Updated: 19 july 1998
Daniel
Unknown Generation Bâtard
Deceased: 21 March 1996

	Sire:	Salomon (Sabbat Pander, Deceased) (24 December 1984)
	Nature:	Cavalier
	Demeanor:	Loner
	Humanity:	4
	Secrets:
	Status:
	Esprit:
	Elder Status:
	Clan Prestige:

Background:

                    Texte

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Naissance: 16/03/1967 à Paris Etreinte: 24-25/12/1984 Daniel était un étudiant un peu gosse de riche qui menait la belle vie, draguant lez filles et se contentant de la moyenne dans ses études. Il a ainsi obtenu son Bac C sans aucune metion particulière (mais sans oral: il a horreur de ça...) et est "brillament" entré dans une Math-Sup. Bon vivant, il préféra trainer les nuits à Paris à draguer des filles de deux ans ses aînées. La veille de Noël, il poussa le vice jusqu'à prétexter un coup de fatigue pour monter dans sa chambre se reposer, pour repartir aussi sec voir sa petite amie d'alors. A son retour, il fut agressé dans sa chambre, et vampirisé de force. Son mystérieux agresseur (peut-être le clodo à qui il avait refusé de donner de l'argent...) égorgea ses parents, et assista un sourire au lèvres au réveil de Daniel. Celui-ci, pris de la Soif, ne put que boire le sang répandu dans la chambre de ses parents et constater, horrifié, la source de la rivière de sang qui maculait son pyjama et ses lèvres. L'inconscient appela la police, puis réalisa son état et le fait qu'il serait probablement accusé de leur meurtre. Il s'enfuit. Il devint un Caitiff, inconscient de la société vampirique et ses lois rigides qui gouvernaient la vie de la Famille. Mais, malgré les pouvoirs vampiriques qu'il développa tout seul, il fut rattrappé dix ans plus tard, et présenté de force à Villon. Celui-ci ne voulut même pas le voir, et c'est Lazlo qui s'en chargea. Mais voilà, Lazlo tomba amoureux du beau Daniel, et de sa mine mélancolique et discrètement cynique. Profitant de sa supériorité sur le jeune nouveau-né, il dévenoppa un Lien de Sang, créant une affection artificielle de Daniel envers lui. Pour protéger le jeune Caitiff, il le confia à une fratrie de jeunes nouveau-nés. Daniel put alors évoluer au milieu de vampires plus proches de lui par la mentalité, et s'en faire de relatifs amis. De toute la société vampirique, ce sont les seuls à l'avoir accepté et à le traiter à sa juste valeur, et pas comme un proscrit. Il leur en est reconnaissant: C'est un peu comme s'il appartenait à une nouvelle famille après ces dix ans de solitude.

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Destiny

Appearance:

                    Texte

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1m74, 65 Kg. Age apparent: 17 ans. Daniel est brun clair et rasé de près. Il a des cheveux mi-longs coiffé à la "séducteur" (voir les crétins d'Hélene et les garçon et Cie...) et il porte un noeud papillon d'un style 'renaissance' pour nouer son catogan. Il a des yeux bleu-verts et une peau pâle. Ayant pris des cours de Kick-Boxing (surtout pour sculpter son corps...) il est physiquement musclé, sans avoir une carrure colossale. En fait, il ne sourit que très rarement, se contenant de regarder autour de lui d'un regard neutre et sans émotion, à part, peut-être, une certaine tristesse.

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Role Playing:

                    Texte

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"Pourquoi j'ai peur???" Apparement, cette phrase résume l'état d'esprit dans lequel se trouve constament Daniel. Rien n'est plus faux. Sous cette façade solitaire, cynique et fataliste, se cache l'âme de quelqu'un qui a eu dix ans de solitude pour se forger des principes qu'il croit justes: Ne fais pas aux autres ce qu'ils n'aimeraient pas que tu leur fasses. Respecte la liberté morale et physique de quelqu'un dans la mesure où elle n'empiette pas sur celle des autres. Il a découvert que tenir à ces principes lui permettait de résister aux pulsions de la Bête: S'il ne peut s'en débarrasser, il doit absolument la dresser et lui inculquer ces deux Principes de Base. En présence de Lazlo, Daniel est heureux, et un peu abruti. Malgré les apparences, il l'aime profondément et le considère comme son meilleur ami. Peut-être son unique amour. Mais quand il s'en éloigne, il réalise que cet "amour" envers un homme, fut-il un vampire, va à l'encontre des sentiments qu'il avait l'habitude de ressentir. Contrairement à Lazlo, qui a peut-être vécu des siècles au milieu de vampires, et pour qui le sexe n'est plus une différence, Daniel est encore très proche des humains, et reste normalement attiré par les femmes. Son désir est maintenant mélé à ses instincts vampirique, et il a fait l'amalgame entre le sexe et la Soif. Sans sa liaison avec Lazlo, il est fort probable qu'il se soit limité à des proies humaines de sexe féminin...

