Conception de Nietzsche par partie du l´auteur

Nietzsche était un homme d’avant garde.  Je crois que maintenant s´il eut été vivant encore on ne serait prêt par lui entendre.  Sa philosophie est tellement profonde qu´il y a des choses que seulement seront compris  dans le future.  Comme Rimbaud,  il était maudit pour son époque. Il a été mal interprété par uns détesté des autres, Nietzsche fut une personne que était un de ceux qui on peut appeler  “Des philosophes avec courage” qui n´avait peur d´un monde adverse et qui nous avait dit quelques vérités. Nietzsche n´était pas fous bien que beaucoup des personnes dissent le contraire.  “Por otro lado, es interesante notar que los amigos más cercanos a Nietzsche consideraban que él fingía la locura, y que la misma no era más que una máscara... Su amanuense, H. Köselitz (P. Gast) señalaba que la filosofía de Dionisos solamente podía escribirla estando loco, y que su enfermedad era una máscara”1 . Ecce homo était une thérapie pour Nietzsche, c´est comme le ‘Behind Scenes’ de son magnifique travail. “De allí que la filosofía sea entendida como una empresa terapéutica, como un modo de enfrentamiento con la enfermedad.” 2. Ecce Homo c´est le témoignage de la chute du colosse mais a la fois c´est le réapparition de sa sagesse, comme une oiseau phénix qui retourne  a la vie de ses cendres. Celui qui  affirme que Nietzsche était fous quand il avait écrit tout cette merveille , doit réfléchir parce que peut être que c´est lui qui est vraiment fous. Comme tout colosse il avait eu  des erreurs mortelles qui ne empêchent pas qu´il fût l´Übermensch, qu´il fût la version réel de son magnifique création, de son image immortalisé dans Zarathushtra.  Sa grandeur ne consiste pas en être parfait, ça veut dire sans commettre des erreurs, mais en sa manière de se critiquer et corriger ses propres défauts.  Ce qui vienne après c´est seulement une interprétation, une opinion, c´est  votre décision mon  cher lecteur si croire o non que Nietzsche était fous.

Préface

« L'erreur (la foi dans l'idéal), l'erreur n'est pas un aveuglement, l'erreur est une lâcheté »3
  Ceux qui croient aveuglement des idéals, sont vraiment les plus grandes lâches quand ils n´avaient pas les arguments suffisants pour soutenir les choses qu´ils croient. Ils sont lâches , ils n´ont pas la capacité de faire face, de s´opposer a un vrai philosophe, les choses qu´ils croient sont tellement faibles qu´il sont très faciles de contredire. Ce n´est pas cécité puisque ceux qui croient dans l´idéal savaient très bien ce que était en train de passer autour, ils avaient connu son espace mais ils n´étaient suffisamment forts pour lui affronter donc ils se cachent dans l´idéal comme les poussins au dessous de l´aile de la poule.

« Eloignez-vous de moi et défendez-vous de Zarathoustra ! Et mieux encore : ayez honte de lui. Peut-être vous a-t-il trompés. » 4
Avec cette affirmation, ce qui Nietzsche voulait c´est éviter que ses futures disciples fussent son troupeau. Il manifeste ouvertement sa haine vers le troupeau, vers ces cadavres qui n´ont pas de volonté qui suivre son chef, son patron jusqu´au l´abattoir.  Ce qu´il veut c´est avoir des disciples qui ne croient pas toutes les choses qu´il dit a eux,  disciples qui pensent,  qui doutent et après décident s´ils croient o non. Bien qu´il ne les a pas trompé, il veut que ses disciples considerent la possibilité d´être trompés par son maître. Il veut des Übermenscht, il ne veut pas un troupeau, ça c´est claire. Il rêve avec des hommes qui ne permettre pas s´imposer des lois, pas même Nietzsche.  Il les montre le chemin pour qu´ils décident comme est ce qu´ils veulent lui promener et ne pas simplement lui suivre comme une brebis le feraient.

POURQUOI JE SUIS SI SAGE

« Mes expériences me donnent surtout le droit de me méfier de ce qu'on appelle les instincts, « désintéressés » et de ce fameux « amour du prochain » qui est toujours prêt à vous venir en aide et de la voix et du geste. Je le considère en soi comme une faiblesse et comme un cas particulier de l'incapacité de résistance aux impulsions ; la pitié ne s'appelle vertu que dans le monde des décadents. » 6
En verdad no existe un acto desinteresado, siempre el orgullo estará detrás de cada acción que llamamos “ buena”. En ayudar al prójimo encontramos la alabanza, la gloria, el reconocimiento por haber hecho dicha acción. Siempre hay algo detrás de ese aparente desinteresado amor. Este abarca también el amor de una madre o de un padre. Ellos se esfuerzan por su hijo para que sea el mejor. Son aparentemente el más claro ejemplo del verdadero amor, del amor desinteresado. Pero para aquellos que escudriñan más allá, verán que en la victoria del hijo se esconde el orgullo del padre, su grandeza, la tan esperada recompensa a tantos años de esfuerzo “ desinteresado”.  Querido lector, ¿ acaso un hombre loco podría percibir, de tal manera los más grandes fraudes de nuestra sociedad? Es que acaso no ven como están siendo manipulados!

