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Pour ou contre la peine de mort?

Faux débat!
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Un prisonnier, sidéen, réclame notre compassion: sa lettre ouverte
suivi de celle de Fadela Amara, présidente de Ni Putes ni soumises

Je prends en exemple cette lettre ci-dessous de prisonnier publiée dans le Nouvel Observateur parce que j'ai l'impression qu'elle illustre bien les difficultés de la condition carcérale. Par contre, -et c'est là la faiblesse de ces désidératas- elle démontre également, par sa revendication morale, le désintérêt, ou l'ignorance, pour la misère générale qui accable les gens désavantagés de nos démocraties en dehors des prisons ; le tout écrit dans un manque quasi complet d'humilité. Pour eux, l'idéal du prisonnier serait de mourir paisiblement et en bonne santé la nuit dans son lit. En plus d'être ironique, en faisant appel au comble de la morale et de la justice, cette lettre de prisonnier fait fi de façon flagrante de nos préoccupations sociales, en dehors des prisons, qui sont tout aussi alarmantes, rendant ainsi ce genre de propos déplacés et incohérents.
séropositif détenu
Laurent Jacqua, séropositif, détenu depuis 1984, auteur de "La guillotine carcérale", écrit le premier blog de prisonnier depuis sa cellule de la maison centrale de Poissy

Cette photo, signée par l’auteur de cette lettre, Laurent JACQUA, provient de son site Web à la fin de sa lettre

Dessin de Laurent Jacqua: le pendu sidéen

Sida en prison: doit-on mourir au fond d’une cellule?

JACQUA: Je fais partie des 500 derniers sidéens qui croupissent encore dans les prisons françaises. Tous les autres sont morts par manque de soins, dans l’indifférence et l’inhumanité carcé-rale. Comment a-t-on pu laisser faire cela dans une démocratie?

 

Comment a-t-on pu, durant vingt-cinq ans, laisser mourir des malades du sida au fond de cachots froids et insalubres?

 

Je vous écris suite à la parution dans le «Nouvel Observateur » de l’appel des 200 personnalités dénonçant le problème carcéral. Je suis heureux de constater que le sort des prisonniers ne vous est pas indifférent. Il est important de se mobi-liser car l’heure est grave. En effet, le gouverne-ment a décidé de restreindre la loi Kouchner relative à la suspension de peine pour les pri-sonniers en fin de vie. Il était déjà intolérable d’attendre les derniers jours avant la mort pour une libération, voilà maintenant que l’on nous retire tout espoir d’être libérés. On ne peut ni accepter ni tolérer ce retour en arrière, cette ap-plication déguisée de la peine de mort.

 

 

Oui, nous avons commis des délits et des cri-mes, et nous avons été condamnés pour cela, mais lorsque la maladie touche un détenu, c’est une peine supplémentaire à laquelle il n’a pas été condamné qui s’ajoute à la souffrance de l’enfermement.

 

 

Doit-on subir l’agonie et mou-rir au fond d’une cellule pour expier nos fau-tes? On ne combat pas une injustice faite aux victimes par une autre injustice faite aux condamnés, sinon ce n’est pas de la justice mais de la vengeance.

 

La maladie progresse chaque jour en chacun de nous, nous rapprochant un peu plus de la mort. Alors il faut agir avant qu’il ne soit trop tard.

 

Les milliers de malades incarcérés n’attendent qu’un peu d’humanité et de dignité pour finir leurs jours. Si personne ne fait rien, les adeptes du tout-sécuritaire et de la ré-pression absurde auront gagné et, grâce à la modification de la loi et à la dureté des condi-tions de détention, nous allons rapidement dis-paraître : on aura ainsi éliminé le problème du sida dans les prisons!

