La Bible d'Etarnia
En
1462 après la bataille de Dar-Kestar (la bataille de la domination)
et la fondation d’Etarnia , moi Valeck, régent du peuple d’Etarnia
, à vu Ardmor dans une vision pour la première fois depuis
La Bataille de Dar-Kestar. Dans ma vision, je voyais les huit flèches
du Chaos peintes sur un mur gris. Puis peu à peu elles se changèrent
en un tout autre symbole je voyais une grande faucille dont la lame servait
de paupière à un œil, de cet œil s’égouttait une larme
de sang. Je vis alors le symbole s’éloigner et je vis le mur se
préciser pour donner une enceinte puissante d’une énorme
forteresse. Quatre enceintes et trois douves elle avait. Et la dernière
avait la hauteur d’une tour. Les cours étaient remplies de guerriers
et de guerrières qui s’entraînaient à manier les armes
de toutes sortes et de courir longtemps sous des charges très lourdes.
Plusieurs s’entraînent à la torture sur des paysans, les cris
de douleur retentissant dans le royaume entier faisait éclater de
rire les guerriers.
Au
milieu de la forteresse s’élevait une tour noire dont le sommet
rivalisait avec les plus hautes montagnes. Son sommet était constitué
d’un énorme dôme d’acier noir de jais. Qui reflétais
toute la terreur et la puissance de se peuple terrible.
Des dizaines de bannières flottaient autour du dôme comme
une couronne sur la tête d’un roi.
Je
compris alors que cette cité était mienne et que ces hommes
et femmes vivant de la souffrance des autres étaient tous à
mon service, n’attendant que le jour où ils partiraient dans l’uniforme
de l'Ordre Noir pour aller porter le Chaos et la destruction aux Elfes
et tout autres serviteurs des Faible d’en Haut. Sous l’ordre d’Ardmor,
il pénétra dans le donjon, il grimpa les étages en
entendant les cris des prisonniers torturés et le chant de sacrifice
des prêtres. De la place émanait une puissante aura maléfique
qui suffisait a porter la nausée a quiconque la respirait. Les murs
chantaient l’échos des morts passés et la douleur était
omniprésente. Partout les pièces étaient décorées
de textes écris dans des caractères qu’il croyait inconnus
mais Qui évoquèrent chez lui une joie et la fierté
d’être un homme d’Etarnia, une sensation de gloire lui prix le cœur
et il se mit à rire à gorge déployer. Enfin il gravit
les derniers escaliers, ceux qui menaient à la salle du trône.
Les murs noirs de la salle éclairés par des centaines de
chandelles étaient cachés par des bannières et des
textes peint avec du sang encore humide. Le trône disposé
au centre de la salle était entouré d’une grande table pourvue
de sièges mis à la disposition des conseillés du Roi.
La table était couverte de manuscrits et de cartes des pays
environnants. Sur un monticule de crânes était dressé
le trône fait de pierre noire et d'argent.
Le
sol de la salle du trône était jonché de crânes
et de trésors accumulés aux cours de multiples pillages et
batailles. Le dôme en acier était noircit par le feu
qui brûle éternellement au centre de la salle. Il avait été
construit pour accomplir La Promesse d'Ardmor : « Lorsque L’Élu
se sera élevé au-dessus des plus grands Rois d’Etarnia, Il
devra sacrifier huit prêtres et mages pour appeler les Dieux du Chaos
à insérer toute leur puissance à l'intérieur
de L’Élu pour qu'il puisse rallier toutes les forces du Chaos sous
une même bannière et cette fois éliminer entièrement
la race des Elfes ainsi que toutes les créatures vouées à
la Loi.
C’est
alors qu’Ardmor lui adressa la parole pour la première fois. Il
lui dit : « construit cette cité et nomme la Olag , car de
cette cité viendra le déclin de la lumière. Parmi
les hommes d’Olag viendra l’élu de notre race et les plus puissants
guerriers qui foulèrent le sol de cette terre. Sans L’Élu,
le combat pour la survie d’Étarnia sera vain et Étarnia sera
détruite à jamais. Je ne peux desceller l’avenir Mais notre
espoir reste dans la construction de cette cité et ce tu dois
le commencer dès maintenant car bientôt il sera trop tard.
-
Mais comment? et où dois-je construire cette cité? Le roi
est trop occupé à faire la guerre aux elfes et à étendre
son territoire. Il ne fournira pas les matériaux ni les esclaves
nécessaires à la construction d’une telle cité.
-
Fais ce que je t’ordonne, tu n’aura pas de difficulté à convaincre
le vrai roi. Si je t’ai choisi c’est que tu es capable d’Accomplir la tâche
qui t’es destinée.
-
Comme vous désirez mon maître vos desseins seront les miens.
-
Sache que le sort de ton roi m’importe peu. Et pour t’aider dans l’accomplissement
de ta tâche, prend ce parchemin.
À
mon réveil, je vit le parchemin sur ma table de chevet et je compris
que ce n’était pas un rêve et que je devais effectivement
construire Olag. Je plaçai le parchemin en lieux surs.
Olag et la grande révolte :
Immédiatement
après avoir caché le parchemin, Je me dirigeai vers Formenost,
la capitale d’Etarnia. j’allai voir le roi et lui fit part de mon projet.
Il rejeta vivement : ses conseillés militaires déclarèrent
qu’etarnia était suffisamment forte pour repousser toute attaque
venant de l’extérieur. le roi, concentrait ses efforts sur la guerre
et l’expansion de son pays.
Je
n’eut point d’appui de la part des grands prêtres car ils n’avaient
rien à faire de la protection du royaume leurs esprits se tournant
au cultes voués à Ardmor et aux fêtes religieuses.
Le roi croyait bon de construire la plus grande flotte possible pour explorer
les mers du sud et pour coloniser les îles a proximité et
pour combattre les blancs navires des elfes. JE décidai de lui présenter
le parchemin alors que je lui parlait en privé et par le fait même,
lui raconta ma vision.
-
baliverne!, me cria le roi, ne croyez pas que je me priverai de mes rameurs
et de mes précieuses ressources pour construire une cité
plus grande que Formenost et ce à quelques à quelques milles
de distances entre les deux? Je vous croyait plus intelligent que cela.
Nous avons tous un jour rêver à notre dieu que nous chérissons
tant mais jamais nous avons voulu construire une cité inutile à
cause d’une rêve!
-
-
Et que penser vous de ce parchemin que je vous ai montrer il n’est pas
apparu après ce rêve seulement parce que quelqu’un veux me
jouer un mauvais tour.
-
-
Je crois plutôt que vous l’avez écrit pour me convaincre de
construire cette cité pour ainsi assurer votre richesse et celle
de vos enfants. Allons hors de ma vu avant que je vous fasse envier le
sort des esclaves!
J’ai
dès lors comprit que nul soutient ne me viendrait de lui et que
je serais torturer pendant des mois si je tentait de construire la cité
sans son accord. Je ne perdit toutefois pas espoir et j’alla voir les grands
prêtres, à eux aussi je montrai le parchemin et je leur racontai
mon rêve.
Ils
ont...
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