La Révolte de Greshtak et la chute de
l'Empire
La révolte de Greshtak et la chute de l’empire
Greshtak
En l’an 3462 après Dar-Kestar, Greshtak, terre aux denses forêts entourée de montagnes, demeure des Orcs et des autres races apparentés à ceux-ci depuis la récompense de Chardos, tomba sous les armées de Rhulforst, 73 è roi d’Etarnia, et de ses légions de guerriers montés sur des Kertuks. Depuis ce jour, des villages miniers sont construits près des montagnes aux riches gisements d’or et d’autres matériaux précieux pour l’empire d’Etarnia et des garnisons sont installés près des grandes concentrations d’Orcs et des villages miniers. La moitié des possessions des vaincus ayant une valeur était ramasser annuellement et des milliers d’esclaves Orcs goblins et Hobgoblins étaient livrés chaque mois aux bons soins des Docteurs de Dorfost. Les révoltes, succédés par une armée venant d’olag pour détruire les rebelles et montrer l’exemple au reste du pays en détruisant des communautés entière d’Orcs se sont succédés pendant deux millénaires, jusqu’à ce que le roi Khurtag décide d’établir une cité pouvant contenir 14 compagnies de vaillants guerriers en permanence dans le pays esclave. Ces 14 milles guerriers, tous montés sur des Kertuks, agissaient avec une rapidité et une tel sauvagerie que nul rébellion eut lieu pendant près d’un siècle.
La guerre Elfique
Trois cents ans après la fondation du glorieux empire, le roi Ghurthang voulut agrandir son territoire sans violer le territoire qui avait été accorder aux Orcs par Chardos après Dar-Kestar et envoya des navires exploré les mers du sud et de l’ouest. Sur les 14 navires envoyés, les quatre qui revinrent rapportèrent des nouvelles qui placèrent le pays dans une tel colère que même les guerres de clergés ont cessés. Une île au sud avait été trouvé, trois navires y accostèrent. Un petit village fortifié fut construit au bord de la mer, d’où partait des petites expéditions d’exploration dans le but de découvrir la taille de l’île et de trouver si elle était habiter ou non. Vingt cavaliers furent envoyés pour accomplir cette tâche, au soir ils revinrent pour trouvé la palissade défoncé et les huttes brûlés. Les cadavres des explorateurs s’entremêlaient sur le sol avec ceux de petits hommes barbus. Deux navires avaient étés brûlés sur la plage alors que le troisième était mouillés à un mille de la côte. Laissant leurs coursiers et leur équipement sur l’île, ils tentèrent de rejoindre le navire à la nage, seulement deux réussirent. L’équipage du navire se limitait à quelque hommes pour la plupart blessés qui avaient réussis à s’éviter le carnage dans le village. Car durant la journée, une armée de ces petits hommes sortirent des bois, habillés de cottes de mailles et armées de haches. Ils ont attaqué le camp sans plus d’explications. Voyant la mort de le visage de leurs adversaires, une poignée de guerriers réussirent à se taillé un chemin jusqu’aux navires. Alors qu’ils partaient, quelques un de leurs assaillants montèrent à bord et leur livrèrent bataille sur le pont. Deux furent capturés et les corps des autres furent jetés à la mer. Le peuple des nains que les hommes d’Etarnia avaient crus complètement détruit lors de Dar-kestar avaient d’une manière ou d’une autre atteint cette île dans leur fuite et s’y était installé. Alors qu’à l’ouest, de blancs navires aux courbes elfiques des temps anciens ont rencontrés les nôtres, les équipages de nos vaisseaux furent emplis d’une telle rage en pensant aux récits de dar-kestar où les elfes avaient réussis à se sauvés dans des navires semblables qu’ils coulèrent les nouveaux venus et qu’ils sillonnèrent les mers longtemps à la recherche de leur cachette. Puis une immense île entourés de ports fut découverte. Des huit navires Étarniens, trois tournèrent pour revenir au pays et rapporter ces informations, se qui enclenchera un guerre qui devra durée plus de cinq milles ans et qui se terminera par la chute d’Etarnia. L es autres, furent détruit alors qu’ils attaquaient le port le plus près dans une folie meurtrière.
