Traduction non-officielle du russe
DECLARATION DU REPRESENTANT OFFICIEL DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES DE LA RUSSIE
Nous considérons nécessaire de déclarer en rapport avec l’énonciation faite le 7 avril courant par M.A.al-Kavari, représentant officiel du Ministère des Affaires étrangères du Katar, dans sa déclaration à l’agence de nouvelles du Katar, ce qui suit.
L’appel de suspendre les actions militaires en Tchétchénie à l’étape final de l’élimination des groupes de bandits ne suscite que l’étonnement. Le respect d’une exigence pareille pourrait encourager les terroristes internationaux et faire éviter leur liquidation décisive.
Les énonciations relatives aux droits de l’homme étaient aussi loin de la réalité. En effet, les droits de l’homme ont été souvent violés en Tchétchénie, mais cela a été commis par les bandits et terroristes. Nous ne nions pas qu’il y avait des infractions séparées commises par les militaires des forces fédérales. Le Parquet générale ne laisse sans examen aucun recours des civils résultant des infractions de la loi. Les coupables seront identifiés et punis en vertu de la loi. Néanmoins, ces infractions ne justifient pas les accusations mal fondées de la violation des droits de l’homme lancées contre les pouvoirs fédéraux.
Quant au problème de la solution pacifique de la situation en Tchétchénie, c’est à ces fins que les efforts du centre fédéral qui a élaboré le plan du règlement pacifique de la situation sont visés. Le dialogue avec les représentants du peuple tchétchen prêts au règlement politique qui n’avancent pas des conditions impossibles et acceptent l’intégrité territoriale de la Russie et sa Constitution se poursuit. Cependant, les négociations entre le Gouvernement de la Russie et les criminels tchétchens participants directement aux actions criminelles sont impossible. Nous n’accepterons pas les négociations avec les terroristes.
A propos des résolutions de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe il faudrait noter que la Russie les a considérés comme le témoignage de ce que l’APCE a été menée à la bride des députés continuant à penser au niveau de la “ guerre froide ” et des doubles standards, mais pas comme les pas visant à contribuer au règlement pacifique du problème.
Le 14 avril 2000