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Notes:

                    Texte

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Alliers: - Jean Marie: Toubib et Cousin. - Dominique Galati: "Huggy les Bons Tuyaux" (possède un hôtel (bordel) en banlieue). - Annie Dupas: Cette jeune femme est l'amie intime de Daniel. Ils se racontent leurs petits problèmes et leurs amourettes. Elle sait que quelque chose ne va pas chez sont mystérieux sauveur (il l'a aidée contre une bande de voyoux), mais elle préfère le considérer comme une sorte d'ange gardien un peu mélancolique. C'est qu'elle est très romantique, vous voyez... Alors elle ne cherche pas trop le pourquoi et le comment. Daniel apparait et disparait brusquement, et c'est aussi bien ainsi. Elle l'appelle parfois le Fantôme. - Eric Monges: cadre des Renseignements Généraux. C'est lui qui a fait arrêter les recherches contre Daniel. Il est lui, persuadé qu'il existe un tueur en série. Il sait pour sa nature. En fait, Eric travaille déjà pour Jérôme, le Toréador de la 7ème Génération. Sans que ce dernier le sache, Eric essaie d'aider le pauvre Daniel à retrouver l'ordure qui l'a vampirisé contre son gré, et tué ses parents. Jusqu'ici, il a éloigné la police de Daniel et recherche toujours dans ses archives d'éventuelles pistes. Malheureusement, Jean Guibert, un comissaire à la dent dure, ne l'entend pas de cette oreille, et est sûr que Daniel traîne enocre à Paris... Mais où?... Contacts: - Erika Roman: Journaliste Freelance. - Stéphane Obéron: Magouilleur (petit casier). Daniel est lié au sang à Lazlo (Mentor), et profite d'un appartment (Etc...) offert par ce dernier. Recherché pour le double meurtre de ses parents. Son Sire est Salomon, un membre du Sabbat à Paris (bientôt ex-membre...). Son troupeau est constituée de filles séduites dans les boîtes de nuits.