Aussitôt
que ces informations atteignirent l’oreille du roi, une grand rassemblement
fut ordonné et le trois quart des armées du pays furent envoyés
à l’assaut de la terre elfique. Les rares navires rencontrés
furent coulés en un rien de temps par les redoutables armes Étarniennes
inspirés de celles créées par les démons lors
de dar-kestar. Puis les ports arrivèrent en vue. Au débarquement
suivit une multitude de carnages, les corps elfiques étaient désossés
puis leur sang recueilli et bu par les guerriers dans des cérémonies
de victoires, les captifs étaient torturés des jours de temps
puis scarifiés au nom d’Ardmor. Des navires furent emplis de captif
qui s’évitèrent la mort sur place, mais qui étaient
condamnés au tourment durant de longues années, certains
furent même retrouvés encore en vie, quoique ayant perdu leur
esprit et leur beauté, cinq milles années plus tard lors
du sack de Dorfost. Les troupes Étarniennes avancèrent, brûlant,
pillant tout sur leur passage. Jusqu'à ce qu’ils arrivent à
Imladris, la capital. Ils en firent le siège et quelques heures
à peine avant que la cité ne tombe définitivement,
des armées de chevaliers et de fantassins humains débarquèrent
sur les côtes et assaillirent les armées étarniennes
prisent par surprise. Le roi put s’échapper du carnage avec le huitième
de ses forces et rentrés à Dorfost. Aussitôt qu’il
fut de retour au pays, des immense travaux défensifs fut fait pour
se protéger d’une invasion, invasion qui ne vint que cinq milles
ans plus tard. Les côtes ouest entièrement furent fortifier,
les rivières donnant au sud furent bloqué à la mer.
Des lignes de piliers d’acier aux pointes acérées qui étaient
à peine visible à marré basse furent édifier
dans la mer à quelques milles des côtes ouest et sud sur la
presque totalité de la frontière, ne laissant que quelques
entrés marqués par de hauts murs garnis de catapultes coulants
sans merci tout navire ne portant pas les voiles d’Etarnia. Les navires
aux coques les plus solides n’étaient même pas capable de
résister aux lignes de piliers meurtriers, et très près
des côtes, des immense roches furent jetés à l’eau
jusqu'à ce que les navires tentant d’y passer s’y échouèrent
irrémédiablement. L’accès aux plages était
impossible de la mer, seul des chemins sinueux dans des labyrinthes de
piliers d’acier et de roches étaient capables de rendre aux 14 ports
fortifiés.
La dernière révolte et le débarquement.
Pendant trente ans, les tensions ont montés dans Kombural, la capital Orc. Trois cents guerriers additionnels renforcèrent chaque garnison ainsi que vingt prêtres et trois compagnies augmentèrent les troupes de la cité dominante. Le roi Olaf savait que la paix établie par son père ne saurait durée plus longtemps et renforça les défenses de l’Est au détriment de celles à l’Ouest, car les Elfes n’avaient jamais tentés d’attaquer et que des centaines de navires sillonnaient les mers séparant nos deux pays. Les Orcs s’armaient en secret et des chefs criaient toujours de plus en plus haut leur désir de vengeance. Puis un soir, les gardes sur les remparts de la cité virent de flambeaux s’allumer dans la ville, puis, ils devinèrent se qui se passait. Des milliers d’Orcs en armes étaient sortis de leurs trous et de leurs huttes. L’alerte fut dès lors sonné, des milliers d’hommes vinrent rejoindre leurs compagnies, tous montés sur leurs Kertuks, prêt à mourir pour empêcher une révolte qui se répandrait à travers le pays, mais c’étaient déjà trop tard. Partout ailleurs dans le pays c’était pareil. Greshtak était à feu et à sang. Une garnison qui se défendait tant bien que mal contre les assauts des Orcs en espérant à tout moment voir des renforts arrivés pouvait perdre toute espoir en voyant les flammes dévorés un autre camp des armées d’Etarnia. Les villageois et les mineurs furent massacrés, les chargements volés. Les garnisons dans Greshtak étaient concentrés près des grands regroupements d’Orcs, mais furent tous écrasés dans un carnage reflétant la sauvagerie