Marie Humbert et Frédéric Chaussoy - Une erreur judiciaire préméditée - Par un état de droit à l'injustice
Pour défendre les valeurs d'un état de justice et non d'injustice, le réseau Humanisme Démocratie Justice, se constitue partie civile devant le TGI de Boulogne sur Mer pour exiger l'inculpation des coupables et la relaxe des responsables .
(L'avis de réception RAR 4118 7781 5FR atteste bonne réception le 26/01/2004 du mémoire ci-dessous)
Selon ses pensées rapportées par écrit, le jeune Vincent Humbert suite à un sort contraire maintenu en état de survie artificielle, de torture mentale, de mort latente, est l'objet d'un traitement de survie jugé par lui dégradant, inhumain, insupportable, au point de formuler le voeu attesté, constant, individuel, de voir cesser un acharnement thérapeutique médical devenu un calvaire continu, cruel, douloureux, à sa conscience .
Afin de ne nuire à autrui il demande publiquement au président de la République de confirmer par simple courrier le devoir de porter assistance à une personne dans l'incapacité d'agir et désirant accéder à l'ultime liberté, non répréhensible .
Abusant d'une qualification erronée, fallacieuse, non-pertinente, d'euthanasie pour décrire tel acte à fin de pouvoir le déclarer, usant d'un faux prétexte, criminel en l'état du droit, un mensonge par omission et substitution, le droit en l'état totalement silencieux, la loi inexistante . Le président de la République, fait usage des médias à ses bottes, pour d'un faux prétexte, d'oxymores, mensonge par omission et substitution, déclarer l'obligation de survivre contre sa volonté dans des conditions dégradantes, la prolongation du calvaire, la torture morale, physique, psychique de sa victime comme découlant d'un obligation légale .
Usant d'un non-sens, le droit de mourir, supposant l'existence d'un autre oxymore, le non-droit de mourir . Et par complémentarité un droit de vivre et un non-droit de vivre . Telle vision propre à une vision despotique du pouvoir ou une autorité arbitraire dispose d'un droit divin de vie et de mort sur ses sujets . Un appréciation incompatible avec un état démocratique ou la règle est la prévalence du respect des libertés sur toute folle idée désirant par une loi maitriser la vie et la mort .
En s'abstenant d'exercer le droit constitutionnel, républicain, souverain, attaché à l'art 6 de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 (DDHC) pour le moins le sieur Jacques Chirac a clairement démontré son intention coupable de voir prolonger les souffrances, le désespoir, les malheurs du jeune Vincent Humbert, victime de ses agissements .
En obligeant l'entourage à prolonger des traitement jugés douloureux, inhumains, dégradants par sa victime, le président de la République en conscience s'est rendu coupable d'entrave manifeste à l'exercice prévalent de libertés individuelles, d'entrave manifeste à la révélation de la vérité, et par abstention, faux prétexte, omission, d'actes de tortures aggravés, imposés à autrui avec préméditation par personne ayant autorité (art. 222-1 CP et suiv.) .
Art. 3 de la Convention Européenne des Droit de l'Homme et des Libertés Fondamentales ( CEDHLF ) :
" Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants "
Le texte complet du mémoire déposé devant le TGI de Boulogne Sur Mer est publié
sur les pages internet suivantes à fin de lecture publique
1 ) http://www.oocities.org/reseauhdj/humbert
2 ) http://www.oocities.org/infinieinjustice/humbert
3 ) sites miroirs .
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Duringer Gérard
Responsable du réseau
Humanisme Démocratie Justice
Site de référence sur la notion de devoir citoyen
http://www.oocities.org/reseauhdj
& son site jumeau sur l'injustice en France
http://www.oocities.org/infinieinjustice
Contre
Le sieur Jacques Chirac, hors-la-justice, usurpateur, euthanasiste de masse, domicilié, sise au Palais de l'Elysée, Paris - France . Et autres, selon ce que l'enquête déterminera .
A l’attention du greffe du tribunal de grande instance de Boulogne
pl Résistance - 62200 BOULOGNE SUR MER
A l’attention de la juge d'instruction Anne Morvant
Affaire Vincent Humbert
Intervention en tierce partie en vue d'empêcher la commission d'une erreur judiciaire,
Intervention en tierce partie pour poursuites contre des médias de complaisance pour publications tendancieuses en vue de provoquer une erreur judiciaire .
Intervention en tierce partie pour obstruction systématique de l'appareil judiciaire à l'arrestation d'un tortionnaire et euthanasiste de masse le triste sieur Jacques Chirac .