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Cher Lazlo. Quand cette lettre te parviendra, j'aurai déjà confié confié mon corps au soleil, et mon âme à quiconque porte la honteuse responsabilité de la Création. J'imagine la douleur que vous ressentirez à la lecture de ceci, mon épitaphe, et c'est, en vérité l'une des seules choses qui aurait pu me retenir en ce bas-monde. Cette décision n'a pas été prise à la légère. C'était une décision qu'une sombre partie de mon âme contemplait avec impatience. Une sorte de noir romantisme que je portais dans mon coeur depuis le jour de ce que vous appeleriez l'Etreinte. J'ai d'autres noms pour ceci. Viol, Meurtre, Barbarie, et bien d'autres bien moins pôlis et dont le simple fait de les mettre par écrit aurait fait bourdonner les oreilles de François Villon, votre Prince. Je vous vois déjà me maudire de ma lâcheté, ou de mon courage, selon le moment et les larmes de sang qui couleront sur votre joue. J'ai moi-même quelque part au fond de ma poitrine, l'étrange douleur que l'on ressent lorsque l'on dit au revoir à l'être aimé. Sachant pertinement que 'Adieu' aurait été plus approprié… Est-ce mon coeur qui vient de battre?… Ou est-ce mon imagination, débridée par ma terrible décision? Ne m'en veuillez pas…. Si vous m'avez aimé, ce jour où Ivan est Villon m'ont eux-même renié -nous sommes pourtant tous de la Famille, c'est peut-être que, plus qu'eux, blottis dans -et aveuglé par- leur autosatisfaction, vous avez vu derrière mon air froid et un peu brusque, mon âme nue, luttant contre la Bête à coup de principes qui, après dix ans de solitude et de désirs de vengeance, commençaient à sonner creux. Mon offre à François Villon était peut-être un mélange de desespoir et d'affront. Desespoir d'être reconnu, même si pas accepté. Affront d'avoir osé -et quel crime!- Présenté mon Sire à votre Prince, sombre revanche devant celui qui n'avait pas daigné m'éduquer et me Présenter. Cette partie sombre qu'il y avait en moi espérait une mort attroce pour Salomon. Une mort à la hauteur de l'abomination qu'il a commis contre moi, mais surtout, contre des innocents dont le seul crime était de m'avoir enfanté et de vouloir me protéger. Ma Famille. Bien sûr, je n'attendait pas de miracle, mais ma récompense fut assez malvenue. Achever de corrompre mon âme pour me faire justice! Le désintérêt de Villon et la fausse pitié d'Ivan me feraient vômir si je m'étais récement nourri. "Pour ta propre sécurité, bois-le" m'avait dit… Que dis-je, Dominé, puisque c'est le procédé utilisé par ce sombre Ivan pour m'obliger à accomplir sa volonté. L'Amaranthe est un acte de pur plaisir, et dans mon cas, la jouissance dépassa toutes mes espérances. Mais l'héritage de Salomon m'apparut bien vite. Dans ces pages sont compilés les souvenirs qui me sont apparus. Souvenirs qui pourraient un jour vous sauver la vie, et qui m'ont permis de comprendre, faute de pardonner, mon sinistre Sire. Vous êtes donc en possessions de ses souvenirs, mais je crois que de ce qui reste de sa conscience, je ne pourrai en faire don à personne, et je sens au fond de mon âme d'étranges -et étrangers- désirs qui ne peuvent, après étude, venir que de ce qu'il me reste de lui. Un embryon de Conscience, mais que je sens grandir et, un jour, pourra éclore et détruire ce que j'ai de plus cher, avant de me détruire moi, afin que la vengeance d'outre-tombe de Salomon ne lui soit que plus douce. Et je ne veux pas qu'il vous arrive malheur. Je sais que je ne manquerai à personne. Peut-être même pas à mon éphémère Fratrie. Mais je sens que la douleur qui sera vôtre ne sera pas forcément mauvaise. Quand vous pleurerez, c'est votre Humanité qui pleurera. Quand vous rierez des souvenirs de ces moments heureux que nous avons partagés, et qui même en ce moment arrachent un sourire à mes lèvres crispées, c'est votre Humanité qui riera. Je sacrifie ma vie sur l'Autel de la liberté et de mes principes, et cette vie, je vous l'offre en héritage d'affection et d'amour, en espérant que dans vos plus sombres moments, un souvenir de moi allègera votre peine et éloignera la Bête. Je ne peux m'empêcher de faire un rapport avec l'héritage plus destructeur laissé par Salomon. Nos deux morts n'auront, après tout, pas été vaines si elles permettent de sauvegarder votre âme. C'est une pensée qui me donne du courage, et du courage il m'en faudra. Jointes à ces ecrits sont des lettres destinées à ma Fratrie, mais aussi à Villon et à Ivan. Leur puissance en ce monde est immense. Mais leur âme est pauvre de sentiments. Mes pouvoirs étaient ridicules, mais je pars en paix avec moi-même et avec le monde, en leur offrant à eux aussi un héritage digne de l'amitié qui nous unit. L'histoire est pleine de créatures dites inférieures qui mettent fin un jour à leur esclavage. Même la Seconde Génération a dû apprendre cette dure leçon, et si les rumeurs sont exactes, la Troisième n'est pas forcément protégée elle non plus. Ma petite surprise devrait leur servir de leçon, car c'est une simple leçon que je compte leur donner. Cela risque de ne pas leur plaire, mais je te conseille -pour leur survie- de leur donner les lettres qui leur sont destinées. En espérant qu'ils aprendront…. Mais il ne sera pas écrit que mes dernières phrases seront dirigées vers de si sombres personnages. Je veux que vous sachiez, Lazlo, que mes dernières pensées, alors que, devant la tombe de ma mère, je contemplerais le Soleil en face, seront pour vous. Puisse ma mémoire vous aider autant que mon amour pour vous le fera dans ce moment difficile. Eternellement, Daniel. Caïtiff et fier de l'être.