L. JACQUA, centrale de Moulins-Yzeure (Nouvel Obs 11 janv. 2006)
http://blogs.nouvelobs.com/Laurent_Jacqua/index.php

Akiles, l'auteur de ce site web
Réponse: Quelle est donc cette idée de la démocratie qui aurait les vertus d"éliminer les injustices? Savez-vous ce que ce que représente un schysophrène, un autiste, un handicapé pour leur famille, surtout lorsqu'il n'ont pas de moyens? Et là, on ne parle pas de truands et de criminel!
Réponse: Il est vrai qu'étant dans une situation difficile, vous ne voyez pas ce qui se passe avec les sidéens dans les zones pauvres de nos démocraties?

 
Réponse: Il y a, évidemment, un problème quelque part, moral et éthique: il faudrait donc assumer les dépenses de réinsértion pour des ex-criminels qui ont vécu une grand partie de leur vie en prison. La question que je me pose c'est jusqu'à quel point les citoyens pauvres, malades et défavorisés bénéficient des avantages que les prisonniers réclament? Pis: Y a-t-il des moyens pour aider tout le monde ou y a-t-il des priorités?
Réponse: Ah! Et moi qui pensait que l'enferment n'était que l'aspect le moins difficile poue un prisonnier, considérant que les sévices de toutes sortes peuvent les assaillir sans toujours une grande préoccupation par les gardiens: les prisons ont aussi des loies non-dites.
Réponse: Surtout pas de vengeance, s'écrie le coupable! N'est-ce pas qu'ils peuvent avoir un sens aigu de la justice quand ils la voient par la perception de leurs souffrances?
Réponse: Waouh! Trop tard pour quoi? Pour qui? Comment se fait-il que soudainement la mort devienne une terreur? Vous sembliez raisonner en philosophe et là vous vous rebellez contre le crime même qui vous a conduit en prison: la mort de vos pairs ou son infortune.

Faux débat!

« Le problème n’est pas de transformer telle ou telle institution,
expliquait une "nouveau philosophe" en 1977. Le problème est
d’en finir radicalement avec le fait qu’il y ait des institutions. »
Tout un programme, en partie inspiré de l’œuvre de Michel Foucault,
déroulait ainsi sa logique : rétablir la spontanéité de la folie derrière
les murs de l’asile ; retrouver la fièvre généreuse de la délinquance
étouffée par le système carcéral ; restaurer la fraîcheur du désir
sous les interdits sexuels.

Michel
Lacroix, Le fabuleux destin des baby-boomers

Ces Terminator qui font insulte à la démocratie



Fadela Amara,
présidente de Ni Putes ni soumises


L’année 2005 s’est achevée me laissant pleine d’amertume, de tristesse et de colère ! Arnold Schwarzenegger a refusé de gracier StanleyWilliams, connu dans les rues du ghetto tentaculaire de South Central sous l’identité de Tookie. Ex-gang member, il croupissait depuis des années dans le quartier des condamnés à mort de la prison de St Quentin, en Californie. Ironie du sort, l’ex-gangster tatoué, body-buildé avait posé au côté de Schwarzie pour un magazine de culturisme en 1970. Accusé d’un quadruple homicide, cru-cifié par un jury totalement caucasien, Tookie représente à lui seul le cauche-mar américain, celui des balles perdues, des gosses braqueurs, du dieu crack, des prisons contrôlées par les gangs, des avenues cancéreuses, des palmiers asthmatiques écrasés par un soleil mortifère. Une injection létale a mis chimiquement fin à l’existence mouvementée d’un homme qui s’était racheté: prêchant la bonne parole aux écoliers, l’homme avait troqué son automatique 9 millimètres contre un micro, avec lequel il braquait souvent les auditeurs, à la radio, pour réveiller les consciences, pour stopper une guerre des rues fratricide qui avait lieu non pas dans le golfe, mais à une demi-heure de Beverly Hills. Le gouverneur, qui se fit connaître du monde entier en trucidant des flics avec de gros flingues, n’a donc pas passé ce fameux coup de fil qui aurait pu sauver la peau de l’ex-gangster. Les Etats-Unis nous avaient habitués à des Noêls bien pins lumineux! Gageons qu’ils sauront se ressaisir et ne plus suivre ces Terminator d’humanité qui font insulte à la démocratie.
Nouvel Obs 11 janv. 2006

