Background de Nadsokor 


Un fils de paysan, voilà ce que je suis, un enfant qui a été envoyer à une école militaire non-loin de la ferme de mon père à Imlad à l’âge de 13 ans pour en ressortir quatre ans plus tard et commencer ma carrière militaire dans l’armée royale. J’ai commencer par servir dans l’infanterie, puis à mesure que mes apprentissages avançaient, j’ai monter en grade Puis j’ai été admis dans la garde royale, une armée de 3000 hommes qui suivait le roi dans ses déplacements. J’ai passer plusieurs années dans cette fonction, mais je n’ai combattu que lorsque je servait dans l’armée et que j’étais affecter à la garnison de Kombural, la redouté capitale de Greshtak, pays sous notre domination depuis l’an 3462, mais compte tenu des fréquentes révoltes de la part des Orcs c’était l’affectation la plus dangereuse dans tout l’empire. J’avait 23 ans quand le roi commençait à être sérieusement troublé par la situation à Greshtak, il préparait une invasion de l’île elfique que nos ancêtres ne purent jamais conquérir en 5000 ans, il désirait faire passer sa flotte par L’autre coter de l’île, et ainsi contourner les ouvrages défensifs des elfes, enfin, c’est ce que j’en su, car j’étais très ami du capitaine de la garde qui lui était le confident du roi. Mais si une révolte venait qu’à éclater en Greshtak pendant que l’armée serait partie, les troupes en garnisons devraient se débrouiller seuls, et en cas de défaite, il est clair que les Orcs viendraient pour se venger. Donc le roi fit rassembler une trentaine d’hommes de la garde parmis ceux en qui il pouvait mettre sa confiance, et mon nom figurait parmis la liste que proposa le capitaine. Je partit donc en Greshtak avec 4 compagnons et nous firent notre enquête, et une fois par semaine, les trente hommes se réunissaient et faisaient le compte rendu de chaque enquête, au bout de quatre mois nous en virent qu’à débusquer des chefs et représentants de 9 clans différents et mirent la main sur des plans grossiers visant une révolte générale et l’encerclement de toutes nos garnisons en moins de 4 jours. Des exécutions furent faites pour propager la confusion parmis chaque clans et aussi pour éliminer ceux qui auraient pu se servir de la mort des chefs pour mener encore plus d’Orcs à la révolte. Après m’être acquitter de cette tâche de manière satisfaisante, je fut ensuite envoyer à Mersha où je servit comme soldat, ce qui montrait une régression en grade, mais je doit avouer que j’étais las de remplir les murs d’un château et que le combat m’avait manquer. J’ai passé sept semaines sous les ordres directe de l’abbé, sept semaines durant lesquels je fut initier au premier cercle de l’ancien clergé. Nous avons capturés une chapelle dévoué à un certain Kilam, mais nous l’avons reperdu peu de temps après. Durant cette bataille j’ai sauver l’abbé et gagné le titre de Chevalier d’Ardmor, titre privilégié. Au terme de ces sept semaines, nous patrouillons en groupe de quatre et furent interceptés puis sommés de nous rendre par une forte troupe dirigée par sir Hubert, nous avons réussis à fuir jusqu’à la forêt, mais furent capturé peu après et amenés devant l’évêque de Kilam. Il nous a condamner à mort par pendaison, donc, à la perte de notre âme. Car si cet évêque nous pendait selon certains rites, qu’il veillerait personnellement à accomplir, il pouvait enlever à Ardmor et même à Chardos le pouvoir de récolter nos âmes. Dans la foule j’ai vu un mage, et évoquant un pacte qui le forçait à m’aider à tuer sir Hubert, je l’ai persuader d’agir. La boule de feu nous engloba tous, Sir Hubert, mes compagnons et moi. Je me suis réveiller, c’était noir, j’étouffait, j’ai pousser pour sortir, et réussi. J’était enterré avec mes hommes, dans un trou peu profond. Mes vêtements et mon armure étaient toutefois propres, neufs. Et dans mon cou, pendait un médaillon portant l’œil enflammé d’Ardmor. Je suis retourner à pied au pays, j’ai appris en chemin que tout l’ancien clergé avaient étés capturés séparément et pendus. J’était le dernier, et comment j’ai survécut, je croit que c’est Ardmor qui avait d’autres plans pour moi. À mon retour au pays, j’ai demander la bénédiction de l’ordre de l’œil enflammé pour créer un nouvel ordre pour remplacer le défunt clergé, après maintes examinations du pendentif et de mon passé, ils m’accordèrent leur entière coopération et