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Samedi 7 Décembre 2002, à Bobigny. 7° journée du Championnat. OPUS ACS - FC AETOS : 0-0 (0-0) - Ioannidis - Chiarazzo, Besson, Visvikis, S.Anger - Sissiaridis, Trabi, Papadopoulos (Paparas 79°), Touparlakis - T.Giannitsakis, Potsolidis (G.Giannitsakis 58°). Ent : Mastorakis. |
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DES REGRETS Enfin des points pour le FC Aetos. Pour la première fois de la saison en championnat, l'Aigle ne quitte pas le terrain sur une défaite. Malgré la satisfaction d'avoir fait mieux que jusque là, les grecs peuvent se mordre les doigts de ne pas avoir inscrit un but, tant ils ont été supérieurs à Opus tout au long de la rencontre. Opus ne se sera d'ailleurs créé que deux occasions, une en début de match et une autre à la fin, mais à chaque fois, l'attaquant adverse aura trop croisé sa frappe. De son côté, l'Aetos a multiplié les occasions et les situations sans parvenir à ouvrir le score. Dès la deuxième minute, Potsolidis réussit un splendide coup du sombrero sur le dernier défenseur mais sa frappe enchaînée du gauche est écrasée et passe à droite du cadre. A la 12° minute, sur un dégagement de la tête d'un défenseur adverse, Sissiaridis frappe joliment de vingt mètres malheureusement à droite du cadre. A la 19° minute, Touparlakis hérite du ballon dans la surface de réparation, dos au but. Il pivote et frappe à ras de terre du gauche dans le soupirail droit où le gardien adverse plonge et détourne en corner. Sur le corner, Trabi frappe à son tour dans le soupirail droit, mais un défenseur posté sur la ligne concède un nouveau corner. A la 25° minute, sur une balle en avant de S.Anger, Potsolidis frappe de demi-volée de l'angle droit de la surface de réparation, juste au-dessus de la transversale. Après tous ces échecs, les grecs vont encore se créer une occasion avant la fin de la première période. Mais au terme de leur plus beau mouvement collectif depuis le début de la saison, le score sera encore de 0-0. Visvikis récupère le ballon dans les pieds d'un adversaire au point de corner sur l'aile gauche. un premier une-deux avec Sissiaridis, puis un second avec Touparlakis et Visvikis est déjà à trente-cinq mètres de sbuts gardés par Ioannidis. Visvikis lance Papadopoulos le long de la ligne de touche gauche avant que ce dernier ne transmette à Touparlakis qui a poursuivi sa course pour venir apporter une solution à son équipier. Touparlakis résiste alors à son défenseur, se présente seul face au gardien très excentré sur la gauche, et tente un lob astucieux qui retombe sur les filets, derrière la lucarne droite. En seconde période, l'Aetos joue moins bien mais se crée tout de même les meilleures occasions. A la 66° minute, consécutivement à un coup franc à vingt-huit mètres que S.Anger décale légèrement, Touparlakis expédie une frappe lourde trente centimètres au-dessus de la transversale. A la 74° minute, les grecs se créent leur plus dangereuse occasion du match. Le gardien adverse dégage une sortie de but au milieu de terrain. De la tête, un défenseur prolonge dans le rond central où Visvikis met à son tour la tête vers l'avant. Sissiaridis, lui aussi de la tête prolonge aux vingt mètres, où Potsolidis, lui aussi de la tête, joue dans l'axe pour Touparlakis qui part alors seul au but. A peine entré dans la surface, Touparlakis tente d'enrouler son ballon sur la droite du but mais le gardien bien sorti réussit une superbe parade en corner. Enfin, l'Aetos se crée une dernière occasion, à la 82° minute. Excentré sur la droite, G.Giannitsakis se retrouve en position idéale, malheureusement sa frappe lourde est imprécise et passe à droite des buts d' Opus. Le score de parité est regrettable car Aetos a été bien meilleur que son adversaire, mais c'est un premier pas pour une équipe convalescente. La combativité globale de l'équipe est d'ailleurs admirable et Ioannidis a enfin conservé sa cage inviolée en championnat. Dommage que les attaquants aient manqué du tout petit rien qui aurait pu faire la différence... |
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