Quidam

Comment ne pas me confondre avec mes homonymes.

Peu nombreux nous sommes

À mon grand bonheur je me suis rendu compte que nous sommes très peu de Yann Ropers sur la planète, et à l'heure de la révision de cette page je crois être le seul au Canada. Il serait donc difficile de me confondre avec :

• Yann Ropers, cadre de service financier de la Société Générale La Défense, à Paris.

…quoique mes racines soient françaises malgré moi.

Avant la Première Guerre

Je suis issu de la branche Ropers de Langonned, en Bretagne. Mon arrière grand-père, Nicolas Ropers, s'en est allé au Front en 1914, cependant que mon arrière grand-mère, Marie-Anne Le Parc, est venue ici au Canada, accompagnée de mon grand-père et de mes deux grand'antes, respectivement André, Anna et Joséphine. Cette dernière étant décédée vieille fille à la moitié du XXe siècle (avant que je naisse), et Anna n'ayant pas eu d'enfant, c'est d'André mon grand-père que je descends.

Un parcours scolaire rectiligne

Je n'ai jamais aimé l'école avant d'avoir atteint le stade des études supérieures. Il est donc surprenant que je m'y sois rendu, quoique… avec le recul je considère le tout cohérent. Je n'étais pas pressé de quitter la maison familiale et, m'y sentant à l'aise, j'y suis demeuré jusqu'à l'âge de 29 ans, c'est-à-dire jusqu'à la fin de mes études.

Adolescent j'étais passionné d'écriture et fanatique de programmation informatique. J'ai délaissé cependant ce dernier hobby pour élargir mes champs d'intérêt à d'autres domaines artistiques tels que la photographie et le dessin, suivant le conseil d'un orienteur qui avait perçu en moi un risque imminent de lassitude rattaché à l'informatique, dans une optique professionnelle.

J'ai donc opté pour les études littéraires, du collège à la maîtrise, laquelle s'est terminée en l'an 2000.

L'intérêt pour le vin

J'ai commencé à travailler dans le domaine au cours de la rédaction de mon mémoire, en 1998. Je ne connaissais alors rien de ce qu'il y a à savoir, mais étant curieux de nature et quelque peu scribouilleur, traînant toujours avec moi calepin et stylo pour prendre des notes, j'ai vite appris et assimilé les principes fondamentaux de la dégustation, des appellations et des cépages, lesquels sont liés de façon très étroite.

La création de Vinophilos

Au début de l'an 2003, après cinq ans de travail dans le domaine, j'avais pour projet la rédaction d'un ouvrage de vulgarisation sur le vin, qui serait aussi un recueil de notes de tout ce que j'eusse écrit à ce sujet. Néanmoins, compte tenu que je terminais aussi à cette époque l'écriture d'un livre, et que j'avais quelque souci de visibilité préalable, il m'apparaissait plus objectif et intéressant de créer un site web qui serait fréquenté par des personnes intéressées, et de communiquer en termes simples des informations essentielles à la compréhension de l'univers du vin.

Effacement progressif

Avec le temps je me suis quelque peu lassé de la viticulture, ayant atteint quelque plateau. Le site de Vinophilos est demeuré en ligne mais inactif pendant une période de deux ans, au cours de laquelle je ne faisais que consigner des commentaires de dégustation par écrit, sans plus. Il en a été tout autant en ce qui concerne le site PyorCréations, laissé à l'abandon pendant près de trois ans, ainsi que Mine sur Vélin (inactif) et l'Axe et l'essieu, dont la vocation n'était pas à l'époque la grammaire, la linguistique ou l'étymologie. Aussi je voyais en Vinophilos l'amorce de quelque chose qui n'aboutirait jamais, et qui en somme ferait plus de mal à mon dessein que de bien.

Retour à la table de travail

Après deux ans de rédaction d'un ouvrage de vulgarisation, j'ai repris le travail de ce que j'appelle la “ e-créature ”, c'est-à-dire l'écriture créatrice sur internet. La première étape a consisté en le changenent de vocation de l'Axe et l'essieu, qui a désormais pour objectif premier la vision critique rattachée à l'étymologie. A suivi la réfection de Pyorcréations, ce qui a exigé que toutes les pages soient revues une à une, et montées sur un nouveau gabarit semblable à celui-ci. Puis Vinophilos, plus difficile à remanier en raison des dispositions originales, des images et des éléments flash.

Épuration visuelle

L'un des aspects qui me plaisaient le moins de la version initiale de Vinophilos résidait en la lourdeur visuelle du site. En outre, l'image de la grappe derrière chacun des titres…

… a été tirée du livre de Patrice Dard. Bien que jamais personne ne s'en soit plaint, j'estimais qu'il me revenait de créer des photographies originales plutôt que d'en emprunter. C'est en partie pourquoi j'ai enlevé de ce site la majorité des images.

Retour à la table de travail

Après deux ans de rédaction d'un ouvrage de vulgarisation, j'ai repris le travail de ce que j'appelle la “ e-créature ”, c'est-à-dire l'écriture créatrice sur internet.

La première étape a consisté en le changenent de vocation de l'Axe et l'essieu, qui a désormais pour objectif premier la vision critique rattachée à l'étymologie.

A suivi la réfection de Pyorcréations, ce qui a exigé que toutes les pages soient revues une à une, et montées sur un nouveau gabarit semblable à celui-ci.

Puis Vinophilos, plus difficile à remanier en raison des dispositions originales, des images et des éléments flash.