English translation

CONTINA

La nouvelle machine à calculer universelle de poche.
Système C. Herzstark
Nom de la machine modifié en "CURTA"
Poids 230 gr.

CONTINA S.A. Mauren/Liechtenstein

Les mêmes avantages que procurent
aux chronométreurs la montre,
aux photographes l'appareil de petit format,la

CONTINA

les offre aux usagers des machines à calculer.

car c'est une machine de poche,
de haute précision, qui permet de faire
les quatre opérations.

Contina S.A. lance une nouveauté, à savoir: une machine à calculer universelle de poche, solide et de grand rendement. C'est un article de haute précision execute suivant les principes de fabrication en série de la petite mécanique et avec l'expérience de plusieurs décennies apportée par le constructeur C. Herzstark, spécialisé dans la construction des machines à calculer.

On voit d'après la vignette que la dimension de cette machine est extrêmement réduites. On peut facilement la tenir d'une main et la mettre en poche sans inconvénient. Elle répond à une désir formulé depuis longtemps par les calculateurs et comble une lacune qui a toujours existé parmi les machines à calculer.

La Contina trouve sa place là où l'on ne peut disposer d'une machine plus ou moins fixe et où il faut pouvoir obtenir des réltats exacts et rapides.
Elle ne tardera par à devenir un auxiliaire indispensable pour le commerçant en voyage, l'entrepreneur au chantier, le technician à l'atelier, le constructeur à la planche à dessin, l'homme de science au laboratoire, et même pour l'étudiant, c'est-à-dire là où l'emploi d'une machine bruyante est intolerable et là où il n'est ni possible, ni pratique d'emporter une machine lourde et encombrante. En outre, on ne pourra bientôt plus se passer de cette machine dans les bureaux commerciaux et techniques, les banques et les administrations, aux guichets, bref, partout où il faut pouvoir disposer rapidement d'une machine à calculer.
L'idée primordiale de cette nouveauté a été de créer une machine à calculer miniature de haute précision capable d'égaler les machines universelles à main, modernes et fixes, répandues en plusieurs millions d'exemplaires, machines à curseurs, avec contrôle visible des chiffres et report continu des dizaines pour les deux compteurs.


La Contina est l'équivalent
des machines universelles décrites ci-dessus en ce qui concerne:

La capacités de calcul.
On peut faire les opérations suivantes: additions, soustractions, multiplications, divisions, calculer les carrés, cubes, racines et, par conséquent, établir des factures, comptes, cubages, pourcentages, intérêts, etc. ...
La sécurité de calcul.
Celle-ci est obtenue par un dispositif de verrouillage évitant les fausses manoeuvres, ansi que par le verouillage commandé qui empêche les dépassements par inertie (comme dans les machine de grand prix), etc.
La rapidité de calcul.
Les pièces sont de masse très petite permettant une manipulation rapide.
La bonne disposition générale.
Les chiffres sont très nets et disposés tout à la surface.
La qualité.
L'emploi de matières des plus appropriées et la précision de l'exécution en série assurent l'interchangeabilité de toutes les pièces.
La longévité.
La masse très réduite des parties mobiles engendre une force vive si minime qu'après des années d'usage, l'usure est encore imperceptible. Des essais de longue durée ont prouvé qu'en soliicitant toutes les pièces de mise en place et les mécanismes des compteurs, la CONTINA peut supporter des millions de rotations.

La Contina est supérieure
à tous les autres systèmes par:

Un minimum de volume
Grandeur:  I: diamè max. 53 mm., hauteur 85 mm.
Grandeur: II: diamè max. 63 mm., hauteur 85 mm.
Un minimum de poids
Grandeur I environ 230 gr., grandeur II environ 300 gr., soit approximativement 4% du poids des plus légères machines de capacité équivalente, fabriquées jusqu'à ce jour.
Sa marche silencieuse
dûe aux masses minimes des parties mobiles et à l'emploi de verouillages commandés.
Une manipulation commode et sans fatigue
dûe au poids minime et aux fonctions faciles. Son prix d'achat modéré
malgé le travial de haute précision, obtenu par une construction économique d'un nouveau genre.
Sa capacité
malgé sa dimension réduite:
la grandeur I: 8x6x11 chiffres
la grandeur II: 11x9x14 chiffres
la grandeur IIa: 12x7x16 chiffres
Son élégance
qu'elle doit à un modelage harmonieux de son ensemble et à l'exétion solide et plaisante de tous les éléments.
Sa résistance à la corrosion

Extrait de la déscription
(pour les détails voir mode d'emploi)

Fig. 1

La machine (voir fig. 1) comporte un corps principal surmonté de la boîte rotative qui contient le mécanisme des compteurs. Le corps principal contient le dispositif de mise en place, dont les leviers ressortent des coulisses. Sur le pied se trouvent les boutons blancs mobiles pour les décimales. Les chiffres de contrôle apparaissent au-dessus de chaque coulisse. La commande du mouvement se fait par une manivelle. La boîte des compteurs (voir fig. 2) contient le mécanisme du compteur de tours (groupe de chiffres sur segment blanc) et celui du compteur principal (appelé aussi indicateur de résultat, groupe de chiffres sur segment noir), les boutons blancs mobiles pour décimales, ainsi que le mécanisme d'effaçage, avec manette-bague rabattable.

