L'année 1998 tire à sa fin!!!

Joyeux Noël et Bonne Nouvelle Année!!!

  • Éditorial
  • Des amis en bleu
  • Grendel
  • Le plan de sensibilisation
  • Le lipsync
  • Power Cheerleading
  • Manque d'enthousiasme à l'ESDC
  • Question de la semaine
  • Humouroscope
  • Critique de musique
  • Critique de film
  • La plume enchanteresse
  • Page divertissante

    Éditorial

    par Natalie Robichaud
    L'école, comme nous le savons déjà, n'a pas l'air d'un «palais de merveilles». Les jeunes le disent assez souvent, alors je me demande pourquoi il y en a qui vont faire des folies en arrière de l'école avec leurs automobiles. C'est dangereux et ça donne vraiment une mauvaise apparence à notre école. Ce vandalisme combiné avec les déchets partout dans la cour de l'école lui donne l'air d'une porcherie. Chaque année, c'est la même chose. Comme un rodéo dans la boue, le spectacle est monté pour tous. Le fait que c'est la propriété de l'école ne nous accorde pas le droit de la détruire. En plus, je dois dire que l'écriture sur les murs, les casiers et dans les toilettes, ce n'est pas trop chic non plus. C'est inutile. C'est notre école et c'est notre responsabilité d'en assurer la propreté.

    Des amis en bleu

    par Gaston Saulnier
    Saviez-vous qu’un membre de la GRC vient à notre école toutes les semaines? Mercredi dernier, j’ai eu le plaisir de m’entretenir avec la policière Nancy Martin pour discuter le but de ses visites hebdomadaires. En effet, ces rencontres ne sont pas uniques à notre école. Des membres de la GRC visitent fréquemment toutes les écoles secondaires du CSAP. «Nous sommes ici pour répondre à des questions que les élèves ont par rapport à la loi, donner de l’avis et des conseils ainsi qu’aider les élèves qui s’intéressent à cette profession. Nous ne sommes pas ici pour jeter tout le monde en prison mais plutôt pour aider les élèves avec leurs problèmes» a dit Mme Martin en ajoutant, «Et, c’est strictement confidentiel.» Elle a aussi souligné le fait qu’il y a un problème de drogue très grave à notre école et a lancé un petit rappel aux élèves qu’il y a des répercussions draconiennes pour ceux et celles qui se font arrêter en possession de drogue. Mme Martin espère aller de classe en classe au mois de janvier pour élaborer sur ces sujets. Donc, si d’ici là vous avez des questions à lui poser, inscrivez-les sur un morceau de papier ou rendez-lui visite au bureau de M. Turbide tous les mercredis midis. Je vous assure que vous trouverez de vrai(e)s ami(e)s en ces hommes et femmes de la loi.

    ***Grendel***

    Le groupe Grendel, composé de Logan Lombard (voix et guitare), Jean-Daniel Comeau (guitare), Adam Hankinson (basse et voix) et Luke Maillet (batterie) se préparent pour enregistrer un démo la semaine prochaine. On leur souhaits de la chance!

    Le plan de sensibilisation

    par Gaston Saulnier
    Ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion de discuter de notre culture acadienne avec des Franco-ontariens. Le mardi 8 décembre, les élèves de la 7e à la 10e année ont assisté à la présentation sur le plan de sensibilisation. Cette activité, très bien animée par Mme Judith Charest et son équipe dynamique ( en tout quatre jeunes de l’Ontario), avait pour but de sensibiliser les élèves à l’importance du français, leur faire vivre une expérience positive en français, discuter de leurs préoccupations et de leurs visions de l’école ainsi que de leur faire prendre conscience des avantages d’une école acadienne. Le point culminant de la session était sans doute lorsque «Capitaine Acadie» (Ryan Doucette) est sorti vainqueur parmi tous les antagonistes du français et a réussi à nous ramener à la fierté d’être Acadiens. Mme Charest et son équipe sont présentement en tournée dans les écoles du CSAP grâce aux efforts remarquables et l’amour de la culture acadienne de l’agent culturel du conseil, M. Léo Landry. Merci pour cet après-midi extraordinaire!!

    Le lipsync

    par Yvette Comeau Le jeudi 19 novembre, plusieurs se sont rendus au gymnase de l’ESDC pour assister à une soirée excitante et divertissante, le lipsync. Ce spectacle, organisé par le comité de l’annuaire ‘98, avait de quoi plaire à tous les goûts: des numéros très comiques, et d’autres plus sérieux. Il y avait même un numéro de chorégraphie. N’oublions pas de mentionner les étudiants d’art dramatique qui ont contribué grandement à ce lipsync, en ajoutant plusieurs courtes pièces très comiques. Chaque groupe démontra ses talents et la décision du gagnant fut prise par les juges, Mme Nancy Deveau, Mme Loretta Blin, et Mme Adèle LeBlanc. Le troisième prix fut accordé à «Charlie Brown» et le deuxième prix à “Grandma got run over by a reindeer”. Le premier prix fut mérité par le groupe “Rootbeer and Licorish”, une chorégraphie. Les spectateurs se sont bien amusés ainsi que les élèves qui ont participé au lipsync ‘98.