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Prisonnier enfin jugé! et acquitté. . . anonnce la présidente à Antoine Cossu et son collègue, redoutables bandits qui ont déjà fait vingt ans de prison. C'est tout juste si elle n'essuie pas une larme. réconciliation cahin-caha. Photo akiles Cossu se dit enfin réconcilié avec la justice. Tout le monde est heureux. Pendant les débats, les policiers venus témoigner à charge appellent affectueusement Antoine Cossu par son petit nom. Tony par-ci, Tony par-là. Les jurés sourient, soulagés d'avoir fait leur devoir: ils ont blanchi deux héros de film noir. En fait, il y avait plus de mal que de tord: il y a vingt ans, ils ont failli dévaliser une banque, un gros coup qui a mal tourné. La cour était en possession de toutes les preuves permettant de les condamner mais elle a préféré correctionnaliser le délit et faire ainsi jouer la presciption. . .
On devine chez les Niçois le regret que la chambre forte de l'agence BNP-Masséna n'ait pas été vidée de ses millions.

 


«ces Terminator d’humanité qui font insulte à la démocratie

On en n'est plus à une insulte près, démocratiquement, Madame Amara. D’ailleurs, d'après les théoriciens, l'insulte ferait partie intégrante de la conscience démocratique. Les débats entre politiciens suffisent à nous en convaincre. En outre, toute cette culture frise souvent la farce. À mon avis, si cela ne dépendait que de la démocratie, le sort des condamnés à mort serait impitoyablement horrible.

Pour vous l'exprimer différemment, il y a quelques jours, j’ai interrogé des personnes au hasard et je leur demandais s’ils étaient pour ou contre la peine de mort? Pour les aider à comprendre le sens de ma singulière démarche, je leur racontais une histoire vraie, un cas extrême, lue dans un magazine. Car la peine de mort en question, précisais-je pour rendre la décision plus facile, ne devait s’appliquer que pour les cas extrêmes, style Saddam Hussein et autres sadiques. En ce qui concerne mon exemple, le type avait tué 33 enfants et les avaient découpés en morceaux. Je rappelle que je suis au Canada. J’ai donc posé la question à 60 personnes.

44 étaient pour ; 9 contre ; 7 indécises.

Les femmes étaient plus enclines à la vengeance, en tout cas, à la peine de mort. Voilà pour l'insulte démocratique. D’ailleurs, il suffit d’étudier l’histoire pour réaliser que ce ne sont pas là des affaires à mettre entre les mains du peuple.

Ce qui est risible ce sont les notions destructives que la démocratie défend becs et ongles contre le bon sens le plus élémentaire. Celles des libertés tous azimuts revendiquées par exemple par la plupart des intellectuels et les baby-boomers, d'autrefois; elles requièrent un système financier (et capitaliste) toujours plus carnivore pour les maintenir à flots et dont l'État serait, évidemment, la vache à lait. En effet, notre responsabilité, minimisée au maximum en tant que société face à ces libertés, a conduit à des conséquences désastreuses les pratiques sexuelles, industrielles et écologiques, sans parler de la relation cannibale qu'on entretient avec les animaux, du junk-food, la nourriture empoisonnée dont les masses font grande consommation, de l'alcool et du tabac qui tuent à petit feu les citoyens et qui -aujourd'hui- du fait de la désagrégation généralisée de notre état de santé, obligent nos gouvernements à puiser inlassablement dans les ressources dont nous étions si fiers et que l'on destinait à la postérité.