Fig. 2

La manipulation de cette machine est en principe pareille à celle des grandes machines connues, cependant, on n'est pas lié à un poste fixe. Pour calculer commodément, on prend la machine dans la main gauche en appuyant le pouce et l'index sur le pourtour moleté de la boîte du compteur. On peut ainsi soulever la boîte, la tourner dans un sens ou dans l'autre dans les limites données par le compteur de tours, afin d'effectuer le réglage de la multiplication par une puissance positive ou négative de dix. Les positions de ce réglage sont indiquées par la flèche-repère - en blanc sur le corps principal (index de position) - pointant sur l'un des nombers gravés au bas de la boîte. Cette dernière repose alors dans un cran d'arrêt.

Les chiffres (par exemple les nombres à additionner, l'un des deux facteurs de la multiplication ou le diviseur de la division) sont mis en place au moyen des levier à glissières qui sortent des coulisses. A côté de chaque coulisse se trouve une colonne de chiffres. Pour mettre un chiffre en place, on pousse la touche correspondante jusqu'à la hauteur du même chiffre sur la colonne. Il apparaît alors sur la gamme de contrôle.

Le contrôle du nombre mis en place est facile puisque tous les chiffres restent visibles sur l'horizontale au haut des coulisses. On évite ainsi la perte de temps d'une lecture en zig-zag le long des levier.

A chaque tour la manivelle bute contre un arrêt bien sensible, facilitant le comptage de tours effectués pendant le calcul. En tirant ou en poussant lérèrement sur l'axe, la manivelle se déplace contre deux butées, cette d'en bas sert aux calculs positifs d'augmentation (additions, multiplications), et celle d'en haut pour les calculs de diminution (soustractions, divisions). Dans les deux cas on tourne la manivelle dans le sens des aiguilles de montre. Elle est bloquée dans le sens inverse.

Le compteur de tours (chiffres sur segment blanc) compte le nombre de tours effectué avec la manivelle et indique pour l'addition, le nombre des facteurs; pour la multiplication, le multiplicateur; pour la division, le quotient; pour l'extraction d'une racine, la racine. Le compteur de tours est sollicité en rapport avec le réglage des positions.

Le compteur principal (chiffres sur segment noir) indique pour l'addition, la soustraction et la multiplication, le résultat; pour la division, il indique, suivant le mode de calcul, le reste ou le dividende.

Le report continu des dizaines dans las deux compteurs permet, pour beaucoup d'opérations, de gangner un temps sensible en évitant plusieurs rotations de manivelle (par ex. par la méthode simplifiée de la multiplication). En outre, elle permet l'addition des multiplicateurs (important par ex. pour le cubage et le calcul des numéros d'intérêt).

L'effaĉage des chiffres se fait avec la manette-bague (voir fig. 1 et 2). On peut la mouvoir dans les deux sens. Elle possède deux positions à cran de repos solides qui se trouvent aux limites de passage du segment blanc au segment noir. On peut passer la manette sur les deus compteurs simultanément ou sur l'un d'eux séparément pour remettre ainsi les chiffres à zéro.

Fig. 3

Inverseur. En manoeuvrant l'inverseur situé au dos du corps principale (voir fig. 3) on agit sur les deux compteurs dans le même sens ou en sens opposé. Le mode d'emploi donne des explications plus précises.

Example de calcul. Les chiffres qu'on aperçoit sur les fig. 1 et 2 sont ceux de la multiplication suivante: 645 432 x 63 992. On trouve le multiplicande sur le gamme de contrôle (voir fig. 1), le multiplicateur sur le compteur de tours et le produit sur le compteur principal (voir fig. 2).

La durée de ce calcul, y compris la mise en place des chiffres, est d'environ 15 secondes pour 29 rotations. Mais en employent le système simplifiée de la multiplication, rendue possible par le report continu des dizaines, il suffit alors de faire 13 rotations en 10 seconds environ.

Une division avec un quotient de 6 chiffres est faisable en 30 secondes en moyenne, y compris la mise en place des chiffres.

Toutes les autres opérations se font en un minimum de temps, suivant les méthodes connues pour les grandes machines universelles.


Fabricant:
CONTINA S.A.
Fabrique de machines à calculer et de bureau
Mauren / Liechtenstein

En vente chez:

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Les illustrations et descriptions sont données sans engagement vu les possibilités de légeres améliorations.

16 49 10 f


This Curta brochure has been converted to HTML by Andries de Man using a copy provided by Skip Godfrey, courtesy of Daniel Lewin. There is also an English translation of this brochure. See also a later version

 

Andries de Man