Avant de visiter Bratislava, nos plans prévoyaient une courte visite à Erzgterzom, puis la traversée du Danube et la frontière slovaque à Sturovo. Malheureusement, ayant aucune idée de ce qui nous arriverait rendu en Slovaquie, nous avons changé les plans pour un train direct pour Bratislava. Ce train direct est évidemment passé par... Sturovo. Avoir su! |
Bratislava nous a accueilli avec un air tranquille et joyeuse, habituée aux touristes qui y font un saut depuis l'Autriche. (La banlieue de Bratislava est en Autriche à moins de 13 km du centre et Vienne et Bratislava sont les capitales les plus rapprochées au monde, 60 km) Suite aux problèmes de logement à Budapest, nous appréhendions le pire, mais l'infoturist nous a trouvé un flat chez Milan. En fait nous avons eu droit à un minuscule appartement de l'ère soviétique. Avec des serrures digne de New York (une barre d'acier de 10 cm qui traverse la porte). |
Notre guide indiquait que la Slovaquie produisait du bon vin et que partout en ville, on trouverait des bars à vin dans les caves et celliers. Nous avons bien trouvé les caves, les celliers et les bars mais vraiment aucune ambiance à part le barman. Les gens aimaient mieux siroter une bonne bière sur la terrasse Ah!! De toute façon, la vielle ville est piétonnière et on retrouve plein d'oeuvres d'art urbain. C'est une bonne façon de passer le temps quand le soleil plombe. |
Parlant d'oeuvre d'art, le Château de Bratislava qui a des ressemblance avec les château-forts de notre enfance recelait des trésors inimaginables;: Le chandail des Nordiques de Peter Stastny... Il faut pas oublier que ce château a été refait entièrement en 1953. |
Après cette visite nous sommes retournés à l'Ouest et traverser le Rideau de fer. La frontière est toujours gardée de chaque coté et on a toujours les vestiges de la guerre froide: tour de guet, clôture. Ils ont juste enlevé les barbelés des rails de chemins de fer. |
Pas mal excitant comme voyage malgré les difficultés des langues. À la fin du voyage, nous avions 15 mots d'allemand, 12 mots de hongrois et aucun de slovaque, une chance qu'ils parlaient espagnol... |
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Chroniques d'Europe centrale |
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Encore un lien avec l'espagne. De l'architecture moderniste à la Gaudi |