L'amère réalité nous a rattrapés. D'abord, cet argent dont on a tous besoin pour de nombreuses causes se fait de plus en plus rare et son usage approprié sera l'indice de notre conscience civilisatrice. Mais comment ne pas s'interroger sur la culture qui nous a menés à ce constat pénible et dont on nourrit un si grand attachement? Comme vous le remarquez si bien, Fadela Amara, «Le gouverneur, "Schwarzie", comme vous l'appelez, se fit connaître du monde entier en trucidant des flics avec de gros flingues». Ayant fait ce constat, vous n'en prenez pas note sur le plan culturel qui a déifié impudemment les protagonistes meurtriers, sauvages et immoraux des révoltes, comme Sade, Rimbault ou Dali pour fonder l'éducation de nos jeunes. Bref, Mme Amara, le problème #1 n'est pas celui de la condamnation à mort; on pourrait encore l'éviter puisque la tendance s'affirme de plus en plus à travers le monde sous la pression des Droits de l’homme. Ce que vous négligez de nous expliquer ici, et ailleurs, comme tous les partisans contre la peine de mort, c'est le plan pratique qui nous permettrait de disposer des condamnés à mort sans faire de leur condition le comble de la compassion.

Mon essai

Rimbaud prisonnierLa semaine dernière, les Etats-Unis abolissaient la peine de mort pour les jeunes de moins de 17 ans ! C’est Albert Camus et Arthur Koestler qui seraient transportés d’une joie indicible à cette nouvelle. Ils avaient écrit, en collaboration, un excellent ouvrage intitulé ‘Réflexion sur la peine capitale’. Mais ils n’ont pas fait que l’écrire, ils ont sué sang et eau pour abolir la peine de mort partout dans le monde. Ce qui est étrange, c’est qu’ici, au Canada, lorsque je demande aux gens que je rencontre, une personne sur trente sera contre. Parmi eux, il y en a bien quelques uns qui hésitent mais pour mieux se prononcer lorsque je leur brosse un petit scénario. Ils répondent alors sans ambages –pour. Paradoxalement, nous sommes dans un pays démocratique où la peine de mort est un châtiment inhumain qui fait parti du passé. N’est-ce pas étrange? J’avais écrit lorsque les Américains ont capturé Saddam : qu’on le pende, immédiatement, haut et court !

L'essai en question:

Quelle est donc ma solution à l'incurie du système judiciaire si l'obtention de fonds gouvernementaux n’en est pas une? Car peut-on en toute honnêteté parler de priorité lorsque la désolation qui afflige les personnes âgées et vivant de plus en plus dans des conditions d'isolement ou de pauvreté scandaleuses est si criarde? Combien d'autres programmes plus urgents que celui des prisons ne devrait-on pas s'occuper en premier? Ne peut-on pas donner aux détenus le moyen de subvenir à leurs besoins? D’aucun s’indignait de la qualité de la nourriture! Vous me faites rire! Tout comme ce journaliste qui s’est rendu en Irak et à qui on demandait de témoigner sur les conditions de vie et les malheurs du peuple irakien en tant de guerre. Savez-vous ce qu’il a répondu ? «Imaginez, il fait 45 degrès et ils n’ont pas l’air climatisé!» Mais M. le journaliste, 95% de la population irakienne n’utilise pas l’air climatisé, et cela depuis des millénaires! Vous tombez dans le complexe de l’ethnologue, qui voit le monde selon ses critères subjectifs.

Mais admettons. Le réflexe, d’après certains, est d'obligé les gouvernements à augmenter le revenu consacré à la cuisine dans les prisons. Quelle originalité! Mais pourquoi donc les prisonniers ne cultiveraient-ils pas leurs propres légumes et céréales, n’élèveraient-ils pas leurs animaux de fermes? Cela nécessiterait des gardiens pour les surveiller et les coût n’en seraient que plus chers? Mais les gardiens peuvent très bien être formés parmi les prisonniers eux-mêmes! N'est-ce pas ainsi que les nazis s'y prenaient dans les camps de la morts, ces horribles lieux? On s'est rendu compte, malheureusement, que les prisonniers pouvaient être aussi efficaces que leurs geôliers; que si carte blanche leur était donnée, ils pouvaient être plus royalistes que le roi.