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Au Prince, François Villon J'ai devant moi vos oeuvres complètes, achetées dans une édition de poche, la seule que mes petits moyens pouvaient me permettre. Je n'aurai malheureusement pas le temps de les lire. A l'heure qu'il est, Lazlo vous aura déjà expliqué le sort que je me suis réservé. Mes souvenirs de vous sont embrumés au possible, cachés derrière de lourdes Disciplines. Mais je ne m'en plaindrai pas. Je crois que, malgré la réputation anarchiste que vous aviez de votre vivant, votre conservatisme actuel ne se serait pas entendu avec ma soif de liberté et de fraternité. Pourtant j'espère toujours que derrière votre apparente "raideur", vous avez un bon fond. Bien dissimulé. Je ne serais pas donc parti sans vous dire au revoir. Et sans vous léguer quelques pensées qui hanteront vos jours…. Un jour, un Caïtiff, plus courageux et plus astucieux que les autres, aura l'idée de parler de vous et de la Famille sur Internet. Demandez autour de vous ce que cela signifie, et vous me louerez de ne pas l'avoir fait moi-même. Sincèrement. A propos, donc, je n'ai pas pu lire vos ecrits, mais je connais une personne qui sera ravie d'avoir vos oeuvres complètes sur sa table de chevet. Je suis sûr que Jean Paul sera intéressé par ma dédicace. Jean Paul II du Vatican, bien sûr…. Donc, quand vous récupèrerez le dit bouquin -car je ne doute pas que vous le récupèrerez, mon dernier conseil sera de vous demander de résister à l'envie bestiale de le brûler. Au lieu de cela, gardez le en souvenir de moi, et, à chaque fois que vous verrez un Caïtiff, caressez-en la couverture. Je suis sûr que vous y penserez alors à deux fois avant de le ridiculiser et de le maltraiter. Daniel, Caïtiff. P.S.: Vous avez, en tant que Vampire, bien des siècles -et je vous souhaite des millénaires- avant de me rejoindre un jour. Est-il vrai que les Fantômes existent? Est-il vrai que l'Au-delà est pleine de ces spectres aux pouvoirs étranges? Dans ce cas, priez pour que je sois réellement en paix avec moi-même: Parce que dans quelques siècles, quand le destin aura décidé de la fin de vos nuits, vous pourriez être amené à m'y rencontrer. Vous y serez alors peut-être un "nouveau-né", et moi un "ancien"…. Je vous laisse seul maintenant, avec votre imagination et votre conscience….

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Cher Ivan... Ne vous inquiétez pas, je n'ai rien à vous dire. Pas de révélations et pas de menaces. Mais je suis sûr que lorsque des hommes armés de crucifix, ou des lupins armés de leur griffes forceront les portes de votre refuge, vous penserez à moi. Encore une fois, je n'ai peut-être rien fait. Encore une fois, je vous ments peut-être en vous l'affirmant. Daniel, Caïtiff P.S.: Si vous aviez en projet de visiter Notre-Dame dans les jours à venir, je vous conseillerai d'y repenser à deux fois: - Si je suis aussi vicieux que vous aimeriez le penser, n'y retournez pas. - Et si vous pensez que j'ai pitié de votre petite et poisseuse existence, allez-y y allumer un cierge pour remercier votre dieu pour ma compassion.

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A l'Archonte Ventrue dont le nom m'indiffère... Ulrich, c'est ça? Qu'importe… Eh oui, j'ai décidé de mettre fin à mes jours. Vous pourriez penser que j'ai dû finalement réaliser que j'étais un Caïtiff, et que j'ai donc décidé d'achever mon existence. Détrompez-vous. Nous sommes en 1996. Je suis un fils de mon siècle, et cela, je l'ai réalisé depuis ma Présentation. Je ne suis pas comme vous. Il ne me faut pas un demi-siècle pour comprendre ce qu'il m'arrive, contrairement aux "Anciens". Savez-vous que les mortels mettent les gens comme vous dans des hospices spécialisés, afin qu'ils ne soient pas un danger pour eux et pour les autres? Mais pour vous, ce n'est pas un hospice qu'il vous faut, c'est une euthanasie: Vos facultés d'Anciens sont trop altérée pour comprendre, j'en veux pour preuve votre inaptitude à comprendre le concept d'Autroute de l'Information. Mais ce n'est pas pour vous montrer la vérité en face que je perds mon temps à vous écrire. C'est pour vous dire que mon "suicide" n'était pas motivé par mon statut de "Sans-Clan". vous pourrez dire autour de vous, si on vous le demande, que j'ai appris récemment -et avec horreur- que je comptais Ventrue comme mon Antédiluvien. Croyez-bien qu'après vous avoir vu à l'oeuvre, je suis bien plus choqué que vous par cette révélation. De loin. C'est peut-être pour cela que j'étais Caïtiff: Inconsciemment, je refusais d'appartenir à un Clan aussi pourri et répugnant que le vôtre! Mais Salomon le Ventrue, s'est révelé être mon Sire. Alors, peut-être que, horrifié, dans un moment de dépression, j'ai pris mon épée, et je me suis tranché la tête… Qui sait? Daniel, Caïtiff et ex-Ventrue. P.S.: Evidemment, une copie de cette lettre circulera… Peut-être même sur Internet!

