OPPOSITION À LA VIOLENCE
AU KOSOVO
Cette page sera bientôt modifiée pour tenir compte
de la fin des frappes aériennes de l'OTAN.
Faire cesser une violence inhumaine.
Le conflit qui s'est développé au Kosovo au cours des dernières années s'est maintenant enlisé dans la violence.
Le recours à la force et à la violence n'est pas le bon moyen à utiliser pour cohabiter en harmonie sur cette planète. Il est préférable de procéder avec intelligence, équité, collaboration.
Comment donc faire cesser la violence qui fait rage au Kosovo afin de faire place à l'intelligence...
Qui sont les responsables?
Les responsables directs.
Il faut trouver les responsables des gestes de force et de violence.
On peut identifier plus directement les suivants:
- L'armée de libération du Kosovo
- Le gouvernement yougoslave
- L'OTAN
Les responsables indirects.
L'armée de libération du Kosovo est un mouvement spontané. Il n'a pas de mandat accordé par les voies démocratiques habituelles. Les responsables des gestes de violence de cette armée sont donc tous ses membres et toutes les personnes qui les encouragent et les soutiennent.
Il en va autrement des deux autres acteurs.
Le gouvernement yougoslave, par la voix de son chef Slobodan Milosevic,
est mandaté démocratiquement par la population du pays. Il en résulte que chaque citoyen de ce pays est indirectement responsable des gestes de violence de ce gouvernement. Il en est de même de tout citoyen d'un pays qui soutiendrait la Yougoslavie.
L'OTAN est une organisation qui relève de plusieurs pays signataires d'un traité. Il en résulte que chaque pays de cette organisation est responsable des gestes de violence de l'organisation. Les pays qui soutiennent l'organisation se rendent aussi responsable. Et indirectement, chaque citoyen de ces pays en est finalement responsable.
Comment faire cesser la violence?
Une opposition individuelle.
Dans un premier temps, chaque citoyen qui est démocratiquement responsable de la violence doit montrer son opposition d'une manière claire, officielle et légale. Il devrait donc aviser les responsables de son gouvernement qu'il s'oppose à tout geste de violence. Il devrait même réclamer une diminution de ses impôts en proportion du gaspillage provoqué par cette violence. Tant que cette opposition n'est pas faite, il est réputé démocratiquement responsable même s'il n'est pas d'accord avec les gestes de violence. Il est donc important d'agir le plus tôt possible.
Le citoyen qui manifeste son opposition à la violence devrait le faire de manière à conserver une preuve de son opposition.
Une opposition collective.
Suite à cette opposition individuelle, chaque citoyen devrait de plus s'impliquer dans des actions collectives afin de convaincre le plus grand nombre de personne possible, à l'échelle mondiale, de s'opposer aux gestes de violence.
Il est temps d'agir!
Bienvenue à toutes les personnes pacifiques de cette planète prêtes à poursuivre une concertation mondiale contre la violence.
Anouel
1999-04-12 Tous droits réservés.
Selon des sondages effectués au début d'avril 1999, plus de la moitié de la population du Canada et de la France était favorable à une intervention terrestre de l'OTAN au Kosovo.
Dans ces deux seuls pays, cela fait déjà plusieurs millions de personnes entérinant la violence perpétrée par leur gouvernement.
Mais combien de millions de personnes s'opposent à cette violence dans ces mêmes pays? Et dans les autres pays?
Combien de millions d'opposants à la violence pourrions-nous trouver en lançant un référendum planétaire?
Au Canada, vous pouvez obtenir le mon et l'adresse de votre député fédéral en téléphonant aux numéros suivants:
1-800-363-1363 (Province de Québec)
1-800-667-3355 (Autres provinces)
Voici la lettre que j'ai personnellement envoyée à ma députée. Vous pouvez vous en inspirer pour composer la vôtre.