avec laquelle les Orcs avaient détruits les armées naines protégeant la retraite du reste des armées de la loi au cours de Dar-Kestar. Hommes et femmes tentèrent en vain de résister aux assauts déterminés des Orcs. Près de la frontière, La révolte était à son plus fort. Il était évident que la révolte avait été soigneusement planifié, et qu’un grand chef Orc allait se lever après la victoire car des Orcs armés pour la guerre deux fois plus nombreux que la population Orc en temps normal près des frontières assaillirent la ligne de garnison protégeant les montagnes menant jusqu’à la frontière de notre grand pays.. Mais, grâce à la vaillance des soldats du roi, la défense tint bon et les nombreux villages miniers des environs furent sauvés. La presque totalité de Greshtak avait glisser d’entre nos mains, pendant que la ligne de défense tenait les assauts Orcs répétés, espérants en vain que des renforts ne tarderaient pas à arrivés et que la cité de la défense, postée à côté de Kombural, tentait une percé à travers les rangs Orcs. Les 17 milles soldats de la cité étaient alignés en rangs serrés, lance baissées, prêts à chargés la masse d’Orcs devant leurs portes. Les portes furent rabattus sur les côtés et les cavaliers chargèrent. Au centre de leurs rangs, les prêtres étaient eux aussi montés sur des Kertuks, priant pour que les guerriers puissent se frayé un chemin dans les lignes ennemis pour pouvoir rejoindre le pays. Tout espoir d’éteindre la révolte comme un feu de camp avait disparu de la tête de nos troupes, ils ne pensaient qu’à rentrer au pays, pour pouvoir préparer une contre-attaque effective. Malgré cela, ils chargèrent les rangs Orcs avec toute la fureur d’Ardmor, leurs lances étaient guidés par la main d’Ardmor et son souffle repoussait les coups des ennemis. Quand un cavalier tombait, sa monture ,elle, continuait le combat. Chargeant sans pensé le gros de l’armée ennemis, piétinant tous sur son passage et attrapant avec ses dents acérées ceux qui résistaient à ses défenses mortelles. Les flèches fendaient le ciel en direction des cavaliers et des Orcs. Ricochant sur armures et boucliers et s’enfonçant dans la chair des infortunés. Nous rangs tinrent bon. Lorsque tous furent sortis de la cité, un mouvement d’élargissement fut opéré et la colonne des transforma en une vaste ligne de plus d’un mile sur l’horizon. Les Orcs firent de même et se rangèrent en une ligne inorganisé, qui serait facile à briser puis à encerclé. À la note clair du cor ordonnant la charge, les Orcs répondirent par leurs cris de rage et les deux armées se rencontrèrent au centre de la plaine séparant la cité défensive de Kombural. Le choc brutal, le cliquetis des armes, la cacophonie infernale d’épée sur bouclier, lance perçant un guerrier, les cors sonnant des ordres pour éviter la confusion dans les rangs, les cris de rages se succédaient du côté comme de l’autre. Le sang coulait à flot dans la plaine et les Kertuks piétinait sans différence le vivant et le mort. Chaque fois que l’étendard d’Etarnia tombait, son porteur tué, il se relevait, tenu par un autre. La bataille dura plusieurs heures avant que nos troupes ne commencent à encerclé les survivants ennemis. Les pertes étaient lourdes dans les deux camp. Les faces de nos frères, mutilés par les lames impétueuses des Orcs ou piétiner par leur propre monture. Le spectacle horrifiant fit monter les larmes aux yeux de plus d’un fier guerrier. Les trophées macabres s’accumulaient sur les ceintures des soldats d’Etarnia. Lorsque l’encerclement fut complet, les Orcs se rassemblèrent et percèrent une brèche dans le côté le plus faible du cercle. Les Orcs rageurs furent accueillis par les lances des Hommes fatiguer, exténuer par le combat. Les hommes tombaient, les uns après les autres, percés d’un flèche ou tranchés par un lame. Le sang giclait dans tous les sens. Les faces des Orcs étaient rouges et les lames des guerriers d’un noir mât. Une odeur écœurante emplis le champ de bataille, un curieux mélange