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| LA MORT D'UNE ORDURE |
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| PARIS (C&R – www.c-et-r.da.ru), le 09-09-2002 Henri « Rol-Tanguy », figure de la « Résistance » communiste et de la « Libération » de Paris en 1944, est enfin crevé dans la nuit de dimanche à lundi à l'âge de 94 ans, a-t-on appris avec la dernière joie auprès du Parti communiste. Né le 12 juin 1908 à Morlaix (Finistère), le pseudo-colonel Rol-Tanguy avait reçu, au prétexte qu’il était chef des FFI (Forces Françaises de l'Intérieur), en août 1944, avec le général Leclerc, la reddition de Von Choltitz, commandant de la garnison allemande de Paris. Inscrit très jeune au Parti communiste, Henri Tanguy - qui deviendra Rol-Tanguy dans la « Résistance » - avait été membre du comité central du PCF de 1964 à 1987, ce qui en fait l’un des plus constants complices en France des crimes contre l’humanité communistes. Engagé dans les sinistres et meurtrières « Brigades internationales » en Espagne en 1937, il participa à la bataille de l'Ebre (1938). Mobilisé en 1939, la légende raconte qu’il serait entré dans la clandestinité dès sa démobilisation en juin 1940. C’est oublier un peu vite que le pacte germano-soviétique était alors en vigueur, et que les communistes appelaient à fraterniser avec l’occupant allemand pendant que l’Humanité prenait langue avec l’ambassade d’Allemagne pour négocier sa reparution. La lune de miel entre nazis et communistes ayant pris fin, Henri Tanguy sera chargé d'organiser des groupes de résistance armés en région parisienne, qui donnèrent naissance, le 21 janvier 1942, au Front National et aux Francs-Tireurs et Partisans (FTP), la plus grande organisation criminelle de la « Libération ». En juin 1944, il était devenu chef régional des Forces françaises de l'intérieur (FFI) de l'Ile-de-France. Il assuma la direction militaire de l'insurrection parisienne, et à ce titre est responsable directement de quantité de vols, tortures et exécutions sommaires. Affecté à la 1ère Armée française, il participa aux campagne d'Alsace et d'Allemagne. Henri Tanguy dit Rol avait été fait Compagnon de la Libération par le général de Gaulle, le 18 juin 1945, preuve s’il en fallait encore de la collusion entre gaullistes et communistes assassins. Affecté à divers postes dans l'armée à partir de 1945 où il faisait clairement figure d’apparatchik puis de commissaire politique pendant la guerre d’Algérie, il avait pris sa retraite en 1962, puis avait siégé au comité central du PCF sans se poser la moindre question sur les millions de meurtres dont il avait été le complice objectif et l'apologiste, de la guerre d’Espagne jusqu’à nos jours. |