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      FESTIVAL FOUDOUL RAP
La région de Kolda va abriter, du 1er au 3 octobre prochain, la première édition du « Festival Fouladou Rap ». L'évènement sera une occasion de sensibiliser la jeunesse sur le sida.

Pendant trois jours,
du 1er au 3 octobre prochain, Kolda va vibrer au rythme du « Festival Fouladou Rap », et pour une noble cause : sensibiliser les jeunes sur la lutte contre le sida. Selon les organisateurs, la jeunesse de cette région ouverte sur la Guinée, la Guinée-Bissau et la Gambie, est particulièrement menacée par la maladie. Avec le festival de rap, ils veulent offrir à la ville un rendez-vous culturel national, voire sous-régional, dont l'un des objectifs est de doter les jeunes d'armes efficaces pour l'éradication du sida. Rendez-vous musical, mais nouveau concept pour une meilleure campagne de sensibilisation, d'information et d'éducation à travers le rap.
                                                             
                                                                        
CONGO ET RAP









       
Dans les deux mois qui sont passés depuis la Comité de Censure du Congo avait commencé a censurer tous les groupes de rap au DR Congo, il y a eu beaucoup de publicité et support pour les rappeurs Congolais sur le plan international. Notre petition fut signé par presque 500 gens de partout dans le monde. Des journaux, radios et sites web comme XXL magazine, YFM (Afrique du Sud), SBS (Australia) ont mentionné la situation. Au meme moment, Guderian (MAD) en representant les rappeurs Congolais avait envoyé la petition au gouvernement et meme si on n'a pas encore donné une réponse directe, il est evident que la voix du communauté internationale a été entendu au Congo.

          Qu'est-ce que en pensent les rappeurs? Notre correspondant parlait avec Pasciphik (KMS), Lexus Legal (PNB), Kaysha et MAD (Guderian Bakielemeso). Il y a de l'espoir, comme le dit Pasciphik: "Le nouveau ministre de la culture a levé cette censure en voulant aider les rappeurs, en disant que leur musique n’est pas encore commercialisé, pour quoi les faire encore plus souffrir ? Donc les radios et les télés doivent encore diffuser les clips et sons." Mais il y a toujours des obstacles pour les rappeurs: "...le grand probleme reste au niveau de la comité de censure, qui eux demandent des sommes d’argent aux groupes de rap avant qu’ils ne donnent la permission pour la diffusion des clips et des sons : tu dois payer pour chaque clip que tu fais passer a la télé". (
Source SENERAP.COM)
FEENOS

Feenos fait partie de ces jeunes filles qui cherchent à rompre la barrière qui fait croire que le mouvement hip hip est le fait et la chose des mâles. Elle se bat depuis quelques temps avec beaucoup de reconnaissance de la part du milieu. Elle a posée sa voix sur le titre "les moutons" de Smockey.
Feenos n'a que 21 ans et évolue dans le genre rap soft aux couleurs pop et RnB à la sauce africaine. Elle utilise la Kora et la percussion. Elle chante la vie, l'amour, son quotidien, les maux de société, les conditions de la gente féminine etc.
Elle travaille dure et dit prendre le temps qu'il faut pour proposer quelque chose de costaud, d'ailleurs depuis quelques mois, elle est en studio et assure qu'elle a le soutient de se parents.
    FESTIVAL INTERNATIONALOUAGA                                           HIP HOP

 
Le 3e festival  international Ouaga Hip Hop se tiendra du 12 au 17 octobre  prochain à Ouagadougou, a-t-on appris,vendredi de sources proches  des organisateurs.  
     Joint au téléphone, la chargée de la communication et de la  coordination des activités artistiques du Centre culturel français (CCF), Nadège Hédé a indiqué que ce festival verra la  participation de plusieurs groupes de rap venant du Sénégal, du  Tchad, de la Côte d'Ivoire, du Burkina, du Niger, du Ghana et du  Mali.  
     "Ce festival innove en ce sens qu'il va se dérouler  simultanément à Ouagadougou et à Bobo-Dioulasso",a-t-elle fait  remarquer, précisant que des concerts seront donnés dans les deux  principales villes du pays par les différents groupes participants au festival. 
     Elle a, par ailleurs, précisé que le festival Ouaga Hip Hop  sera précédé du 2 au 12 octobre d'une session de formation en  danse Hip Hop, graffiti, scratch,management, écriture théatrale,  technique de sonorisation.  
     Outre les expositions, les forums, le programme du festival  prévoit des projections cinématographiques de films documentaires  sur le mouvement rap réalisés par des Africains et des européens. 
     Les films documentaires tels "Le défi" de Blanca Li,le "Scratch "du Français Doug Pray, "Ghost Dog, la voix du Samouraî" de Djim  Jarmuch, "Graffiti" sont au menu du festival.  

     Le film documentaire "Ouaga Hip Hop 3", portant sur la vie du  festival sera projeté dans les écrans des centres culturels  français Georges Méliès de Ouagadougou et Henri Matis de Bobo  Dioulasso. Fin (XINHUANET)
Black Marabout










Trois jeunes qui se veulent les sorciers modernes qui détiennent les potions magiques qui sortiront l'Afrique de ses misères. Du rap chanté avec plusieurs langues africaines, Muller B. Don Mike et Abstrait se font de la place dans le rap burkinabé et rêvent de voyager sur tout le continent pour inonder les coeurs des mélomanes de bonheur avec l'album "Prophétie".S'il y a bien une formation de rap burkinabé qui est bien partie pour se faire une bonne place dans le milieu du rap africain c'est bien ces jeunes gens.
La chanteuse Zara Moussa, mieux connue sous le nom ZM Du NIGER..


       
L a chanteuse de rap dénonce avec vigueur la situation des femmes dans son pays. Pour elle, le rap est une arme et une façon de faire passer son message auprès des jeunes, friands de ce type de musique. Surtout, à travers ses chansons, elle veut faire entendre la voix des femmes, trop souvent tue au Niger.
   BLACK  POWER DU  NIGER

Black Power fait partie de la quarantaine de groupe zinderois a évoluer sur la scène HIP-HOP. Comme dans toutes les autres villes du Niger le rap marche très bien auprès de la jeunesse. Le CCFN de Zinder, à l’image de celui de Niamey aide beaucoup ces jeunes artistes et l’ouverture du studio de Jean-Louis, anciennement localisé au CFPM de Niamey, dans l’ex capitale du pays va contribuer à la dynamique rapologique de cette ville. C’est à l’occasion du festival HIP-HOP interculture 2004 que BLACK POWER est revenu se produire à Niamey après deux première scènes en 2003 au CCFN lors des événements « fenêtre sur Zinder » organisé conjointement par les CCFN de Zinder et de Niamey, et Nescafé African Revelations ou ils avaient représenté Zinder. Ce duo, l’un des chef de file du rap Zindérois, s’est également produit à Maradi et à Kano (Nigéria).
Le Cercle
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