de sang rouge et noir se trouvait pratiquement partout dans la plaine et certains Orcs prenaient même un doux plaisir à y noyer un blessé. La brèche effectuer par les Orcs ne laissa s’échapper que les plus déterminés et se referma sur les autres. Le cercle se rétrécissait toujours, fermant par le fait même les brèches créer par la mort de plusieurs guerriers. Les Orcs se rassemblèrent au centre, et formèrent un tapon terrifier. Puis, une note longue et plaintive sortit du cor du commandant, ordonnant la charge finale. Lentement, patiemment, les lances se baissèrent de toute part. Une folie meurtrière s’emparât de chaque guerrier et ils se lancèrent tous ensemble dans une course vers le centre. Les rebelles seraient donc écrasés. Les hurlements des Orcs agonisant, percés de toute part par les lances implacables de cavaliers se mêlait au chant victorieux des hommes. La bataille finit, les cavaliers se rassemblèrent derrières leurs commandants de compagnies et partirent en direction de la frontière sans plus tardé, Ils avaient triomphés devant les portes de la cité défensive, mais Kombural grouillait d’Orcs avides de sang. La retraite ordonné des 10 milles soldats se transforma en débâcle totale lorsqu’ils furent assaillis par des hordes innombrables d’Orcs sortant des bois environnant. Des milliers de soldats tentèrent de fuir, pendant que les plus braves restèrent pour combattre. Ils étaient attaqués par des forces au moins dix fois plus puissante qu’eux. Des flèches et des traits défilaient dans le ciel, mortels projectiles qui ôtèrent la vie à plus d’un fier combattant d’Etarnia. Moins de mille hommes franchirent les cols abruptes entre les montagnes qui séparent Greshtak et Etarnia.. Parmis ses milles hommes, de nombreux prêtres et guerriers restèrent pour renforcer les lignes de défense alors que le reste partit chercher de l’aide à Dorfost, la puissante capital d’Etarnia. Le roi convoqua alors Nadsokor, Seul dirigeant de l’ordre noir, l’armée du clergé ou la main d’Ardmor comme certains l’appel. Il ne disposait que de vingt mille guerriers et prêtres car dix milles autres étaient partis en mer sous le commandement du jeune Xan Darkor à l’assaut d’une île où une armée elfique se serait posté en attente d’autre ordres. Le roi lui ordonna d’assembler ses troupes et de mettre à sac Kombural et de détruire toute résistance de la part des Orcs. Il renforça l’armée de Nadsokor avec près de cinq mille des guerriers de la cité ainsi que de vingt mille esclaves combattants (pour plus de renseignement sur les esclaves, demander à Simon Turmel). Le reste des armés royales qui n’étaient pas postés aux frontières se rassemblaient au sud avec la légion du peuple pour armer une flotte importante et déclencher un assaut sur le pays elfique. Même sans l’ordre noir et sans les troupes mobiliser à Greshtak, l’armée du roi était massive et susceptible de conquérir le pays Elfique. La campagne diriger par Nadsokor fut l’une des plus sanglantes de l’histoire de Greshtak depuis sa conquête par Etarnia. Chaque ville Orc fut rasé sur le chemin menant à Kombural, laissant des ruines dominés par des pyramides de têtes fraîchement coupés. Les guerriers de l’armée royale avait du mal à supporter ceux de l’ordre noir. Tous des vétérans, des champions choisi parmis l’élite d’Etarnia. Tous cruels, tous sans pitié où remords. Leur jeu favori consistait en un concours de celui qui torturait sa victime le plus longtemps, celui qui faisait crier sa victime le plus fort, celui qui lui faisait le plus d’incision avant qu’elle ne meurt… La force perturbatrice du Chaos était si présente que même avec leurs formidables résistance à ces forces, certains subissaient de légères mutations et ils avaient tous une durée de vie illimité, sauf si, ils étaient tués au combat. Mais tous, sans exception avaient un cœur apparenté à celui d’un démon. Leur humanité avait été détruit pour être remplacer par l’esprit démoniaque des fils d’Ardmor. Nul humain ne pouvait être d’une tel cruauté.