Plainte à l'encontre du sieur Jacques Chirac et autres, coupable, d'entrave manifeste à l'exercice prévalent de libertés individuelles, d'entrave manifeste à la révélation de la vérité, et par abstention, faux prétexte, omission, d'actes de tortures aggravés, imposés à autrui avec préméditation par personne ayant autorité (art. 222-1 CP et suiv.) .
Plainte à l'encontre de l'ensemble des médias de complaisance coupables de diffamation, d'obstruction manifeste à la révélation de la vérité, de tentative manifeste d'influencer, de manipuler l'opinion publique en vue de provoquer une erreur judiciaire par la publication d'informations fragmentaires, partiales, non contradictoires et l'usage de faux prétextes, oxymores, et mensonges par omission .
Demande de relaxe immédiate de tout chef d'inculpation contre les mis-en-cause .
Demande de poursuite contre les tortionnaires .
Etat de droit et état de justice
Dans le titre de son livre adressé aux autorités prétendant ou détenant le pouvoir d'agir ou d'influencer, le jeune Vincent Humbert réclame le droit de mourir . Cette prière dans sa formulation montre combien lui-même, le journaliste, les co-auteurs de cet ouvrage, et des millions de personnes sont prisonniers d'un concept ravageur, répressif, restrictif de toutes les libertés de vivre, de mourir, d'expression, de pensée, de presse, d'entreprise, etc ..... l'état de droit .
Vanté comme panacée et socle de la " réussite " des sociétés occidentales l'état de droit sert de prétexte dans des systèmes politiques corrompus pour imposer inégalités, injustices, prévarications, servir l'intérêt de privilégiés et nuire au développement d'un état de justice .
La prière de Vincent Humbert se résume en deux suppliques . Respecter le devoir de protection des libertés, l'assister pour lui permettre selon sa volonté d'accéder à l'ultime liberté . Seul sa mère, son anesthésiste ont fait face à leur devoir . Pour protéger ceux qui ont failli, valets et mercenaires occultent le vrai débat, en faussent les références .
Seul un état de droit corrompu propre à une dictature peut priver un individu de sa liberté de vivre ou de mourir, tel est le cas dans le scandale politico-judiciaire des inculpations de dame Marie Humbert et du sieur Frédéric Chaussoy .
Pour défendre les valeurs d'un état de justice et non d'injustice, le réseau Humanisme Démocratie Justice, en la personne de son responsable Duringer Gérard, se constitue partie civile devant le TGI de Boulogne sur Mer pour exiger l'inculpation des coupables et la relaxe des responsables .
Liberté de mourir et euthanasie
1 / Le faux débat de l'euthanasie .
2 / Le faux débat de la légalité ou de l'illégalité .
3 / Le faux débat de la responsabilité et de la culpabilité .
(un principe fondamental de liberté ne nécessite aucune loi pour affirmer sa prévalence)
1 / Le faux débat de l'euthanasie
N'en déplaise aux immatures, prédicateurs, prophètes, ouatant leurs rêves de l'espoir d'accéder à une vie éternelle de grabataire . La mort, et la vie, inscrits dans nos gênes, sont le patrimoine élémentaire, originel, primal, de tout être humain, deux précieux cadeaux que chaque mère offre à son nouveau-né le jour de sa naissance .
Une évidence rejetée par ceux que le caractère inéluctable de la mort effraye . Par les associations prédatrices des libertés plaidant contre la volonté de leurs victimes la survie artificielle, une torture thérapeutique par prolongation du désespoir, des malheurs, des souffrances du patient soumis contre son gré à un acte de cruauté médicale .
L'euthanasie, atteinte sans consentement de la victime à la liberté de vie d'autrui, est un crime .
L'euthanasie n'est pas :
- " la plus médiatique des morts assistées " (Libération)
- une aide au suicide médicalement assistée (rapport du sénat)
- un homicide sans l'accord du patient (par arrêt de traitement de survie ou administration de substances médicales)
Et les catégorisations en euthanasie active, passive, ou indirecte sont non pertinentes car elles portent atteinte et violent un principe fondamental de toute démocratie : la liberté (voir les frontons des mairies françaises) .
Celle de libre disposition de son corps (esthétique, obsessionnelle, létale) .
Celle de pouvoir refuser un traitement médical visant uniquement la survie .
Celle de vivre ou de mourir selon son gré .
L'euthanasie ne peut et ne doit être confondue avec le devoir de protection des libertés, d'assistance à une personne dans une situation de désespoir, de malheur de vivre, de souffrance, souhaitant exercer sa liberté de mourir .
Principe fondamental qui ne nécessite aucune loi pour affirmer sa prévalence, la liberté de vivre selon son gré sans nuire à autrui est un principe aussi indissociable de son complémentaire la liberté de mourir selon sa volonté sans porter préjudice à autrui , que le jour de la nuit , le froid du chaud , la féminité de la masculinité .
