choisis, traduits et annotés par Claude Dandréa
Presse (page en préparation).
GEORGE GORDON BYRON (Lord) Porté aux nues par les écrivains du dix-neuvième siècle qui voyaient en lui le type même du poète maudit, Byron (1788-1824) a subi au vingtième siècle un long purgatoire avant d’être reconnu comme une personnalité de premier plan. Après les traductions en prose du siècle dernier qui, malgré leur mérite, n’offraient qu’un pâle reflet du texte original, on redécouvre aujourd’hui toute la virtuosité d’un poète qui jongle avec les rimes et les rythmes et qui demandait donc à être traduit en vers.
Cette édition, publiée par nous en 1998, mais rapidement épuisée, a été remarquée par la qualité de la traduction. Elle reparaît ici augmentée de La prophétie de Dante.
Claude Dandréa enseigne la langue anglaise depuis 35 ans. Il a déjà publié des traductions de Christopher Marlowe (Héro et Léandre collection Orphée aux éditions de La Différence, 1989), Alfred Tennyson (Le rêve d’Akbar, La Différence) John Keats (Sur l’aile du Phénix, José Corti, 1996).
Il s’apprête à publier une anthologie de Shelley et un choix de sonnets de la poétesse américaine Edna St. Vincent Millay. Il a collaboré également à la grande anthologie de poésie anglaise parue dans la Pléiade.
Septembre 2009.
Ce choix de poèmes n’a d’autre ambition que de donner une meilleure idée de ses œuvres les plus célèbres. On y retrouvera des poèmes de circonstance qui transcendent l’anecdote autobiographique, des morceaux de bravoure qui ont fait la réputation de Childe Harold et de Don Juan, sans oublier cet hymmne vibrant à la liberté qu’est Le Prisonnier de Chillon, et, pour finir, la dernière tirade de Marino Faliero, drame peu connu en France et suprême hommage de Byron à la Venise de son imagination.
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