Le
tendre souffle de ton baiser m'est revenu dans mes songes.
Dear Lollypop,
Ma chère
Lollypop,
Comme le ciel
était gris,
Que mon monde
était mort,
Puis je redécouvris
la vie,
De ces yeux,
j'oubliai mes torts.
D'un nuage, un
ange vint me voir,
Ses yeux couleur
du sable du matin,
Résussirent
à m'émouvoir,
Mon coeur tomba
dans le fond de sa main.
Sur un arbre j'étais
perché,
À contempler
les mers de blé,
Du ciel sans
nuage,
Un ange m'envoya
un présage.
Ses yeux emplit
de bonheur,
Ses mains, chassant
le malheur,
Me confiant le
secret,
Pour trouver
la paix.
Aujourd'hui, j'ai
appris à sourire,
Je redécouvre
le mot «plaisir»,
Apprendre le
bonheur de vivre,
Choses qu'on
ne trouve pas dans les livres.
Chacun perçoit
à sa façon,
Le secret de
la passion,
Au-delà
des cieux et des mers,
Parfois caché
dans un coeur amer.
Tant de mots pour
chercher à dire,
Qu'il n'y a pas
de mots pour décrire,
Le secret de
la vie,
Quête individuelle
dans le coeur enfouie.
Chez moi le secret
de la vie,
Réside
dans le coeur,
Plonger le malheur
dans l'oubli,
Puis, donner
à une femme mon coeur.
La paix dans le
coeur de Gambit est une quête qui,
Peut-être,
ne trouvera jamais de fin.
Mais je n'oserai
jamais abandonner.
J'aimerai, ou
j'en mourrai.
J'aimerai ou
j'en mourrai...
Chante,
Danse!
Mange, va te
remplir la panse!
Danse,
Chante!
Musique, que
tu m'enchantes!
Réjouis-toi,
mon ami,
Dans le foyer,
le feu est prit!
Chante,
Danse!
Je crois que
je suis saoul, qu'est-ce que t'en penses?
Danse,
Chante!
Que cette timidité,
plus jamais te hante!
Amuses-toi, mon
ami,
Tous tes amis
sont ici!
C'est la fête
ici,
Viens, et rit!
Prouves-nous
que malgré tous nos malheurs,
Nous savons déjouer
nos peurs,
Il y a peu d'avenir
pour la jeunesse,
Toutefois, nous
ne nous laisserons pas aller par la tristesse.
Dehors, c'est
la mort,
Ici, c'est la
vie.
Ne te laisse
pas ronger par le remord,
Encore moins
par l'ennui,
Joins-toi à
la fête,
Dans une harmonie
parfaite.
Chantez,
Dansez!
Prouvons notre
liberté!
Dansons,
Chantons!
À cette
joie, donnons lui un nom!
Vérité,
où es-tu?
Deuil éternel
de mes troubles passés.
Le temps passe,
la chandelle se consume.
La lueur tend
vers sa fin,
nouveau combustible,
viens,
Allume à
noueau le flambeau,
L'obscurité
est trop lourde.
Une montagne
qui surplombe,
Les huits murs
de la cage.
La flamme brûle, ravageuse.
Je cherche en
moi le secret de Socrate,
Je me déchire
le coeur.
Lames de sang,
Larmes de vent.
Détruire
mes murs.
Trouver l'expension.
Atteindre l'extérieur.
Creuser la montagne.
Au risque qu'elle
s'écroule sur moi.
La vérité,
c'est le conflit.
Jamais de paix.
Même si
je trouverais cent parchemins,
Ils me brûleraient
tous entre les doigts.
Entre les griffes,
De feu.
Mer du passé
Les tempes glacées,
Sur le vent,
loin dans la marrée,
J'oublie le temps,
Tel qu'il l'était
avant,
Lorsque la solitude
m'eut accablée,
Coup de couteau
violent dans la pensée,
Je me laisse
alors bercer dans le vent,
Pour y oublier
mes sentiments