A l'exemple du fils de Marie Humbert, Vincent, auteur en conscience, libre et éclairée, d'une prière écrite publiée sous forme de livre, ou adressée au président de la République où il déclare sa volonté d'exercer cette liberté .
Les gens d'armes signent lors de leur engagement un contrat faisant sans équivoque état de leur volonté d'imposer et de faire respecter leur choix d'exercer leur liberté de vivre et de mourir selon leur volonté .
Les candidats au suicide, les pratiquants de sports extrêmes, les personnes exerçant des métiers dangereux, par contrat tacite engagé avec la mort, sont confrontés quotidiennement aux aléas de leur choix de vie et de mort .
Et aucun tribunal n'a jamais inculpé un gradé, un responsable sportif ou professionnel, un tiers, suite à un événement où la mort exerce sa liberté de choix dans le cadre de ces engagements contractuels ou tacites .
Ou dans un domaine plus futile, poursuivi les auteurs ou acteurs de filmographie sanglante pour incitation à l'euthanasie par la représentation de scènes de crimes de guerre, crimes de génocide, crimes contre l'humanité .
Ni instruit tous les crimes de guerre, assistés par la force des canons, prescrits par l'état de droit, homicides, suicides, tortures, commis par intérêt démagogique, dictatorial, ou vénal sur d'innombrables territoires de l'humanité .
Quelle déchéance de la morale, de la vertu, du respect, dans ce pays, la France, où une mère, un médecin, empathiques, généreux, oblatifs, pour avoir voulu aider son enfant, un patient, tétraplégique, grabataire, en état de survie artificielle, à accéder à une des libertés inscrites dans ses gênes, est obligée de subir l'injure d'un procès injuste, en lieu et place de véritables tortionnaires, grands prédateurs des libertés, que la machine de propagande médiatique essaye de protéger, créant un faux débat entre euthanasie et droit de mourir .
Cet artifice de rhétorique est une insulte à l'intelligence, à la raison, à la réflexion, destiné à manipuler les esprits, abuser la crédulité du plus grand nombre par saturation médiatique, répétition ad nauseum de cet oxymore . Une dictature du non-sens à laquelle veulent se soustraire Mme Marie Vincent, le docteur Frédéric Chaussoy, auteurs de l'acte libérateur, et ceux qui les soutiennent . Mais surtout pas les médiatiques et autoproclamés sachants, journaliste, juriste, sociologue, philosophe, prédicateurs, prophètes, et autres sommités de référence d'individus immatures que le caractère inéluctable de la mort effraye ou d'associations prédatrices des libertés plaidant contre la volonté de leurs victimes la survie artificielle, une torture thérapeutique par prolongation du désespoir, des malheurs, des souffrances du patient soumis contre son gré à un acte de cruauté médicale .
Sauf à être drogué, comme Bernard Kouchner et ses semblables, accrocs à la cannabis . Fou dangereux, comme Nicolas Sarkozy, génial inventeur du délit de bohème, du délit de misère, du délit d'esclavagisme sexuel, du délit de cage d'escalier . Ou sénile comme Jacques Chirac résumant depuis 40 ans et plus la politique à la promotion de l’hygiène dentaire et la fraternité de la paume de main .
Quel être sensé souhaite jouir d'une vie d'éternel grabataire ?
La diffamation médiatique
Dans un état de droit injuste point de débat, seul compte la voix de son maitre .
" Ce drame, très médiatisé, a bouleversé l'opinion publique et relancé le débat sur l'euthanasie en France ............ "
Les dépêches de l'AFP ou de l'AP pour semer la confusion dans l'esprit de l'opinion public s'ingénient à représenter fallacieusement l'euthanasie comme un choix contraire à un inexistant, inconcevable, irréel, droit de mourir, un concept absurde . Un oxymore destiné à laisser croire que le président Chirac s'est refusé à signer une ordonnance d'euthanasie, c'est à dire une mise à mort sans le consentement de la victime, ce qui ne lui a jamais été demandé .
Docilement repris à saturation par les médias de complaisance ces communiqués attestent d'un profond mépris des principes fondamentaux d'une démocratie, d'égalité en droit, de respect des libertés, de pluralisme des opinions .
Prétendre devoir réformer la loi, exercer le droit, légiférer, ne sont que propos fallacieux, faux prétextes, mensonges par omission, repris par les médias d'un gouvernement et d'un état de droit chiraciste (raciste coupable de crimes contre l'humanité en Afrique) dont l'incompétence, l'atteinte aux libertés fondamentales, l'anti-démocratisme, sont soigneusement occultés par les médias de révérence dans l'intention de nuire et tenter de dissimuler la vérité .
