LA POLITIQUE...C'EST À N'Y RIEN COMPRENDRE !
La politique en Belgique est assez complexe en raison des différents centres de pouvoir: roi, ministre et autres font tous partis du système politique Belge.
SYSTÈME
Avant 1970, la Belgique bénéficiait d’un système d'état unitaire. Mais, dès 1980, la querelle linguistique apporta quatre vagues de réformes fédéralistes qui aboutirent aux accords de St-Michel en 1993, qui entraîna la monarchie fédérale. Donc, depuis ce temps, la Belgique est une monarchie constitutionnelle et héréditaire avec un gouvernement de forme parlementaire.
Elle demeure au sommet du combat pour l’abaissement des barrières politiques, militaires et économiques entre les pays et collabore de façon fructueuse avec ses voisins (Luxembourg et Pays-Bas). Comme tous les pays dirigés par un roi, la succession au trône belge se fait par primogéniture.
DIRIGEANTS POLITIQUES
Le principal pouvoir de la Belgique est attribué au roi Albert II, qui est le sixième roi belge. Il signe les lois et a sous son contrôle tous les autres ministres.
Par la suite, suivant l’ordre de la hiérarchie, le Premier ministre est Guy Verhofstadt. Cet homme de pouvoir fut également sénateur de 1995 à 1999, vice Premier ministre, ministre fédéral du budget et ministre de la recherche scientifique.
Quant au poste de ministre de l’état, Louis Michel l’occupe. Il est aussi Vice-premier ministre et a comblé le poste de ministre fédéral des affaires étrangères et de président du parti Réformateur libéral.
Par la suite, Antoine Duquesne occupe le poste de ministre de l’intérieur. Il fut député fédéral de 1995 à 1999 et ministre de l’éducation nationale en 1987 et 1988.
Finalement, il y a Didier Reynders qui est ministre fédéral des finances. Il fut également conseiller communal de Liège, député fédéral, président de la société des voies aériennes et président de la société nationale des chemins de fer belges.
Quant au point de vue éducatif, la Belgique y accorde une très grande importance ayant presque un ministre spécialisé dans tous les domaines de l’enseignement pour veiller à la bonne éducation des jeunes de ce pays.
Tout d’abord, Jean-Marc Nollet qui est le ministre de l’enfance et aussi chargé de l’enseignement fondamental. Pierre Hazette, occupant le poste de ministre de l’enseignement secondaire et de l’enseignement spécial. Françoise Dupuis, siégeant au poste de ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique et finalement, Nicole Marechal, ministre de l’aide à la jeunesse et ministre de la santé.
DIVISIONS POLITIQUES
En 1993, la réforme de forme constitutionnelle a divisé la Belgique en trois principales divisions politiques, soient la région flamande, la région de Bruxelles-Capitale et la région wallonne.
Premièrement, la région flamande qui occupe la partie nordique de la Belgique compte les provinces d’Anvers, le Brabant flamand, le Limbourg, la Flandre-Orientale et Occidentale et s’exprime en néerlandais.
Deuxièmement, la région de Bruxelles-Capitale qui compte évidemment, Bruxelles, la capitale de ce pays, ainsi que ses 19 communes. Elle est située au centre du pays. On y parle le français et le néerlandais.
Troisièmement, la région wallonne qui compte les provinces du Brabant wallon, celle du Hainaut, de Liège et de Namur. Quant à cette région, située au sud du pays, est presque totalement d’expression française.
Finalement, à l’extrême est du pays, se trouve une petite communauté d’expression germanophone qui est un peu mise à part de la Belgique.
PROBLÈMES
Les principaux problèmes politiques de ce pays se rapportent principalement aux querelles linguistiques entre les diverses divisions de celui-ci.
Même si ce problème commence à diminuer peu à peu, la tension persiste. Donc, les divers partis travaillent ensemble dans une cohabitation difficile, ce qui provoque des problèmes au niveau politique.
Également, quelques-uns uns des problèmes politiques de la Belgique se rapportent au niveau des dettes car elles dépassent son revenu national. Sa gestion arrive au premier plan et définit le principal du débat politique. Ce problème est si important qu’il failli même empêcher le pays d’entrer dans l’Union monétaire européenne.
Et finalement, il y a aussi les autres problèmes que sont les grands écarts entre la région wallonne et la région flamande; les deux ayant un niveau de vie très différent. L’une étant très industrialisée et l’autre à peine, l’une étant plus riche que l’autre et leurs langues étant différentes. Tout cela complique donc l’accord de ces deux divisions et la balance entre ces deux régions est très inégale.
SOLUTIONS
Les solutions que pourrait développer la Belgique afin d’avoir un meilleur niveau de vie dans les deux partis sont, d’après moi, les suivants : avoir un meilleur équilibre entre ces deux divisions en essayer de collaborer peu importe la langue parlée, ce qui apporterait une meilleure industrialisation et un meilleur soutien entre ces deux parties.