    "Power Cheerleading"

    par Lyette Boucher
    Cette année, un nouveau sport vient de voir le jour à notre école, celui du «power cheerleading». Ce sport exige beaucoup de force et de souplesse car parmi les techniques figurent des actes d’acrobatie et de gymnastique. Ce sport peut se diviser en deux catégories: l’encouragement et la gymnastique. Environ une vingtaine d’étudiants enthousiastes se sont présentés pour former cette équipe. Même s’il y a beaucoup plus de filles que de gars, les élèves semblent vraiment aimer ce sport et espèrent pouvoir montrer leurs divers talents lors d’un événement parascolaire comme à une partie de ballon-panier. M. Greg Doucette, membre d’une équipe semblable lors de son séjour à Acadia, s’occupe de l’entraînement des étudiants intéressés. Pendant un an et demi au sein de cette équipe, il a eu la chance d’encourager son équipe de ballon-panier à de nombreuses occasions telles que le championnat C.I.A.U. Basketball. Si vous désirez joindre l’équipe, vous pouvez contacter M. Greg Doucette. Nous lui souhaitons de la chance et du succès!

    Manque d’enthousiasme à l’ESDC

    par Pamela Maher
    Récemment, un des sujets de discussion communs aux réunions du conseil étudiant est le manque d’esprit scolaire à notre école. Le conseil a observé l’assiduité des étudiants aux spectacles organisés par l’école ainsi que la participation aux activités telles les danses et le carnaval. Ils ont découvert que ni les étudiants ni les enseignants soutiennent notre école. Quelques étudiants pensent que tout se répète, que les activités sont toutes les mêmes. D’autres pensent qu’ils sont forcés de participer aux activités. D’une manière ou d’une autre, il semble que la fierté pour la culture acadienne diminue de plus en plus, malgré les efforts pour la conserver. Nous voulons une école pleine d’esprit scolaire mais pour y arriver, le conseil étudiant a besoin de votre aide. Amber Germain et Joël Samson répondent au sujet de l’esprit scolaire : «Nous sommes frustrés par le manque d’enthousiasme et de participation aux activités scolaires. Étant membres du conseil, cela nous frustre que les étudiants et les enseignants ne possèdent aucun intérêt auprès des activités organisées.» Dites alors vos suggestions à votre président(e) de classe, à Amber ou à Joël, ou à une personne capable de communiquer vos souhaits au conseil. Et faites-le avec enthousiasme!

    Question de la semaine:

    Qu’est-ce que vous pensez de l’esprit scolaire?

  • *Moi-même, j’essaie d’appuyer les finissants le plus possible quand je suis disponible. Il me semble que les enseignants pourraient montrer un peu plus d’enthousiasme dans les activités scolaires pour démontrer la bonne exemple aux étudiants.
    -Adam Hankinson

    *Je pense que les enseignants donnent un bon montant de participation. Les élèves participent jusqu’à un certain point, mais il y en a qui ne participent pas.
    -Josiane Boucher

    *Il me semble qu’on voit pas grand personne qu’ap- puient nos prélèvements de fonds. Les élèves se plaignent que l’école est insuffisante. Si tout le monde, les étudiants en plus des enseignants, montrait un peu plus de support envers ces activités, on en profiterait plus.
    -Lise Comeau

    HUMOUROSCOPE

    par Alice Robichaud

    Critique de musique

    par Julite d'Entremont

    Critique de films

    par Aimée Deveau-Cassidy

    La plume enchanteresse:

    Il faisait mauvais temps cette soirée-là, car c’était la première chute de neige de l’année. Je marchais lentement à travers la forêt quand, tout à coup, je sentis un tas de pommes dans une ouverture à ma droite. Puisque les dangers potentiels étaient si nombreux, je me dirigeais vers cette ouverture sans relâcher ma vigilance, même pendant une seconde. N’ayant pas goûté une saveur si agréable depuis longtemps, je mangeais, un après l’autre, ces fruits délicieux qui semblaient apparaître tout d’un coup. Soudainement, j’aperçus une lumière vive qui venait d’une cime d’arbre et qui m’éclairait directement. Je paniquais et craignais les événements à venir, car je n’avais que cinq ans et n’étais, par conséquent, pas prête à mourir. Peu de temps après, j’entendis le bruit si redouté. En une fraction de seconde, je recevais une balle entre mes yeux. À l’instant même, je ne voyais que du noir et ne pouvais même plus me supporter. Maudits humains! par Denise Sullivan

    Ils nous ont questionnés par centaines pour choisir ceux qu’ils estimaient être à la hauteur du programme. Nous ignorions que ce programme avait pour but d’enfermer 53 personnes dans une chambre cubique spacieuse n’ayant à consommer qu’elles-mêmes et à boire que leur propre lait. Semble-t-il qu’un certain baron est curieux de savoir combien longtemps nous saurons subsister. Présentement, c’est la période d’adaptation, après laquelle nous serons relâchés dans nos cellules pour jouir de notre vie normale pendant 40 jours. Débutera l’expérience réelle le 27 janvier. Depuis la semaine dernière, nous, les femmes, recevons des pilules d’hormone de prolactine pour activer la lactation. La première fois que Valice but son lait, elle vomit. Je dois admettre que c’est une expérience quelque peu nauséeuse. Bientôt, ils nous nourriront des corps de ceux qu’ils jugeaient trop émotifs pour le programme, d’abord morts, puis vivants et à nous de les tuer. Quand sera venu le temps de la véritable expérience, ils nous mettront dans une nouvelle chambre, propre. Il y a à peine deux semaines que nous sommes ici et déjà les matières fécales et la vomissure s’accumulent considérablement dans les coins. C’est curieux d’observer comme les gens choisissent toujours inconsciemment les coins pour y faire leurs besoins. par Monelle Comeau


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