Pratiquant le ski alpin depuis l’âge de neuf ans, j’ai eu l’occasion de découvrir plusieurs facettes de ce sport. Depuis quelques années, la mode est au sports extrêmes. Mais avant même que le mot extrême soit utilisé à gauche et à droite, plusieurs pratiquait déjà des sports extrêmes. Celui qui m’intéresse le plus est le ski extrême.
L’équipement d’un skieur extrême se différentie de celui de monsieur tout le monde par la résistance de celui-ci. Les skis destinés au ski extrême sont beaucoup plus résistant. Souvent, comme ce sport ce pratique dans la poudreuse ils sont parfois plus large. Les fixations sont un élément important de l’équipement. Elles doivent résister à de très grandes forces et surtout ne pas se détacher de la botte Contrairement à l’habitude, lorsque le skieur extrême fait une chute, ses skis ne doivent pas se détacher. Evidemment son risque de blessure est augmenté, mais dans un pente abrupte ses skis poursuivront sûrement leur descente seuls et le skieur serait dans une position très fâcheuse. Evidemment, les concepteurs de vêtements de sports ont créés des gammes de vêtements pour sport extrême, mais je considère que c’est de la frime.
Le ski extrême peut se pratiquer n’importe où, pourvu que l’endroit présente un risque élevé. Par exemple, de nombreuses montagnes des alpes, des rocheuses ou d’autre chaînes sont propices à la pratique de ce sport. Les montages avec de fortes dénivellation, avec des sauts (caps) de plusieurs mètres et de la neige poudreuse profonde sont les préférées.
La seule pente qui pourrait ressembler à une pente pour du ski extrême se trouve dans charlevoix au centre de ski le massif de petite rivière St-François. Il s’agit de la piste #42, celle-là même qui est supposé servir au jeux olympique qui peut-être un jour se trouveront dans la vieille capitale.
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