Malheureusement, que se soit par chance ou que sa l’ait été planifier, dix jours après le départ de l’ordre noir, une imposante flotte elfique accosta dans le port de Ghormor et des troupes déferlèrent dans la cité, poussé par une rage alimenté par cinq mille ans de guerre et de carnage. Ils s’étaient enfin décidés à attaquer. Le carnage dans Ghormor ne leur avait pas suffit pour étancher leur soif de vengeance, Ils poussèrent leur chemin jusqu’à la capital, écrasant toute opposition sur leur chemin. Entre temps, ils s’étaient scinder en deux armées, la plus petite irait attaquer Bar-tak et entamer le siège de Barfost où irait la rejoindre la plus grande des deux armées après avoir détruit la capitale. Le siège fut désastreux, des catapultes elfiques bombardèrent la ville presque dégarnis d’hommes seul les trois compagnies de la garde royale était présente, avec plus de cent milles esclaves combattants. Olag, cité voisine de Dorfost, était vide et l’armée était à des jours. De marche de la capital en détresse. Les corbeaux de Dorfost furent lâchés parmis les assiégeants, mais leur habilité ne pouvait rivaliser avec les arcs elfiques. Après peu de temps, les démons ailés étaient presque tous tombés, emportant avec eux dans la mort qu’une poignée d’assiégeant. Des hordes de créatures, des chiens dressés au combat, les hordes des vicieux Skiurds (de petites créature à deux pattes à peine plus haut qu’un danois dont les membres supérieurs étaient comme des crochets, tranchants comme une lame de rasoir sur le dessous et se terminant par une solide pointe qui passe en travers d’une armure comme du beurre) furent préparés au combat. Les catapultes lancèrent une pluie perpétuelle de boulets d’acier enflammé, brûlant les champs autour de la cité alors que les balistes bombardaient les assaillant de lances enflammés. Puis, l'armée arriva, sortie de la forteresse de Barfost et inattendu par l’ennemis, appuyer par les défenseurs. Les guerriers de l’armée, tous à pied, attaquèrent aussitôt les troupes elfiques, plusieurs tombèrent, percés de leurs flèches, mais le reste atteint l’ennemi. Le choc résultant de cette rencontre fut grand, le ciel fut déchirer par les cris stridents des guerriers. Les portes de Dorfost s’ouvrirent toutes grandes, et laissèrent sortirent les esclaves, précédés des Skiurds et des terribles Kertuks. Les chiens de guerres sortirent dans la mêlé, certain avec des torches de souffre brûlant sur leurs flancs, d’autre avec des multiples lames sortant de tout bord tout côté d’une veste de cuir durcit qu’ils portaient, ces chiens étaient étonnamment grands, et féroces. Les troupes elfiques se repliaient, mais lorsque le sort de la bataille tournait en faveur des troupes royales, les échos de tambours résonnèrent dans les champs, on croirait que des milliers de tambours roulaient, ils roulaient en un crescendo continu, toujours plus fort… Puis les cors sonnèrent et des chevaliers montés sur de puissants chevaux Les chevaliers, suivit par des rangs serrés de fantassins, plongèrent au cœur de la mêler. Des troupes humaines avaient débarqués pour prêter main forte aux elfes. La bataille pencha horriblement du côté des elfes et de leurs alliés. Des piquiers humains firent des puissant Kertuks un tas de viande dans une carapace percée de tous les côtés. Les Skiurds furent anéantis jusqu’au dernier par des vigoureux guerriers et les elfes ne firent qu’une bouché des milliers d’esclaves. Les puissants chevaliers défoncèrent les rangs de la légion du peuple, quoique bien entraîner et équiper, ils ne pouvaient soutenir une charge en rang serré. Les soldats de l’armé royale firent tout ce qui pouvait être fait, et tentèrent une retraite ordonné, mais pris en chasse par les chevaliers, cette retraite se transforma en débandade totale. La plupart des soldats se firent rattrapés et capturés par les chevaliers. Les captif furent jugés pour les actes de leur nation et exécuter sur place. Les survivants dans Dorfost tentèrent de s’échapper pendant la bataille, plusieurs réussirent, d’autre non et furent capturé, eux aussi. Le roi et sa garde ainsi que les généraux restants sont restés pour défendre leur cité jusqu’au dernier homme. À peine trois jours après le combat, la cité tomba aux mains de l’envahisseur. Les elfes tenus en captivité dans les nombreuses tour de Dorfost furent soit relâcher ou tuer par leur frères de races : plusieurs y étaient depuis des millénaires, torturés quotidiennement, rendu fou par l’influence du Chaos tout puissant, et les elfes victorieux achevèrent leurs