Matt le Rock
Né dans un pays oú il ne pousse que des pierres, le petit Matt le Rock travaille avec son pere, tailleur de pierre depuis un sejour au bagne de Cayenne. Le labeur est dur mais Matt est vaillant et se forge vite une paire de bras pas pour les pd.
Et c'est tout naturellement que le prof de musique lui proposa de venir mettre des pains dans la grosse caisse pour rythmer la fanfare de l'école (lui qui revait de jouer du basson...). Mais il finira par aimer ca, le bougre, et même par prendre des cours de batterie.
Puis, suite au départ du Zanck, ancien chanteur, les Rebels cherche une solution pour un nouveau line-up. L'impressionnant CV en matière de martelage de fûts de l'ami le Rock et la forte amitié virile qui le lie aux Rebels lui permettent de recuperer le tabouret tout chaud d'Albator qui passe alors au chant...
The rest is history...
Il intègre par la suite "Call me Loretta", sombre groupe de pop sombre. Malgrés le succès que connait cette formation, Matt déprime (faut voir la musique qu'ils jouent aussi !!). Afin de redonner un peu de peps à cette vie de merde, il reprend le chemin de la contestation qu'il avait maintes fois emprunté par le passé avec ses parents.



Il choisit de défendre la condition du moustachu dans cette société désespérément glabre dans laquelle nous vivons, toujours en compagnie de ce fiéfé Dr J. C'est ainsi qu'il rencontre les Rebels, qui rejoignent assez vite le FLM (Front de Libération de la Moustache)
.
Drums
mattlerock@rebels.com
Back to Family Tree
A la même époque, il écume les festivals alternatifs a bord du van Wolkswagen jaune decapotable familial (grand prix du Larzac 1972). Il y developpera, en plus d'un profond mepris pour les 68ards sur le retour et les babos de merde comme il les appelle, un gout pour la musique underground et experimentale, ce qui allait jouer un role predominant dans ses futures orientations musicales.
Plus tard, comme il possede sa propre batterie et qu'il tate comme une bête, il est maintes fois mis a contributions dans des groupes locaux pas toujours tres interressant, mais sa gentillesse (et sa connerie, faut bien le dire) l'empêche de refuser. C'est ainsi qu'il sera a une époque batteur de Luciole (AHAHAH!!!).
Par chance, son gout pour la franche galejade ne l'a jamais quitté, et c'est tout naturellement qu'il forme "the Corinne Melody Experience" avec son vieux compère, le Docteur J.