Le même communiqué AP prétend " criminelle en l'état du droit " la responsabilité de tiers d'assumer leur devoir d'assistance à autrui mis dans l'incapacité d'agir et leur devoir de protection des libertés . Une telle présentation des faits relève de la diffamation, de la tentative manifeste d'obstruction à la révélation de la vérité, et dans la mesure où il est tenté de manipuler, convaincre l'opinion publique, de considérer Mme Humbert et le docteur Chaussoy comme des criminels, est établi l'intention de nuire par publications tendancieuses en vue de provoquer une erreur judiciaire .
L'imposture d'une compétence quasi-divine revendiquée par les disciples et aboyeurs du chiracisme sur la nécessité dans l'état actuel des connaissances humaines de légiférer sur la maitrise de la vie et de la mort, atteint les sommets de l'absurde, de l'incompétence, de l'irrationnel, d'un état de droit au service de l'injustice .
Dans le scandale politico-judiciaire de l'affaire Humbert point d'euthanasie, mais obstruction au devoir d'assistance, de protection des libertés, à la liberté individuelle de disposer librement de son corps (liée au don post-mortem de sa dépouille) , de mourir selon sa volonté . Point de drame, mais empathie, libération, oblativité, et sous la responsabilité de tiers ayant autorité, devenus tortionnaires par omission, obligation implicite de prolonger le calvaire de la victime .
2 / Le faux débat de la légalité ou de l'illégalité
(un principe fondamental de liberté ne nécessite aucune loi pour affirmer sa prévalence)
Contrairement aux insinuations sournoises des médias les mis-en-cause n'ont jamais eu l'intention de tuer, mais de faire cesser la cruauté des plus hautes autorités de l'état, et assister un tiers incapable d'agir à accomplir son voeu .
Mme Marie Humbert, trompée et influencée par des déclarations diffamatoires, pense et fait déclarer par "son avocat, Me Hugues Vigier, qui explique que sa cliente sait que son geste est répréhensible" prend le risque de sacrifier sa liberté, son honnêteté, sa dignité, à l'incompétence, la défaillance, la trahison, des autorités politiques et judiciaires .
Et déclare sa confiance dans la justice, un pari très aléatoire de nos jours .
Car nul ne peut dire, si le procureur prêt à poursuivre agences de presse et éditeurs pour diffamation, obstruction manifeste à la révélation de la vérité, tentative manifeste d'influencer, de manipuler l'opinion publique en vue de provoquer une erreur judiciaire par la publication d'informations fragmentaires, partiales, non contradictoires et l'usage de faux prétexte, oxymore, et mensonges par omission, est en poste sur le territoire français .
En parfaite harmonie avec la discrimination opérée par Nicolas Sarkozy pour réserver aux dictateurs euthanasistes africains un asile de luxe en France . Mr. Jean-Pierre Raffarin, premier ministre, lui, affirme que " la vie n'appartient pas aux politiques ". Une référence aux millions de morts en Afrique dont il partage la co-responsabilité ? Puis pour nous fait part de son ignorance des principes fondamentaux d'une démocratie, du droit, de la loi, ( pour un politicien chiraciste un ascenseur vers la duplicité ) se prononce contre une modification de la législation, inexistante en l'espèce . Etat de droit d'injustice ? Dans le scandale politico-judiciaire du procès Humbert, le problème posé n'est pas celui de protéger la survie, mais de juger des actes d'entrave manifeste à l'exercice prévalent de libertés individuelles, d'entrave manifeste à la révélation de la vérité, et par abstention, faux prétexte, omission, d'actes de tortures aggravés, imposés à autrui avec préméditation par personne ayant autorité (art. 222-1 CP et suiv.) .
D'ailleurs que dit la LOI
1 / Pas celle de l'AFP du 13 janvier 2004, 17h55 qui sans précaution annone doctement dans un communiqué une litanie fallacieuse dictée par le gouvernement au pouvoir qui nomme parmi ses fidèles le censeur de l'AFP . :
" une pratique assez répandue, criminelle en l'état du droit, même en cas d'accord de la famille et du patient, cette pratique constitue cependant un tabou et se dissimule souvent sous les vocables de "prise en charge de la douleur" et "d'accompagnement de la fin de vie ".
Les parlementaires trop occupés à voter en urgence des lois d'autoamnistie et d'intérêt politicien, le droit est inexistant en la matière, et absurde tout projet de loi désirant maitriser la vie ou la mort . Les codes de lois suffisamment encombrés par des textes superflus, baclés, anti-démocratiques, inutile d'y rappeler la prévalence d'un principe fondamental inscrit sur les frontons des mairies de la République .