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A mes Amis: William, Gérald et François Hubert Ivan m'a obligé à commettre la Diablerie sur Salomon, mon Sire du Clan Ventrue, et j'ai réalisé toute la gravité de cette acte. J'ai beaucoup appris cette nuit-là. Y compris sur notre amie "La Mort". Mon Sire a été créé au XIXème Siècle, et voici résumé dans les notes ci-jointes les souvenirs de sa triste existence. Je crois que cela vous dégoûtera définitivement du Sabbat. Mais vous devez surtout savoir que Salomon avait déjà eu des contacts avec "La Mort", et que, probablement comme vous l'êtes maintenant, il lui était redevable d'un service. Je l'ai vu trahir sa Fratrie à la demande de "La Mort", qui possède une Célérité hors du commun. Ne soyez pas comme Salomon. Ne vendez pas à ce triste personnage ce qu'il reste de votre Humanité. Pour avoir vu la mienne se déchirer, je sais que c'est ce que vous avez de plus précieux. Ne vous en séparez jamais. Et pour ceux qui ont encore foi en la Camarilla, vous devez savoir quelque chose sur nos Anciens qui nous enseignent à tour de bras que le Sabbat est l'ennemi public numéro un. Sachez qu'à Paris, peu d'Anciens n'étaient pas au courant, ou même en combine avec mon triste Sire du Sabbat. Si Gérald a quitté son Clan, c'était peut-être parce que les combines des Tremeres étaient bien peu discrètes. Mais ne doutez pas qu'autour de vous, vos frères de Clan nourrissent autant d'affection pour vous qu'Abelard et Mickaël pour Gérald. William a un cadeau de ma part. Son nom est Vaulderie. Le savoir vous mettra probablement du mauvais côté de la barrière pour l'éternité. Libres et hors de la domination des Anciens, mais surtout seuls et repoussés par ceux qui autrefois se disaient vos amis. C'est ce Rituel qui a donné autant de pouvoirs au Sabbat, et on vous haïra et on vous traitera en pariah pour l'avoir découvert. En espérant que vous saurez vous en servir… Lazlo est au courant de ce qui m'est passé. Si vous voulez le savoir, demandez lui en mon nom. Vous le trouverez probablement à proximité d'une tombe dont je vous donne plus loin les coordonnées… Daniel, Caïtiff…. P.S.: Voici jointe la copie d'une lettre que j'ai envoyée à notre ami Ulrich l'Archonte Ventrue. Je crois que la diffuser parmis nos jeunes serait une bonne chose à faire. Ce sera le dernier service que je vous demanderai de me rendre.

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Texte

Actual Aim:

                    Texte

Rumours:

Daniel is my second character. As for Cath, I didn't knew what Clan I would choose. I remember that if Yannick had let me 5 minutes more, I would have changed for Toreador. Anyway, At first, I hated this character: Yannick had put Daniel 15th Generation because he thought it was better, without letting me the choice (the choice of changing Clan to have a suitable Gen).

Then I started to like this young egoistical male who changed his principles with the coming of if cruel Embrace (Solomon was a Panders who wanted to teach Daniel a lesson by Embracing him and killing his parents in front of him the night of Christmas...)

I remember it was a cause of great discussion: At the time, Daniel had an Humanity rating of 5. And when something happened to others (like thefts, etc.), Yannick acted as if Daniel didn't care. I always answered ''Daniel DO care!''. Start of a neverending discussion about Humanity... And so on...

In the end, I believe Yannick understood (too late) that the Generation of my character had been a bad move, and he tried to make up for this: When Daniel finally discovered his Sire, and succeeded in having him staked, he went proudly to the Louvre with the body, telling everyone he was Ventrue! (Okay, Ventrue Antitribu, but anyway...). The Ventrue of our group, François Hubert even thought about teaching him the ways of his Clan...

It didn't went as I thought (I thought I would won my first point of Status). Villon new about Salomon, and Daniel only uncovered Salomon fragile standing in the Camarilla and Sabbat. So Villon decided Salomon had to die. Ivan decided it was fitting the Sire to be killed by his ungrateful Childe. So he Dominated Daniel to do it.

The surprise was total for Yannick: We went together through the Diablerie Rules of the Dirty Secrets of the Black Hand and the Roll decided 7 points of Willpower from Salomon survived in the mind of Daniel (who had only 5). I won't talk about the failed Conscience Roll...

Anyway, Yannick never believed I would ''suicide'' my character. He wondered at what I was doing until I said that I tied me up on one tombstone of a cemetary with a very long and very strong cord, and that I used every Bloodpoint I had on my stamina to use Daniel's Blood Pool, and that I would way for the sunrise...

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