glissèrent même un mot de ma part au roi. Je put ensuite aller lui faire mon rapport de la situation à Mersha et lui rapporta que toutes nos forces présente (quoiqu’elles étaient maigres) avaient étés détruites. Le roi fut content de mon rapport et m’informa que la situation de nos forces à Mersha n’étaient plus de mes affaires car j’avait la garde royale à diriger. Je fut légèrement peiner d’apprendre que le capitaine était mort quelques semaines plus tôt car comme d’innombrables jeunes soldats, c’était de lui que je tirait mon inspiration, il avait été en quelque sorte mon modèle. À la garde, je créa une nouvelle section d’élite rassemblant de jeunes prêtres, guerriers et sorciers tous prometteurs, ce fut là les racines de l’ordre noir. J’avait de nombreux entretiens secrets avec le roi portant sur plusieurs sujets variant des secrets d’Olag à ses suspicions envers certains nobles des clergés rivaux. Lorsqu’il me faisait signe d’agir, je lançait mes assassins et mes troupes et faisait le nettoyage, plusieurs complots contre le roi furent mis à jour, mais aussi beaucoup d’innocents furent tués, dont beaucoup parce que nous avions étés le jouets de factions rivales dans des complots politiques. Malgré tout je fut rapidement admis parmis le cercle d’amis du roi et je devint bientôt l’un des agents du clergé de l’œil enflammé les plus influents auprès du roi. Beaucoup m’envièrent d’être privilégié, et une bonne partie de ma nouvelle Ordre Noir (qui comptait 500 membres) fut mobiliser à ma propre sécurité, car il n’était pas rare de voir un de mes hommes m’apporter un assassin ou un esclave qui avait comme mission ma mort. Lorsque les bons soins de mes hommes les faisaient parler, un assaut rapide était lancer sur mes assaillants, et aucun n’était épargner. Après deux années durant lesquels je continuait à gonfler les rangs de mon Ordre Noir, et à m’acquitter de ma tâche auprès de la famille royale, le grand roi Khurtag me nomma premier conseiller et intendant du roi, ceci déclencher une nouvelle vague de colère parmis l’ordre de l’élu qui proposa un arrêt des hostilités avec les fils de Korleon pour mettre leurs ressources en commun pour m’éliminer moi, l’ordre Noir et l’œil enflammé. Plusieurs jours à l’avance, je fut mis au courant de leur plan et avec l’aide d’Anatar, un des grands prêtres de l’ordre de l’œil enflammé, je put rapidement élaborer ma défense, et même un assaut contre mes ennemis. Mes hommes sont aussitôt  aller à la demeure du Baron Thronsom, un des plus puissant membres des fils de Korleon, sans lui et ses troupes personnelles, une tentative d’assaut contre nous était vaine. Nous savions tous que le Baron Thronsom projetait la mort  d’Anatar depuis longtemps, alors nous avons planifier l’assassinat d’Anatar par les hommes du baron, et avec les <<témoins>> très influents venant du domaine militaire, politique, religieux et marchand (qui étaient tous des connaissances soit de moi où des dirigeants de L’œil enflammé) nous purent montré l’évidence du crime commis par le Baron, ce qui était tout faux. Anatar n’étant même pas mort, juste caché pour quelque temps, et je reçu du roi l’ordre de rendre justice et de réparer le tort commis par ce Thronsom au clergé, il ne savait pas que Thronsom avait déjà été capturé, ses hommes tués et que des dizaines des miens étaient dans sa demeure et que chaque personne demandant à voir le Baron étaient arrêtés puis emprisonnés pour être interrogés puis exécutés. Le Baron fut mener devant le roi qui le condamna à la torture jusqu’à se que mort s’en suivre. Dans une cérémonie quelque peu grotesque puisque tout avait été préparer d’avance, nous dupèrent le roi en faisant <revenir à la vie> Anatar. Khurtag fut soulagé de voir que l’œil enflammé était le clergé privilégié par Ardmor car souvent il lui arrivait de croire qu’il avait choisi le mauvais clergé, ce qui avait déjà entraîner la chute de plus d’un rois avant lui. Le roi me convoqua peu de temps après, et me dit : <<Si ce Baron a put faire assassiner Anatar avant que le complot soit découvert par les nôtres et que la rumeur voulant l’accord de principe entre les fils de Korleon et l’ordre de l’élu est vraie, les dirigeants de ces clergés possèdent donc une force suffisante pour m’assassiner et me remplacer sans trop ébruiter l’affaire. Je vous que vous Éliminiez la menace des fils de Korleon, ils serviront d’exemple.