2 / Ni celle des Pays-Bas, de la Suisse, de la Belgique, de l'Australie, prétendues par des communiqués tendancieux encadrer les pratiques d'euthanasie . Un autre oxymore puisqu'aucun de ces pays n'a jamais affirmé renoncer à lutter contre des euthanasistes de masse comme le sieur Jacques Chirac, pour avoir en Afrique encourager tortures, viols, enlèvements, cannibalisme, génocides, crimes contre l'humanité, sans consentement des victimes (voir l'expert FXV) .
3 / Ni celle de Me Hugues Vigier , avocat de Mme Humbert, qui déclare le 13 janvier 2004 à l'AFP avoir anticipé la mise en examen de sa cliente " car il existe des indices graves et concordants " .
Mais celle des principes fondamentaux et constitutionnels de notre démocratie
Par la multiplication de textes de lois superflus le droit français est devenu un fouillis d'oxymores et de contre-sens .
Il est donc utile de rappeler un principe essentiel en droit positif . Selon la règle de respect de la hiérarchie des normes les articles de lois extraits de la Déclaration des droits de l'Homme et du citoyen de 1789 (DDHC) et inscrits en préambule de la Constitution possèdent une valeur supérieure aux articles du code pénal en sens contraire .
Dans un état de droit d'injustice chiraciste ou règne l'absolution des crimes de corruption de ses prétendues élites, que l'on ne me reproche pas par faute ou incompétence d'autrui, d'énoncer en vue d'éviter de voir commettre une erreur judiciaire, des évidences constitutionnelles utiles à l'exercice de la JUSTICE, en lieu et place d'interprétations abusivement prétendues " légales " énoncées par nombre de chiracistes, écartant par opportunisme le rappel de cette règle impérative, et prompts encore une fois à détourner l'attention, manipuler et abuser l'opinion publique .
Art 4 / DDHC de 1789 / : " la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui "
En inculpant Mme Marie Humbert et Mr Frédéric Chaussoy la justice désigne-t-elle les personnes auxquelles l'exercice de ses libertés par le jeune Vincent Humbert a pu nuire ? Ou celles à qui l'appareil judiciaire souhaite nuire ?
Art 5 / DDHC de 1789 / : " La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société "
Expression de l'humour noir des aubes de magistrats et d'avocats, la justice vient de mettre en examen Mme Marie Humbert et Mr Frédéric Chaussoy dont les actes sont de ce fait publiquement reconnus plus nuisible à la société que ceux de Mrs Chirac, Mattei et autres, qui par omission ont prolongé le calvaire d'une victime pendant près d'un an .
" Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché "
En l'absence de tout texte de lois, de droit, de justice, défendant de porter assistance à un tiers dans l'incapacité d'agir et désireux de voir accomplir ses voeux, finir son calvaire . C'est à tort que des citoyens responsable face à leurs devoirs sont mis en examen en lieu et place des coupables de la prolongation des tortures de la victime .
Art 6 / DDHC de 1789 / : " la loi est l'expression de la volonté générale . Tout les citoyens ont droit de concourir personnellement à sa formation "
" Le 30 novembre 2002, depuis son lit d'hôpital à Berck-sur-Mer, Vincent Humbert avait écrit au président Jacques Chirac pour lui demander le droit de mourir. En vain, la loi française n'autorisant pas l'euthanasie . " (dépêche AP)
Une présentation tendancieuse des faits publiée dans l'unique intention de tenter de disculper le sieur Jacques Chirac .
En effet, il ne pouvait échapper à la sagacité de cet éminent personnage que le jeune homme s'était mal exprimé, et souhaitait lui demander de confirmer, dans un état de justice par opposition à un état de droit à l'injustice, le caractère non répréhensible du devoir d'assistance à personne incapable d'agir selon sa volonté, et la prévalence de ses libertés individuelles, fondamentales, démocratiques sur un texte de loi en état de nuire à leur exercice .
Assurés de n'être l'objet d'aucune poursuite grace à la complicité des plus hauts magistrats français, ayant prouvé leur docilité par le refus de faire application au sieur Chirac des principes d'égalité en droit de l'article
Art 7 / DDHC de 1789 /
" Tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance "
Pense fort justement, équitablement et légalement le juge Eric Halphen
En s'abstenant d'exercer le droit constitutionnel, républicain, souverain, attaché à l'art 6 / DDHC de 1789 / pour le moins les sieurs Jacques Chirac, Mattei ministre de la santé, ont clairement démontré leur intention coupable de voir prolonger les souffrances, le désespoir, les malheurs du jeune Vincent Humbert, victime de leurs agissements .
En s'abstenant d'exercer le droit constitutionnel, républicain, souverain, attaché à l'art 6 / DDHC de 1789 / pour le moins les sieurs Jacques Chirac, Mattei ministre de la santé, posent clairement le problème de savoir s'ils ont conscience comme tout citoyen français d'avoir des devoirs à remplir .
