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Mais j'en avais tant pris dans mes ceintures closes Que les noeuds trop serrés n'ont pu les contenir. Les noeuds ont éclaté. Les roses envolées Dans le vent, à la mer s'en sont toutes allées. Elles ont suivi l'eau pour ne plus revenir; La vague en a paru rouge et comme enflammée. Ce soir me robe encore en est tout embaumée... Respires-en sur moi l'odorant souvenir. |
Le poème est de http://poesie.webnet.fr/poemes/France/desborde/2.html.