Ce soir là, il m’aimât comme jamais
Après la douleur, les caresses consolatrices
Puis, les baisers de feu
Et enfin, la passion consumée
Jamais il n’avait été aussi beau
Son corps voluptueux d’Adonis contre le mien,
Son souffle irrégulier
Sa peau en sueur,
Ses yeux brûlants
Exprimaient tout son amour pour moi
Croyais-je!
C’était être bien aveugle
Son corps incarnait le désir
Alors que son cœur saignait
Sachant que c’était un adieu
Je n’étreignais plus le chevalier de mes rêves
Mais, la mort de l’âme
Ce soir là, je suivais le rythme d’une danse macabre
En compagnie de la Grande Faucheuse
Amie des amours perdus
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