En s'abstenant d'exercer le droit constitutionnel, républicain, souverain, attaché à l'art 6 / DDHC de 1789 / pour le moins les sieurs Jacques Chirac, Mattei ministre de la santé, affirment leur volonté de trahir la confiance des Français en violant le droit, la loi, la justice .
Losqu'enfin on prend connaissance du chef d'accusation "empoisonnement avec préméditation" on est en devoir de se poser la question si le magistrat voyant dans les faits une quelconque " préméditation " à compétence pour assumer au nom du peuple souverain toute son autorité . En l'espèce le docteur Chaussoy oeuvre dans l'urgence sans intention de tuer mais de mettre fin au calvaire imposé à la victime par les plus haute autorités de l'état .
Et cela, il ne l'avait certainement pas prémédité .
Et ainsi de suite, .... dans un état de droit d'injustice la balance de la justice est sous l'influence de tares fluctuantes .
3 / Le faux débat de la responsabilité et de la culpabilité
La responsabilité attachée à la liberté d'agir selon sa volonté sans nuire à autrui
La responsabilité du décès du jeune Vincent Humbert repose sur sa volonté attestée, constante, individuelle .
Est-il utile, raisonnable, sensé, de penser comme le laisse sous- entendre les médias de complaisance et l'appareil judiciaire d'un état de droit à l'injustice que le jeune Vincent Humbert a cherché à nuire à son entourage ?
Coupables ! Meurtriers ! Assassins ! Des personnes agisantes de bonne foi dans le cadre de leur devoir de protection des libertés, et de leur obligation de porter assistance à une personne dans l'incapacité d'agir selon sa volonté ?
L'acharnement thérapeutique médical contre la volonté du patient est un acte de cruauté médicale stupide, inutile, pervers, et attentatoire aux libertés individuelles de disposer librement de son corps, de sa vie, de sa mort .
Dans de nombreux pays il est admis sans difficulté qu'un être humain puisse refuser un traitement médical qui ne sert qu'à prolonger sa survie, et l'assistance au décès d'un patient en phase terminale est considérée non répréhensible .
Mais non, par des médias serviles, de complaisance, de propagande, de révérence, d'un gouvernement chiraciste .
La culpabilité du sieur Jacques Chirac
Par abstention, faux prétexte, omission, les sieurs Jacques Chirac et autres font obstruction à l'exercice de libertés individuelles fondamentales ( liberté de choix thérapeutique, libre disposition de son corps, liberté de mourir selon sa volonté ), au devoir des équipes médicales de libérer une vie de souffrances devenues intolérables . Et obligent les thérapeutes à se muer en bourreaux, à pratiquer des actes de cruauté médicale par l'usage d'outils et de traitement de maintien en survie artificielle, sans l'accord et contre la volonté des patients, à fin de prolonger leur calvaire .
Coupable d'actes de tortures aggravées commis avec préméditation par personne ayant autorité
Les faits .
Le triste sieur Jacques Chirac, dans le cadre des pouvoirs qu'en tant que hors-la-justice il usurpe, sur un faux prétexte d'illégalité a refusé de rassurer l'entourage d'un patient sur le fait que l'assistance à une personne mise dans l'incapacité d'agir et désirant exercer ses libertés n'est pas un acte répréhensible, et relève du devoir citoyen .
Par abstention, faux prétexte, omission, à imposer à l'entourage de poursuivre contre l'accord de la jeune victime les soins de survie, et fait d'un acte d'acharnement thérapeutique en survie artificielle, un acte de cruauté médicale .
La responsabilité flagrante, médiatisée, publique, de la prolongation du martyr du jeune Vincent Humbert du 30 novembre 2002 au 26 septembre 2003 repose donc essentiellement sur le sieur Jacques Chirac .
Le droit .
La jurisprudence de la CEDHLF définit l'acte de torture par "l'intensité des souffrances infligées" et l'art. 1 de la convention contre la torture adoptée à New-York le 10 décembre 1984 déclare : "tout acte par lequel une douleur ou des souffrances aigues physiques ou morales sont intentionnellement infligées à une personne" .
Leur combinaison déterminent incontestablement au sens de l'art. 222-1 du Code Pénal la culpabilité du sieur Chirac et autres pour actes de tortures aggravées commis avec préméditation par personnes ayant autorité (art 222-1 CP) .
Dans de telles circonstances Mme Humbert à tort de faire confiance à la justice, et Mr Chaussoy à tort d'être confiant en un appareil judiciaire coupable d'avoir au préalable usé de manoeuvres contraires aux principes les plus fondamentaux d'une démocratie pour permettre à un hors-la-justice d'accéder par fraude à la tête de l'état et d'échapper une nouvelle fois dans ce nouveau scandale à une inculpation alors que sa responsabilité est flagrante, de notoriété publique, et sa culpabilité déterminée par les textes de lois en vigueur .