souffrance, se maudissant de ne pas les avoir sauvé avant. Le gros de l’armée repartit combattre dans les territoire plus au sud, où les attendait les murs silencieux de Melna, la cité aux milles souterrains. où ils triomphèrent avec autant d’aisance qu’à Dorfost. Le reste, est rester pour rassembler les richesses dans Dorfost en tant que dédommagement pour ensuite détruire la totalité de l’ancienne cité. Ils se sont ensuite diriger vers Olag, à peine à un mille de distance. Mais prit par la terreur inspirer par les lieux, ils n’y pénétrèrent même pas. Ils décidèrent d’en détruire le plus possible en la bombardant avec leurs catapultes. L’armée elfique poster sur l’île étant un leurre, Xan Darkor revint sur ses pas pour trouver, avec ses hommes, Dorfost rasé jusqu’au sol et une petite armée elfique et humaine en train de bombarder Olag. Ils les chargèrent impétueusement, tuant jusqu’au dernier guerrier. Ils reprirent le trésor et le mirent à l’intérieur d’Olag, en sécurité. Ils y trouvèrent le grand prêtre connut sous le nom de l’Être. Il leurs expliquèrent les récents événements et ils partirent en suite à la recherche des autres survivants, qui étaient partit se réfugier dans les terres des barbares au nord, nos alliés. L’Être resta à Olag, priant dans le temple. Plus de vingt-cinq ans passèrent avant que Nadsokor revienne au pays, ne ramenant qu’une mince poignée d’hommes avec lui, en majorité des sorciers et des prêtres, et beaucoup de blessés. Pendant ces années, une partie de la population était revenue et s’était installer dans la sécurité d’Olag, sous le commandement de l’Être. En échange de quoi, ils durent réparés les dommages que les murs de la cité avait subit. Nadsokor fut très heureux de voir qu’Olag était toujours debout. Et il promit au peuple de le guider vers un renouveau, et il fit le serment de ne prendre la couronne que lorsque la loi d’Ardmor règne à nouveau en ce monde. Les forces chaotiques étant encore très puissante en Olag, les plus faible furent sujet à d’horribles mutations. Maintenant, presque tous les survivants sont rassemblés autours d’Olag dans des petits villages, car la plupart craigne d’entrer dans la ville maléfique. La population du pays est maintenant réduit à moins d’une trentaine de millier de paysans et d’une dizaine de milles milliers de guerriers, en majorité des recrus. L’armée royale totalement décimé a laisser toute la place à l’ordre noir qui recrute maintenant parmis la population. Nadsokor a aussi entreprit de recréé une armée royale, il est aller chercher les réfugiés dans les pays barbares et a recruté les barbares qui se portait volontaire pour gonfler les rangs de l’armée régulière d’Etarnia, l’Ordre noir, quoique maintenant dominant, n’est que l’armée d’un clergé.(Avant la guerre, il y avait trois principaux clergé ayant tous leur armée, seul le plus puissant,l’ordre de l’oeil enflammé avait survécut par l’ordre noir, (voir les guerres des clergés)?Pas encore écrit
Récemment, certaines mine d’argent et de fer ont été rouvertes, leurs précieux minéraux étant nécessaires au soutien militaire du pays tentant tant bien que mal de retrouver sa puissance d’antan. Des armes argentés furent mise à la disposition des guerriers partant combattre, ainsi que des armures de meilleur qualité. Nadsokor a maintenant terminer son entraînement de prêtre, et pourra diriger effectivement le clergé, l’armée du clergé et le pays sans avoir besoin d’auxiliaire.
Des
milliers de personnes ont étés rassemblés et logés
dans de petits villages tout près d’olag, seule cité toujours
habitable. La diminution de population est beaucoup moins grande qu’estimé
auparavant, des centaines de petits villages n’ont même pas été
vus par l’ennemi, surtout ceux au nord près des mines et les nombreux
camps de bûcherons. De nombreuses fermes ont aussi été
épargnés par la guerre et leurs champs fertiles contribuent
grandement à empêcher que la famine ne finisse la travail
des armées elfiques et humaines. Les défenses les plus à
l’est, sont toujours solides et bien garnis en hommes, car ils n’ont même
pas eu vent de la destruction de l’empire avant cette automne. Les pays
conquis ont eux aussi étés oubliés par les elfes,
et plusieurs parmis les moins importants ont étés libérés
: les troupes ayant étés rappelés au pays pour aider
à son redressement.
Les
chantiers de constructions près de Barfost sont maintenants rouverts,
et la cité est en reconstruction, ainsi que Ghormor. Rapidement
le pays se relève.
La guerre de la vengeance pourra bientôt commencer, qu’Ardmor guide nos lames.