Un journal réalisé pour les Liégeois défavorisés: Ouvrez-les-Yeux!, réalisé par et pour des citoyens précarisés.

dernière mise à jour: 28 décembre 2006 ouvrez les yeux n°5, été 2005     page 3
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    ACTUALITE


    Ouvrez les yeux - été 2005 -   page 3

    Centres d'accueil: mais KESKINVAPAS ?

    Aussi vrai qu'un carré est un rectangle, mais qu'un rectangle n'est pas un carré, l'entente cordiale ne règne pas toujours entre «bénévoles» et «utilisateurs» des différents centres d'accueil..
    Le nôtre n'y échappe pas, hélas...
    Dire Bonjour, Au revoir et Merci (avec le sourire, cela renforce le zygomatique) à des personnes généralement plus âgée que nous, cela relève, à mon sens, de la élémentaire des politesses!
    D'autant plus qu'ELLES se dérangent, présentant de tables en tables des petits déjeûners, se chargeant de débarrasser au fur et à mesure, les tasses et autres verres abandonnés à la sauvette, quand elles ne se chargent pas de passer la serpillière après un accident.
    De même, elles confectionnent en permanence et en fonction du nombre (toujours croissant, sans jeu de mots) de visiteurs, des sandwiches au fromage blanc, à la confiture, parfois à la... viande. Là, premier sujet de polémique pour certains: «Y' A PAS D'PORC, Là-DEDANS? » (avé le ton ad-hoc). Réponse généralement: « Non! Mais si vous en doutez, prenez du fromage ou de la confiture... De toutes manières, des gâteaux suivront ». Point ! C'est sans réplique.
    Chercher la petite bête.
    Mais cela a été beaucoup plus loin. Un particulier narquois dont il vaut mieux préserver l'anonymat, a prétendu tout-sourire, avoir trouvé la notice « 60% graisse de porc » sur l'emballage d'un cervelas au poulet provenant d'un colis.

    Malveillance, accident ou coup monté? On ne le saura probablement jamais. Ce qui est évident, c'est que la Banque alimentaire, principal « dealer » des produits distribués dans des organismes tels que le nôtre, se trouve elle-même confrontée à ce dilemme et s'emploie justement à ne distribuer que très peu de produits porcins. Les goûts et les couleurs... Certes, cet exemple trouve sa connotation dans le cas d'une personne qui tient à respecter scrupuleusement les règles philosophiques du « Coran ». C'est son droit le plus strict. Personne n'a le droit ni l'intention de critiquer sa position. Par contre, si cette même personne, dans le seul souci de vouloir semer la zizanie, engendre une information fausse, la communique -comme on ourdit un complot- à quinze de ses corellégionnaires en insistant lourdement sur ce point que cela pourrait leur arriver à eux AUSSI, on en arrive très vite aux noms d'oiseaux, à la révolte, aux coups!
    C'est là un cas extrême. Heureusement pas trop fréquent.


    Splish-splash blues
    Dans un tout autre domaine, certains  se plaignent d'être victimes de discrimination raciale ou de favoritisme au lavoir (Fontaine, je ne boirai pas de ton eau...)
    Là, en principe tout utilisateur a le droit de déposer une valise de linge sale pour le retrouver un peu plus tard dûment lavé et repassé. Reste à savoir comment il l'a présenté, et   [...]

    Scénario: une valise TRÈS douteuse, voire un emballage improvisé. Jusque là çà passe. Mais un amalgame de guenilles qui ont traînées dans la boue, voire remplies de « m... », le tout ponctué d'un «Tiens, les voilà mes fringues, il me les faut de suite. Et qu'ça saute». Là on pressent l'inexorable dérive. Grossièreté, vulgarité (et parfois même vols) sont l'apanage de quelques individus qui discréditent leur entourage, quand ils ne DETEIGNENT pas sur quelques-uns!


    Les chiens? Holà!
    Autre fâcheuse habitude qu'ont des passants imprudents, chargés de bonnes intentions (c'est pire quand ils sont simplement BOURRÉS), est de vouloir absolument approcher l'un ou l'autre chien, attaché à la façade. Pour des raisons évidentes d'hygiène, les animaux sont interdits dans l'immeuble. Mais très logiquement, une bête attachée a des réactions imprévisibles. Un certain timbre de voix, un geste brusque, une main inconnue, peuvent l'exciter, le mettre dans tous ses états. Même s'ils n'ont pas été élevés ou éduqués en ce sens, certains représentants de la race canine ne supportent pas les uniformes. Quels qu'ils soient. Demandez à un facteur s'il se risque à caresser un cabot qu'il ne connaît pas? Certes la muselière devrait être d'application. Certains sont « rigoureusement POUR », d'autres« catégoriquement CONTRE ». Reste à les départager...






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