On souhaite que Mme Humbert comprenne rapidement qu'elle a tort de penser que son geste est répréhensible, comme l'affirme lundi 12 janvier 2004, 17h42 à Boulogne-sur-mer à l'Associated Press. son avocat Me Hugues Vigier .
Et qu'ensemble avec le Docteur Chaussoy, ils réalisent rapidement avec ou sans l'aide du ministère d'avocat leur droit de voir inculper le ou les tortionnaires, coupable par omission d'avoir prolongé souffrances, désespoir, tortures .
Puis réclament à l'état et aux médias dommages et intérêts pour procès abusif, diffamation publique, ...... .
Comment justifier ces mises-en-cause sans soullier les frontons des mairies ?
Aulieu d'inculper les sieurs Jacques Chirac, et autres, coupable d'actes de tortures aggravées commis avec préméditation par personnes ayant autorité (art 222-1 CP) , pour avoir refusé de signer une simple lettre déclarant l'assistance d'un tiers à un patient dépourvu de la capacité d'agir selon sa volonté, non répréhensible . La justice s'en prend à ceux responsables d'avoir accompli leur devoir d'assistance et de protection des libertés .
Le chef d'état coupable de non-assistance à personne en malheur de vie et par abstention, faux prétexte, omission, d'un acte de torture mentale, physique, psychique, pour avoir volontairement, inutilement, contre sa volonté, prolongé les souffrances d'un tétraplégique, muet, presque sourd et aveugle .
Les plus hautes instances de l'appareil judiciaire français, pontificat de l'état d'injustice, cherchent une nouvelle fois à éviter l'inculpation, l'arrestation, la condamnation, d'un corrompu, d'un hors-la-justice, euthanasiste de masse en Afrique, et assurent ainsi la promotion de son incompétence politique, de la part occulte, raciste de sa personnalité .
Et les veules plumitifs de révérence de la corruptocratie (aristocratie de la corruption détenant tous les pouvoirs en France) s'ingénient à semer la confusion dans les esprits afin de protéger ce monstre d'inhumanité .
Le système judiciaire français, appareil de répression au service d'un état de droit d'injustice et d'une autorité antidémocratique, discriminatoire, ségrégationniste, réaffirme là son soutien à un Vénérable Grand Maitre des corrompus et des corrupteurs, et euthanasiistes de masse, dont les actes sont souillures pour les frontons de nos mairies par ses nombreux parjures aux idéaux affichés .
Liberté
Pour les crimes contre l'humanité dont il est complice en Afrique . Par son refus d'accorder aux citoyens la liberté de disposer de leurs corps, de leur vie, de leur mort . Par obstruction manifeste à la liberté d'exercice d'une justice indépendante et impartiale . Par obstruction manifeste à la liberté d'expression du pluralisme d'opinion .
Egalité
Coupable de privation criminelle d'égalité devant le choix des soins thérapeutiques, devant la vie, devant la mort . Violeur du principe " NUL N'EST AUDESSUS DE LA LOI " d'égalité en droit (Traité de Paris 1990 - projet de loi 1005) .
Fraternité
Son obstruction manifeste à l'exercice des libertés individuelles à obliger l'entourage de sa victime, confronté au quotidien au supplice, au désespoir, aux souffrances du patient, à endosser contre son gré le rôle de bourreaux dans l'obligation de contraindre le citoyen Vincent Humbert à poursuivre contre sa volonté son calvaire . Usant et abusant d'un prétexte absurde, mensonger, liberticide, de respect du droit, inexistant en l'espèce, le sieur Jacques Chirac, pour justifier un acte liberticide et prémédité de torture, ordonne à ses médias complices, de diviser artificiellement l'opinion publique par une sournoise substitution de culpabilité . Un stratagème digne de son apostolat de destruction au sein de l'humanité de tout respect des actes, des attitudes, des liens, de générosité, de fraternité, de solidarité .
Cette prolongation de la torture psychique, physique, sociale, imposée au citoyen Vincent Humbert par le sieur Jacques Chirac est un épisode de plus du scandale politico-judiciaire de l'impunité de la plus haute autorité de l'état .
Favorisée par la pleutrerie de citoyens majeurs et électeurs, tolérant la gouverne de ce pays par un marabout raciste à la tête d'une secte chiraciste : l'U.M.P. (Union des Menteurs Professionnels) disciples des fausses vérités, des fausses promesses, des mensonges de médiatiques mercenaires à la solde d'un gouvernement incompétent, corrompu, et complice en Afrique de crime contre l'humanité comme l'affirme l'expert de la Francafrique (FXV) .
