LA CONFERENCE DE MONTRÉAL
Ginette Provost
9 mai 2001
La septième édition de la conférence de montréal s’est déroulé d’une façon parfaite. Beaucoup de fébrilité était présente surtout lors de l’arrivée du président des Etats-Unis du Mexique monsieur Vincente Fox. Des journalistes provenant de toute l’Amérique Latine étaient présent et bien que quelques-uns uns aient questionné le président sur le Chiapas, monsieur Fox a toujours insisté lors de ses réponses sur le fait que son gouvernement tentait de maintenir l’ordre dans un cadre légal. Il a affirmé que les Zapatistes étaient considérés comme des criminels et que ceci était séparé du Chipas. Il a également souligné qu’il était pour l’inclusion des minorités et que ceci devait être étudié en détail.
Il était pour moi difficile de suivre toute les plénières qui la plupart du temps se déroulaient de façon simultanée, mais j’ai tenté de saisir les thèmes qui semblaient être d’une importance capitale pour la plupart des conférenciers. Tout d’abord la protection des cultures et des valeurs fondamentales de chaque peuples, puis la protection du patrimoine historique, il a mentionné qu’il existait plus de 5,000 sites historiques et que seulement 500 d’entre eux étaient accessibles.
Des ententes importantes ont été annoncées, tout d’abord la signature de l’entrée des «caisses populaires Desjardins » au Mexique. On sait que la population mexicaine souffre d’un accès au crédit.
Le président Fox a également mentionné que le taux de chomage était maintenant négligeable et que pour la première fois le Mexique pourra enrayer la pauvreté de plus de 1 million de pauvres.
Mais il ne faut pas oublier la présence du ministre Pettigrew lors d’un diner officiel qui était grandement attendu, l’on connaît le travail énorme que le ministre fait pour la promotion du libre échange des Amériques.
En conclusion la conférence remplit un besoin primordial en ce qui concerne la diffusion d’événements d’importance que ce soit à un niveau politique ou économique.
