Selon le protocol, la Russie, aussi bien que les autres puissances nucléaires, a pris des engagements par rapport à l’Agence, qui vont contribuer à renforcer la capacité de l’Agence de controler l’utilisation pacifique des materiaux atomiques et l’absence de l’activité atomique secrète dans les Etats qui n’ont pas des armements nucléiares.

Après l’entrée en vigeur du protocol, la Russie donnera les informations supplementaires concernant la coopération technique avec les pays non-nucléaires dans le domaine nucléaire, celui de l’équipement et de la technologie, des travaux scientifiques et de recherche, d’ingénerie experimentale, ainsi que dans le domaine du cycle d’énergie nucléaire.

La Fédération Russe reconnait dépuis toujours la grande importance du renforcement du système des garanties de l’Agence, estimant que l’efficacité du contrôle, éffectué par l’Agence, répresente un des éléments clefs dans l’affaire d’assurer le régime international de non-prolifération atomique et de la maintien de la stabilité stratégique universelle.

Les Etats-membres de l’Agence ont hautement estimé la signature du Protocol et ont exprimé leur espoir à ce que l’entrée en vigeur de ce Protocol contribuera au dévéloppement du système des garanties de l’Agence.

La signature par la Russie du Protocol supplementaire prend de l’importance particulier en prévision de la Conférence consacrée à l’examen de la réalisation de la Traité sur la non-profilération des armes nucléaires, ou la question du contrôle effectué par l’Agence, constituera un des sujets pricipaux.

Le 27 mars 2000