Citoyens coupables de trahison du devoir de mémoire à l'égard de leurs aieux, au sacrifice de leur vie, fondateurs en ce pays d'un état de respect des principes prévalents en toute démocratie de liberté, d'égalité et de fraternité .
En conclusion
Il est sollicité du tribunal :
Sur le motif de la violation des principes les plus prévalents, fondamentaux, essentiels, de toute démocratie .
Accorder à l'encontre de la partie adverse pour obstruction manifeste à la révélation de la vérité, usage criminel de leur autorité, influence, pouvoir, pour se soustraire à une inculpation pour actes de cruauté mentales et physiques, pour manipulation perverse de l'opinion publique par un usage surabondant de médias à leurs bottes, pour avoir provoquer des mises-en-cause injustes, contraignant le concluant à intervenir bénévolement pour empêcher la réalisation d'une erreur judiciaire, pour soutenir les efforts du concluant dans l'aide aux victimes d'un état de droit à l'injustice, compenser le temps utile, les frais, les souffrances du stress du à l'exaspération de devoir toujours et encore affronter depuis 10 ans les mêmes criminels, protégés par une justice de classe très indulgente pour les Intouchables et très injuste pour les Injusticiables . Une somme raisonnable rapportée à celles détournées et gaspillées par les mêmes (près de 100 Mds d'euros par an pour les gouvernements chiracistes - plus de 30 M d'euros rien que pour l'élection présidentielle de 1995 ) au titre des dommages et intérêts à minima 300 000 euros .
Accorder à l'encontre des médias de complaisance coupables de diffamation, d'obstruction manifeste à la révélation de la vérité, de tentative manifeste d'influencer, de manipuler l'opinion publique par la publication d'informations fragmentaires, préjudiciables, liberticides, et l'usage de faux prétexte, oxymore, et mensonges par omission, en vue de provoquer une erreur judiciaire, au titre des dommages et intérêts, à minima 300 000 euros .
Accorder au profit du réseau Humanisme Démocratie Justice dans l'obligation de mettre toute son industrie au service d'autrui afin d'éviter une erreur judiciaire, pour obstruction manifeste, défaut de soutien à son activité de lutte contre l'injustice judiciaire, la corruption politicienne, au titre des dommages et intérêts à minima 300 000 euros .
Ordonner en référé au bénéfice du droit de réponse, et dans le respect des droits d'auteur, à fin de faire cesser cette manipulation chiraciste de l'opinion publique, publication gratuite en lieu et place des articles incriminés et sur tout instrument médiatique coupable de complicité de tentative de manipulation de l'opinion publique, de l'intégralité de ce mémoire, ou de déclarations extraites de ce mémoire ( selon les règles propres au droit de réponse ) disculpant madame Marie Humbert et le docteur Frédéric Chaussoy, et désignant les coupables d'entrave manifeste à l'exercice prévalent de libertés individuelles, d'entrave manifeste à la révélation de la vérité, et par abstention, faux prétexte, omission, d'actes de tortures aggravés, imposés à autrui avec préméditation par personne ayant autorité .
Ordonner en l'espèce, levée de tout chef d'inculpation à l'encontre des mis-en-cause Humbert et Chaussoy .
Ordonner l'inculpation des coupables, d'entrave manifeste à l'exercice prévalent de libertés individuelles, d'entrave manifeste à la révélation de la vérité, et d'actes de tortures aggravés, imposés à autrui avec préméditation par personne ayant autorité .
Accorder au profit de dame Marie Humbert et du docteur Frédéric Chaussoy, obligation de dédommagement à l'encontre des parties adverses, de l'état pour mises-en-examen abusive, et des médias pour diffamation, publication de faux prétexte, oxymore, mensonge par omission, en vue de nuire et provoquer une erreur judiciaire .
Accorder au titre de l’art. 700 , 3000 euros .
Condamner les parties adverses aux entiers frais et dépens . Afférents, préalables, consécutifs.
Faire droit à l’ensemble des écritures. Quitte à parfaire sur conclusions et pièces inaccessibles ce jour.
Et sous toutes réserves .
Honorablement votre,
Le 23 janvier 2004
Duringer Gérard -
Responsable du réseau Humanisme Démocratie Justice - Association de droit local domiciliée en 1995 près la mairie d'URMATT – 67280 – France
Adresses des pages internet de publication de ce mémoire à fin de lecture publique .
1 ) http://www.oocities.org/reseauhdj/humbert
2 ) http://www.oocities.org/infinieinjustice/humbert
3 ) sites miroirs .
Réseau Humanisme Démocratie Justice
Association de droit local domiciliée en 1995 près la mairie d'URMATT – 67280 – France
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