>> Ce fut sans me faire prier que j’acceptai cet ordre, et en quatre heures de discussions avec les dirigeants de l’ordre de l’œil, les plans de l’assaut furent terminés, des ordres furent envoyés aux officiers de mon ordre noir et aux chefs des sections de Fanatiques de l’œil. à midi tapant le lendemain, les forces conjointes de mon ordre et de l’œil frappèrent tous les temples, quartiers généraux et toutes les casernes des fils de Korleon dans la capitale, Des quartiers entiers furent bloqués dans la capitale par des troupes de l’armée royale et toutes les terres des nobles de ce clergé furent investies par l’armée. Le château du Conte Strafyord près des champs de Melna fut assiégé puis conquis par l’armée en trois jours. Bar-tak et Barfost subirent les mêmes critères d’épuration que la capitale, sauf que seule l’armée et quelques sections de Fanatiques  y participèrent, mes troupes n’étant basées que dans la capitale. Quelques 300 000 suivants des fils de Korleon périrent ce jour là, 12 000 furent capturés puis incarcérés dans les donjons pour servirent de poupées d’essai aux docteurs d’Olag qui chaque jour travaillait dure à pousser les limites de la torture plus loin. Et 300 nobles furent capturés dans cet assaut définitif. Leurs richesses et leurs terres furent divisées parmis les nobles de l’œil et des interrogatoires poussés permirent à mes hommes de traqués encore 18 000 dévots de ce clergé qui ne rendait pas gloire à Ardmor selon la <bonne manière>.  Quelques mois après ce coup politique Khurtag me fit l’unique détenteur d’Olag , le plus beau joyau du pays et gardien de tous ses trésors. Cette cité appartint dès lors seulement à l’ordre noir, et j’abandonna mon poste à la garde royale pour me concentrer sur mon ordre. Vu le nombre croissant de mes hommes, je dut rassembler mes meilleurs officiers, puis en faire des généraux. Parmis eux, le meilleur était Grishnak. Chacun de mes guerriers recevaient une formation de prêtre en plus de celle de guerrier, mais il était évident qu’ils étaient moins puissants que les vrais prêtres, et c’est pourquoi une place de choix fut réserver aux prêtres dans mon Ordre Noir.  Près de 30 000 de mes hommes furent formés pour combattre à dos de Kertuks du clergé, ce qui faisait de ma section d’élite de jadis la plus puissante force armée de tout le pays : 30 000 monteur de Kertuks, 40 000 fantassins, des centaines de milliers d’esclaves, 300 grilliers ( une sorte de baliste lançant un énorme filet d’acier d’où à l’impact se déversait une substance hautement acide qui pouvait brûler jusqu’à de la pierre) 800 catapultes, 3000 baliste lourdes et légères puis 100 béliers , J’ai longtemps servit le roi de la manière la plus fidèle et jamais je ne désobéis à un ordre. C’est pourquoi que lorsqu’il m’ordonna de marcher sur Kombural et de détruire la menace de révolte totale j’y allai, même si 20 000 de mes hommes étaient partis en mission sur les mers de l’ouest sous le commandement de Xan Darkor.  La révolte en Greshtak avait déjà commencer depuis deux semaines quand le roi m’a donner cet ordre, j’avait 44 ans, mon intervention 20 ans plus tôt n’avait que retardé la chose, et les armées du pays, l’armée royale et la légion du peuple, commençait à se rassembler à Bar-tak et les armes de sièges étaient transportés de Barfost à Bar-tak, même moi je dut en céder la moitié pour l’effort de guerre, mais c’était de bon cœur, car j’avait l’intention de participer à l’assaut de la terre elfique préparer depuis 20 longues années. Mais le roi m’ordonna d’aller en Greshtak, et c’est là que j’alla. Mais je n’aurait pas du, car dix jours seulement après le passage de mes troupes de L’autre coter de la frontière, notre propre pays fut envahi par des armées elfiques et humaines. Ghormor, presque vide de troupes, fut facilement conquise par l’assaillant et sa prise facilita de beaucoup un débarquement rapide et en masse des forces ennemis. La guerre dans notre propre pays ne fut qu’une série de défaites, nos troupes, prise par surprise eurent beaucoup à faire pour se mettre sur le pied de guerre et de se retourner pour combattre l’envahisseur et nos armes embarqués dans des navires de transport ne nous  furent d’aucun secours. Quoique pris par surprise ainsi, les rapports que j’ai eu de notre défaite montrèrent que l’ennemi  n’eut pas la vie