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DECLARATIONS

 

Traduction non-officielle du russe

COMMUNIQUE DE PRESSE

Le 20 juillet courant, Max Van der Stul, commissaire Suprême de l'OSCE pour les minorité nationales, a fait un bref rapport sur la situation de langue en Lettonie et en Estonie à la session du Conseil permanent de l'OSCE envisageant la situation des minorités nationales dans ces républiques baltes. Malgré ses propres estimations antérieures, cette fois-ci il n'a pas donné une caractéristique tellement objective de la situation humanitaire dans ces pays, surtout, en ce qui concernait les lois relatives à la langue d'état.

Une analyse approfondi donne lieu à tirer une conclusion que la Lettonie et l'Estonie continuent à violer leurs engagements internationaux. Les derniers amendements à la loi estonienne relative à la langue nationale ne libéralisent que partiellement la législation de langue et ne résolvent pas le problème de la langue national dans le domaine d'affaire. Le projet des règles d'application de la loi relative à la langue en Lettonie vise à limiter encore plus la législation de langue. Il est significatif que certains membres de l'OSCE s'obstinent à ne pas tenir en compte l'opinion des minorité nationales en Lettonie et en Estonie, à ne pas apercevoir les actions de protestation qui s'y passent ainsi qu'à ne pas prendre en considération les estimations critiques des documents adoptés qui lèsent les droits linguistiques, culturels, sociales et politiques de la population non titulaire.

Malheureusement, pour le moment il n'y a pas des indices réelles d'atténuation de la législation et de la pratique judiciaire en Lettonie et l'Estonie, en ce qui concerne les intérêts de la population russophone. Les activités autour des lois de langue ne font preuve que de l'attachement des pouvoirs lettonnes et estoniens à utiliser la langue d'état en tant qu'un outil de restriction des droits politiques, sociales et économiques des minorités nationales.

Le 28 juillet 2000