« Non, nous ne mangerons pas des viandes que les impurs puissent souiller ! Car ils croiraient bouffer du feu et ils s'y brûleraient la gueule.  Nous n'avons pas de place ici pour les impurs et pour leur race. Notre bonheur serait pour leur corps comme une caverne de glace, notre bonheur gèlerait leurs esprits . » 8
Acá es donde podemos ver porque aquellos herejes de la verdadera cultura, acusan a Nietzsche de ser loco. Es evidente que la sabiduría no estaba al alcance de ellos, la intentaron saborear y se quemaron. La gran sabiduría nos tangible para aquellos seres inferiores, ellos no entienden y quizás jamás lo hagan. Tan solo unos pocos podemos hacerlo y entender la gran farsa en la que vive la raza inferior.  Nuestra locura es la ruina de la raza inferior, es la venda que les impide ver, al igual que los caballos de las zorras, que sólo ven hacia el frente, ignorando todo el resto de su entorno.  Acaso decir la verdad es ahora una muestra de locura?

Pourquoi j´en sais si long

« Ce n'est pas le doute, c'est la certitude qui rend fou... » 9
No será que son ellos y no nosotros lo que dejamos de estar cuerdos? Están tan convencidos de que su sociedad no es un farsa, que poco a poco se han ido volviendo locos, cada vez son más parecidos a su ascendencia animal. Se matan entre ellos, convencidos que lo que hacen está correcto. Lo vimos en la segunda guerra mundial, los comunistas y los nazis. Dos bandos de animales, de lo que llamamos el rebaño, dando su  vida por algo de lo que están convencidos. Matando a los otros por no ser arios, por ser comunistas o fascistas. Millones de títeres quienes en verdad estaban locos. Si certeza los había conducido a la locura cuando alguien les demostraba que las cosas no eran así. Les quedó difícil entender y se mantienen hoy en día. Pero en este mundo atacan al cuerdo y no al loco, o por lo menos eso parece.

« tout idéalisme est mensonge en face de la nécessité, »10
¿De que me sirve el romanticismo si lo que tengo es hambre? Respóndame eso querido lector.  Acaso aquellas palabras idílicas del comunismo nos llenarán el estómago? Acaso nos cobijáremos con las palabras del Reich?  No creo, verdad? Entonces de que nos sirve creer en toda esa basura?

«Connaître, dire « oui » à la réalité, sont choses aussi inévitables pour l'homme fort que le sont pour l'homme faible, inspiré par sa faiblesse, la lâcheté devant cette réalité, la fuite» 11
A los débiles no les queda más que huir, al no poder enfrentar a Nietzsche. Ya que no pueden refutar sus argumentos tienen que recurrir a la bajeza de acusarlo de loco. No saben como hacer para que la verdad no le sea revelada al rebaño, estaban ahogándose en ese mar de sabiduría que oculta Nietzsche, chapoteando para no hundirse, para que ese orden, ese control sobre el rebaño no desapareciera. Ocultando las verdades al rebaño.  DOES MONEY GROWS IN TREES?

Después de escribir su gran obra, el reflejo de si mismo, es decir ASI HABLÓ ZARATUSTRA, quedó a disposición de sus enemigos. Ya había dicho lo que tenía que decir. “L'immortalité coûte cher : on la paye de son vivant de plusieurs morts. Il est une chose que j'appelle la vengeance de la grandeur : tout ce qui est grand, acte ou oeuvre, se retourne immédiatement contre son auteur, une fois accompli. Car c'est justement en l'accomplissant que son auteur s'affaiblit, il ne peut plus supporter son oeuvre, il ne peut plus la regarder en face.”12  Después de llegar al punto máximo, al climax, llegó el momento de bajar.  Parece como la historia del rey que expulsó al mago el cual lleno de resentimiento, envenenó el acueducto del reino con una bebida que volvía loco al que la tomara. Lo hizo sin saber que el rey tomaba agua de una fuente diferente. Todo el reino se volvió loco menos el rey. Las cosas que pasaron eran de esperarse. La gente del reino empezó a pensar que su rey estaba loco. Empezaron a haber protestas y el rey, cansado de todo ese agite y su preocupación, decidió tomar de la fuente y enloqueció.

Y recuerde!!!!

Notas a pie de página
  1.Mónica B. Cragnolini. Identidad, enfermedad y lenguaje en Nietzsche: La máscara de la locura
  2.Mónica B. Cragnolini. Identidad, enfermedad y lenguaje en Nietzsche: La máscara de la locura
  3.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Préface.
  4.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Préface.
  5.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Préface.
  6.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Pourquoi je suis sage
  7.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Pourquoi je suis sage
  8.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Pourquoi je suis sage
  9.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Pourquoi j´en sais si long
  10.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Pourquoi j´en sais si long
  11.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo L'origine de la tragédie
  12.Friedrich Nietzsche, Ecce Homo Ainsi parlait Zarathoustra

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