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épisode 405 ~ Les embryons (Cold Station 12) ________________________ Résumé Aidé par ses "enfants", Arik Soong tente de s'emparer des embryons qu'il avait dû abandonner après son incarcération. Les détails ¤ Phlox et Soong ont travaillé sur la Cold Station 12. Le docteur Lucas vient d'y être muté. ¤ CS 12 possède la plus grande collection de germes pathogènes connus. ¤ C'est le virus de la fièvre du sang qui tue un des otages en quelques minutes. ¤ Les quelques 1800 embryons issus de la recherche eugénique sont stockés sur CS 12. ¤ Les Augments sont restés livrés à eux-même au moins 10 ans après le départ de Soong. Elevés dans le culte de leur supériorité avec l'idée que les humains avaient peur d'eux et qu'ils les détruiraient par tous les moyens, ils sont prêts à tout. Il faut trois tirs de "phase pistol" réglé sur paralysie pour les assommer. Citations vo Persis: "You shouldn't doubt him, he's our father." Malik: "He is human." Archer: "Maybe Soong has a point." Malik: "Is one human being worth all our lives... and everything you worked for?" Reed: "That's what it takes to stun them, what have you got to do to kill them?" Les acteurs et le reste... ¤ Smike fait référence au héros d'un livre de Charles Dickens Nicholas Nickleby dont on a tiré nombre de livres pour enfants, une comédie musicale et un film. ¤ Richard Riehle reviendra dans le rôle du docteur Lucas, le penpal et cher ami de Phlox, dans l'épisode The Augments. On mentionnait son personnage dans "Dear Doctor" et "The Breach". Bielhe apparaissait aux côtés de Spiner (Arik Soong) dans TNG ('The Inner Light'). Il avait joué dans deux épisodes de Quantum Leap ( "Leaping in Without a Net" et "Play It Again, Seymour"). Critique Cette deuxième partie de l'arc Soong enfonce le clou et développe tous les défauts accumulés par Borderland. J'avais exprimé ma frustration devant un matériel aussi conséquent mais néanmoins aussi mal exploité. Or, alors que le clip promotionnel diffusé cette semaine laissait envisager une amélioration de l'intrigue et de la trame dramatique, l'épisode peine à démarrer et à trouver son rythme, ne négligeant aucun effet de manche et aucun cliché. Ainsi, la série est-elle à ce point en danger qu'on doive subir une scène "érotique" exceptionnellement mal ficelée entre Malik et Persis pour faire remonter les chiffres d'audience ? Ensuite, on a droit au bouc émissaire, celui qui hantera la conscience des gentils, Smike, le malheureux sous-augment laissé en arrière par ses "frères" : dès le début, on le devine condamné bien qu'on espère évidemment le contraire. Puis vient la réflexion de Soong, qui lui souhaite un vie longue et heureuse, et tout est consommé. De la à cautionner la violence gratuite qui est devenu monnaie courante depuis l'Expanse, il y a un pas que je franchirais pas. Les scènes d'exécution sont particulièrement brutales et auraient pu être tournées de manière toute aussi efficace en restant suggérées. Bis repetita pour l'erreur de jugement de Borderland. Les officiers de l'Enterprise n'ont, semble-t-il, pas relu leurs livres d'histoire avant de se livrer délibérément aux Augments sur la Station. Puisque que Reed donne cette fois-ci encore la preuve de son incompétence en comptant sur le toubib pour mettre au point un plan de sauvetage, à quoi diable servent les Maco's venus en back-up à terre avant même qu'on ait pu apercevoir leurs visages ? Ne pourrait-on pas arrêter de prendre les télespectateurs pour des imbéciles ? Borderland s'égaillait en territoire orion, Cold Station 12 essaie d'exploiter le filon denobulan sans trop de succès mais John Billingsley est parfait dans sa première véritable intervention de la saison. La courte conversation de Phlox avec Archer au mess a le mérite d'être bien écrite, très bien jouée et d'apporter des éclaircissements sur le capitaine de l'Enterprise. Certes apprendre qu'Henry Archer est mort d'une maladie débilitante quand son fils avait 12 ans n'est pas nécessaire à l'intrigue mais donne un peu d'épaisseur au personnage d'Archer et montre ses hésitations face à la thérapie génique et nous livre son approche personnelle des crimes de Soong. Dans cette scène, Bakula apporte une densité et une conviction qu'il n'avait pas délivrées depuis longtemps. C'est d'autant plus méritoire qu'il y parvient tout au long de l'épisode en dépit d'une pléthore de scènes toutes plus ineptes les unes que les autres (le fiercapitaine à la poursuite de l'infâme criminel, le capitaine rusé au coeur sur la main, le capitaine en héros prompt à se sacrifier, et j'en passe). Cela confirme qu'Archer est le personnage le plus mal écrit de la série mais qu'il a cependant un potentiel si les scénaristes s'y attellent en gardant à l'esprit un maître mot : continuité. Archer peut sortir son épingle du jeu et devenir un Picard ou un Kirk si on arrête de transformer Enterprise en terrain de jeu exclusif de Tucker. Malheureusement, au moment où on commence à enfin à s'intéresser à l'épisode qui n'est en fait que la suite de la longue exposition de la semaine dernière, les mots "to be continued" s'affichent sur l'écran ce qui confirme qu'on aurait pu accorder à Home le développement qu'il méritait. Un bon point supplémentaire pour Brent Spiner, plus inspiré cette fois-ci dans un registre émotionnel délicat. La moyenne. Espérons que l'épisode final resserrera les boulons. |
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CYCLE SOONG 2/3 |
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