COMITÉ D'ACTION DE RCI Pour la défense de Radio Canada International – La Voix du Canada dans le monde |
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Les propos de Sheila Copps, Ministre du Patrimoine canadien, sur RCI min_copps@pch.gc.ca SVP Faites-nous parvenir une copie de tous courriels de soutien que vous enverrez à d'autres à l'adresse: rci@yahoo.ca Communiqué, Patrimoine canadien, le 26 février 1998: «RCI est un fier ambassadeur du Canada dans le monde entier depuis 53 ans. Grâce à cet investissement dans son infrastructure, RCI continuera d'offrir un service de qualité et viable», a déclaré la ministre Copps. «Notre décision de maintenir RCI fait suite au vaste appui manifesté par le public à l'égard de notre voix à l'étranger, de notre radiodiffuseur international, a indiqué Mme Copps. Pour concrétiser cette décision stratégique, RCI doit être dotée des outils dont elle a besoin afin de diffuser la voix du Canada.» Site web, Patrimoine canadien, 2 mai 2001: En vertu de la Loi sur la radiodiffusion, la Société Radio-Canada doit fournir un service de radiodiffusion international. Cette responsabilité est confiée à Radio Canada International, pour laquelle la SRC reçoit 15,52 millions de dollars annuellement. EXTRAITS DES PROPOS DE LA MINISTRE SHEILA COPPS ENTREVUE, 3 MAI 2001, RCI: Radio Canada International aura un financement accru, de plus de quinze millions. C'est sûr que --et vous vous souvenez très bien quand Radio-Canada a failli fermer-- c'est pas suffisant à long terme, mais on a une politique de travailler avec Radio-Canada et Radio Canada International pour avoir une voix internationale plus développée… Ce qu'on veut, c'est que Radio Canada International prenne une partie plus importante dans le développement de la programmation. Et on veut aussi, dans le monde de la convergence, qu'on n'oublie pas que la grande majorité des citoyens dans le monde n'ont pas d'ordinateurs, et n'ont même pas de liens-ordinateurs. Et tant et aussi longtemps qu'il n'y a pas ces liens-là, la voix de la radio est importante… Ce qu'on veut, c'est que vous travailliez, en partenariat avec Radio-Canada, avec un vrai mandat international, parce que ce que nous avons confronté, cinq ans passés, c'est que Radio-Canada ne voulait plus rien à voir au niveau international Et nous, on se disait, comme gouvernement: on est partenariat avec TV-5. Comment ça se fait qu'avec TV-5, on est capable de couvrir les cinquante pays de la francophonie, alors que Radio Canada International --qui est là depuis belle lurette-- n'est pas appuyée? Il y a quelque chose là-bas qui ne marche pas, et on veut qu'on marche en coopération. Et c'est le message que nous avons livré à Radio-Canada: on veut le partenariat, on veut la coopération, parce qu'on ne peut pas vivre seuls dans un monde de plus en plus interconnecté. Entrevue anglaise |