues tortures suivent avec, au bout, la mise à mort.
Extrêmement organisé, il est attentif à tous les détails qui empêchent la police de l'identifier. Après son premier interrogatoire en tant que « témoin » suspect, il fait semblant d'aider les recherches et tente de gagner la confiance des enquêteurs et des journalistes. Il s'estime beaucoup plus intelligent que ses poursuivants et a cru, jusqu'au jour de son exécution, qu'il pouvait les tromper. De nombreuses personnes, confiantes dans ses protestations d'innocence et sous le charme de ses interviews émouvantes, le croient innocent et manifestent pour sa libération, malgré les preuves matérielles existantes dans son dossier. Vers la fin de sa série d'assassinats, poursuivi par la police après deux évasions, il n'a plus toujours le temps et les conditions nécessaires pour camoufler les corps, mais il lutte énergiquement et avec une intelligence rusée contre les suspicions qui l'entourent et les preuves qui apparaissent
Il fut arrêté plusieurs fois, après des évasions spectaculaires et des récidives de plus en plus fréquentes, jusqu'au moment où il a pu être enfin détenu puis, après dix ans de « couloir de la mort » passées avec les diverses procédures qu'il entamait, exécuté par la chaise électrique.
Ted Bundy n'a jamais reconnu ses crimes (jusqu'à la veille de son exécution), mais il expliquait volontiers aux enquêteurs et aux journalistes la démarche et les mobiles du « tueur » à la troisième personne

Richard Ramirez

  À venir...