Pour poursuivre : on a vu , en plaçant des éléments grossiers partout (et donc rapides a calculer), que certaines parties de la pièce ne subissaient pas d'efforts trop importants par rapport à d'autres : exemple les bouts arrondis de part et d'autre, sur lesquels les contraintes sont faibles par rapport à la contrainte maximum. De façon à obtenir des résultats crédibles sur la résistance de la pièce, nous allons augmenter la finesse du maillage là ou les ordres de grandeurs sont proches de celui de la contrainte maximale trouvée avec un maillage grossier. Mais pour éviter que le PIII 600 ne rame trop, on va grossir les éléments aux points que l'on ne souhaite pas étudier. Ainsi, le fond de la pièce a un maillage fin, les trous sont maillés assez finement, tandis que les côtés et les arrondis sont très grossièrement maillés.

 

© benjamin lerouyer 2000