Il manque de cuisiniers, de psychologues, d'infirmiers, mais qu'on les forme parmi la gent carcérale!

Non, il vaut mieux que ce soit l'État qui débourse! Quel bon sens! Avec le coût de la vie et les crimes qui augmentent de façon dramatique, on n'imagine pas de solution plus adéquate que de taper les citoyens. On choisit de faire appel au système capitaliste de gros sous, moins compliqué à court terme, irresponsable en dernière analyse et qui mène droit dans le mur. Votre monde carcéral ressemble encore au système d’exploitation de l'industrie moderne qui pour se développer tuait tout autour d'elle, hommes, rivières et forêt -pour le fric. Et qui s'en mettait plein les poches d'une façon ou d'une autre? l'État. Le comble de la justice : c'est envers ce même État que vous rêvez de recourir! Et vous parlez de bon sens! D'amour! Votre foi de charbonnier c'est du business. Votre rapport avec les prisonniers, sous couvert de compassion, même si vous en êtes innocemment ignorant, c’est du business. Des histoires de jobs, de syndic, de salaires. Mes amis, les prisonniers peuvent construire eux-mêmes leurs prisons. Et les entretenir. Ils le feront gratuitement au pire. C'est ainsi que vous leur rendrez leur dignité : en les responsabilisant.

Mais non, un homme, pour vous, qui a tué, violé ou brûlé reste un homme comme les autres. Qu'il purge sa peine, dérisoire le plus souvent, et renvoyons-le parmi nous. À vous entendre, sa seule faute est de s’être fait attraper. Alain Juppé possède un casier judiciaire est le rend persona non grata au Canada, mais les autorités ont décidé de faire fi de ses crimes et de l’accueillir comme professeur distingué! Quel exemple de société nous offre-t-on là!

prisssssssssssssssssssson - 2003, Montréal-

 

Et vous gagez sur le gouvernement pour vous sortir du pétrin!
Vous n'êtes pas sérieux. .
.

Algérie, le prix de l'oubli, 1992-2005,
par Souad Belhaddad.
terrorisme en Algérie. Commentaires par Nébia Bendjebbour. «Le pardon, ça ne se décrète pas.» L'auteur s'en prend à un pouvoir qui ne tient pas compte de la douleur d'un peuple, victime d'une guerre civile sauvage, violente et aveugle qui a laissé derrière elle des massacres sans nom. Ce pouvoir leur demande de pardonner, de vivre aux côtés des assassins. Tourner ainsi la page d'une histoire sanglante sans reconnaître les victimes, sans donner de réponses aux familles des disparus, c'est nier leur mémoire, voir celle d'un peuple.

 

5000 morts sur les routes dus au René Lêvesque, ancien président du Canada: une cigarette toutes les deux minutes.ravage causé par l'alcool.

Et le nombre d'Alcooltests positif a augmenter de 41% en 2005. Mais le gouvernement français accordait aux professionnels de la filière viticole un droit de regard obligatoire sur toutes les campagnes de prévention et des futurs projets de textes législatifs sur la lutte contre l'alcoolisme.


Et vous vous imaginez que c'est l'État qui va régler vos problèmes!

    Les enfants d'aujourd'hui. Terribles! À trois ans, L'Institut national de la Santé et de la Recherche médicale (Inserm) les décrit méchants, violents en actes ou en paroles, désobéissants, s'opposant obstinément aux adultes, colériques, agressifs, menteurs, fraudeurs, voleurs. . . Bref, ce que sont beaucoup de petits enfants à un stade de leur développement. (Ak: Ah, bon!?!) Normalement, ça passe à l'âge de trois ans. Le problème, disent les cherchers en question c'est que cela ne passe pas toujours. Donc il faut soigner, et le plus tôt possible. «Nous avons la conviction qu'il faut accompagner le plus tôt possible ces enfants en difficulté. Nos prisons sont pleines de gens qui n'ont pas été suivis, accompagnés quand il était temps.»
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