facile, mais malgré tout, ils ont vaincu. Et de toute les cités principales seul Olag ne fut pas détruite, car son aura maléfique était si puissante qu’elle empêchait toute créature de la loi d’y entrer, ceux qui tentèrent d’en approcher perdirent la raison, et finirent par ce transformer en créatures immondes du chaos. De mon coter, je n’avait aucune nouvelle du pays, et j’étais assez déconcerter de voir que les troupes Etarniennes avaient toutes été repoussés dans tout Greshtak. Et le chemin qui me mena à Kombural en fut un long et sanglant. Siège après siège, mes troupes avançaient, sans compter les victoires. Chaque Bastion que les Orcs nous avaient pris dans leur révolte nous le reprenions, puis vint le terrible siège de Kombural. Ce ne fut pas sans pertes que je put mettre la bannière d’Etarnia sur les murs de la capitale. La guerre en Greshtak avait prit un tournant pour le pire, mes 200 000 esclaves avaient péris et j’avais perdu près du tiers de mes hommes. Mais les pertes Orcs étaient incalculable. Jamais je n’aurait crut que tant d’Orcs puissent participer à une révolte. Je m’établit Dans la capital et envoya message au roi que ma tâche était accomplie. Le messager revint  trois mois plus tard, m’annonçant la chute de notre pays et son occupation par des légions de troupes de la loi. Je ne savait quoi faire, retourner au pays et mourir honorablement contre des forces qui d’après les estimations des messagers et de plusieurs survivants qu’ils avaient rencontrés étaient plus de 10 fois supérieurs aux miennes ou rester ici et continuer la race Etarnienne avec tous les secrets qu’elle garde? Je décidai de rester pour refaire un nouveau pays, en espérant que, dans quelques générations, nos descendants iraient reconquérir ce qui est notre et réintégrer notre règne. Pendant 18 ans je restai à Kombural, où mes forces n’augmentait pas, mais diminuaient à cause des incessantes attaques des Orcs. Je retirai mes forces de Kombural alors que mes forces atteignaient 20 000 hommes et seulement 5000 Kertuks. Je désirait rentrai au pays et j’allait tenter ce que j’aurais du faire plus tôt, un retour en force au pays pour le débarrasser des envahisseurs.  En chemin, nous avons dut faire face à une nouvelle armée d’Orcs, et furent encore triomphants, mais seulement la moitié de mes hommes survécurent, et parmis eux, les trois quarts étaient gravement blessés. En retournant au pays, j’ai vu Etarnia, habiter seulement par quelques villages de paysans ayant survécut à la guerre. Olag, n’avait subit que de légers bombardements et était encore habitée par une trentaine de prêtres qui ne l’avait pas quitter. Le manque de provisions et d’alchimiste me fit perdre 3000 hommes supplémentaires qui moururent de leurs blessures.  Après peu de temps, je put retrouver Xan Darkor qui me fit le récit de son retour au pays et de la disparition de l’une des sept pierres. Pendant trente ans j’ai tenter de faire relever mon pays, puis je suis ensuite partit à la recherche de la pierre, deux années de recherche furent veines, mais nous avons maintenant la certitude d’où la trouver, et j’ai même l’aide d’Odin et des Gorothrims pour le faire. Je pourrais être roi et envoyer d’autres de mes gens la chercher cette fameuse pierre, mais mon  devoir, celui pourquoi Ardmor me garde en vie c’est de servir le clergé, et je répandrai la volonté d’Ardmor au delà des frontières de notre pays qui difficilement, se relève de sa défaite.  Je doit retrouver la pierre du nexus, la ramener cher nous, puis punir ceux qui l’ont volés. Je ne suis pas fait pour le commandement d’un pays, je suis un soldat. Je ne serai jamais roi, quoique c’est mon droit, car la famille royale est détruite jusqu’au dernier et que je suis l’intendant du roi, mais je trouverai bien quelqu’un digne de confiance qui prendra ma place sur le trône. Le seul clergé encore <vivant> est celui de l’œil, car mes hommes et moi en faisons parti, donc il ne devrait plus y avoir de guerres interne et la tâche de roi en sera grandement faciliter. J’ai laisser le pays se reformer seul, j’ai récolter une poignée  d’hommes dignes de confiances et je suis partit, je gardait le contact avec le pays que par quelques messages à l’occasion. Ce qui fait qu’aujourd’hui encore, alors que j’écrit ces lignes comme mon testament, je cherche la pierre et ceux qui ont osés la volée à mon pays.