Érodent ces massues, fracasse cette ardeur,
Tue son regard ludique et volubile s'agite,
Pour ne point effiler son courroux acolyte,
D'une larme engloutit la rive qui se meurt.
Ses plumes de corbeau ondulent leur colère,
Qui déferle et secoue d'une bourrasque amère,
Toute immobilité dépourvue de bourrade.
Les torsades de l'eau chatouillent les galères,
Tel mille frisottis envahissant la terre,
De leur âcre parfum de guerre et de grenade.