RIPOUX HÉLÉNIQUE





Je pris donc cette voiture rouge qui me conduisit directement à une jonction en T. Ou m’attendait deux voitures de police. C’était le scénario le plus probable et je n’y avait pas pensé. La premère journée que je suis monté en utilisant le bus j’avais bien vu ces deux même voiture posté à cette endroit.

J’étais assez surpris. La police Grecque est assez connu pour être brutale, c’étais vraiment méchant.

Il m’ont posé quelques questions m’ai c’étais assez stupide. Mon copain commençais a pousser l’un des agents. Il m’on mit des menottes au poing. Elle était d’un genre particulier avec un pivot et une jointure. Mon copain à même suivi ce petit convoi jusqu’au poste de police situé pas très loin du fort, environ dans cette zone.

Peu de temps après je me suis retrouvé en face avec la porte de cette endroit malpropre. Sans avoir fait un appel, sans que l’on m’ait dit pourquoi. Et pour cause il était nécessaire de me transporter du poste de police vers cette petite prison en repassant par la place publique.

La prison était dans une cours intérieur.

J’ai fait quelques dessins de la prison de Rethymno, si vous dites que vous êtes Canadien probablement que vous aurez droit à une visite guidée.

Je n’avais jamais été en prison avant cette date.

La chose la plus drôle pour moi était cette espace de taille équivalent en face. C’était la prison des femmes. Honètement j’aurait préféré être une femme ça semblait plus propre.

La situation était clair. J’avais oublié d’emporté quelques condom. C’est la raison pour laquelle l’on ne m’avait pas fouillé, pour emporté quelques condom. C’était manquant comme cette appel téléphonique.

L’autre chose intéressante : les autres types était bien rasé. Mais ou était donc le rasoir!

COMMENT JE M’ÉCHAPPE DE LA PRISON DE RETHYMNO

J’étais vraiment en prison pour quelques jours, quelques heures, aucune idée. C’était vraiment un jeu de pouvoir simple comme con. J’étais enchaîné on m’offre de la bouffe, et maintenant j’étais derrière les barreaux, j’ai compris assez vite que je n’aurais rien à manger.

Un visiteur s’est présenté. Cela me donnerait la chance d’être vu peut-être de parler à quelqu’un. J’agit discrètement en feignant de m’adresser au policier grecque qui même s’il m’avait compris n’aurait pas pu me répondre. Le policier devait surveiller si le visiteur n’allait pas fournir d’autres lames de rasoir. Je criait la simple phrase : pourquoi suis-je ici? Le premier visiteur parti le policier Grecque disparu aussi.

Un autre visiteur arriva. Il apportait des graines de tournesols et un sandwich. Cette visite fût relativement courte.

A ce moment les télévisions avaient été ouverte.

La troisième visite était pour l’une des femmes.

Mon stratagème fonctionnait assez bien, le policier grecque tentait de rester de plus en plus en retrait. Mais ce n’était pas possible de ne pas être vu par moi et de vérifier en même temps pour des lames de rasoir. Je me rappel très bien l’arrière train de cette femme qui était immense. Pourquoi suis-je ici, pourquoi suis-je ici, pourquoi suis-je ici, pourquoi suis-je ici, pourquoi suis-je ici, pourquoi suis-je ici. Après environ 5 minutes, l’homme qui accompagnait cette femme au derrière immense s’est retourné très rapidement pour me dire : Je vais demander quel est votre nom et nationalité. Il disparut et réapparut tout aussi vite en m’affirmant : Je crois que vous pourriez lui faire des problèmes. Bien entendu pourriez vous m’indiquer comment?

Je discute une bref instant avec cette homme par l’intermédiaire de cette personne salvatrice. Surprise ! il savait que j’avait été à l’université .

Mes valises était en face de la prison. Mais la chose la plus importante pour moi était mon Passeport Canadien ! Ca aurait été vraiment stupide partir sans ce bout de papier. Et d’être ramener par la suite.

Avant que je parte cette homme me déclara que si j’allais encore à l’université j’irais dans une autre prison ou bien entendu personne ne serait disponible pour passer un petit coup de fil pour moi.

Je me demande vraiment quelles était les pratiques de ces hommes la nuit tombé : fellation ou sodomie, probablement les deux !

J’ai quitté Crète le lendemain vers 8h00 avec le Blue Star Ferry.

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Document

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