48 heures avec les Backstreet Boys




Pour les lecteurs de 7 Jours, Sonia Benezra raconte, en exclusivité, la fantastique aventure
qu'elle a vécue en compagnie du groupe de l'heure, les Backstreet Boys.

Quelle aventure extraordinaire! Franchement, je pense qu'une multitude de jeunes filles et même de jeunes gars, vont être ravis en apprenant que j'ai eu la chance d'accompagner, pas à pas, tous le long de leur séjour chez nous, ces fameux Backstreet Boys, qui ont cassé la baraque au Colisée de Québec et au Centre Molson, à Montréal, au lendemain du jour de l'an. Nick, Howie, Brian, AJ et Kevin ont réussi à faire la une des grands quotidiens, qui ont reconnu d'emblée une véritable «backstreet-mania», un grand délire collectif. Le Colisée et le Centre Molson ont failli s'écrouler sous les cris, les hurlements et les crises de larmes, tellement l'émotion était intense. Les cinq jeunes chanteurs de la Floride ont littéralement envouté les jeunes du Québec (on parle d'une assistance de 13000 ados au Centre Molson) avec leur musique, leur charme et leur image de jeunes boys qui jurent de ne jamais briser le coeur des filles (I'll Never Break Your Heart).

Eh bien, figurez-vous que moi, j'étais à leur côtés tous ce temps-là! Je ne les ai pratiquement pas lâché d'une semelle. Dès leur arrivée à l'aéroport de Québec jusqu'à leur départ pour la Floride, j'ai pu les accompagner partout: à leur hôtel (jusque dans leur chambres!), dans les coulisses et même sur scène, puisque j'ai eu le grand plaisir de présenter leur show au Colisée de Québec. C'est formidable! Je vous raconte presque tous ce qui s'est passé... Le reste, vous pourrez le découvrir en regardant l'émission «Spécial Benezra», à TQS, le 26 janvier prochain.

À l'aéroport: la folie furieuse!
Je dois d'abord vous dire que je suis allée rencontrer le groupe de chanteurs à l'aéroport de Québec avec mon équipe de
production et accompagnée de quatre jeunes filles, dont Élizabeth Blouin-Brathwaite et sa demi-soeur, Mylène. Elles
ont toutes entre 11 et 13 ans. C'était important pour moi d'avoir le pouls véritable, l'émotion des jeunes qui adorent
les Backstreet Boys. Elles étaient aux oiseaux!

À l'aéroprt de Québec, c'était la folie furieuse! Il y avait des centaines de jeunes (surtout des filles, mais aussi de très
jeunes garçons entre 8 et 11 ans). Tout le monde trépignait d'impatience. Quand la foule m'a vue arriver, tout le
monde a compris immédiatement que j'étais là pour accueillir les Backstreet Boys, que j'allais leur parler, les toucher,
et l'excitation a décuplé... C'était affolant! Ça m'a beaucoup rappelé la folie qui existait autour du groupe New Kids on
the Block (c'est moi qui étais allée les interviewer au Stade Olympique). C'était cette même hystérie mêlée de
désespérance: il y avait des grosses larmes et une émotion à couper au couteau. Et les Boys n'étaient pas encore
arrivés! Un peu partout, des parents accompagnaient leurs jeunes avec patience et compréhension; c'était très
attendrissant... Les filles avaient apporté des cadeaux: des fleurs, des toutous en peluche, des lettres. Certaines d'entre
elles avaient inscrit sur leur front, leur bras ou leur t-shirt le nom de leur Boy préféré. Celui de Nick apparaissait le
plus souvent... C'était quelque chose à voir, c'était cute!

Pendant qu'on attendait, j'ai demandé aux filles dans la foule pourquoi elles aimaient tant les Backstreet Boys. Et la
réponse qui revenait le plus souvent, c'était: «Parce qu'ils sont beaux, parce qu'ils sont bons, parce qu'ils sont fins. Ils
sont adorables , ils sont les meilleurs, ils chantent bien. Ils nous comprennent , ils sont sexy, ils nous font rêver.»
Plusieurs fans ne parlent pas l'anglais, mais ils connaissent pourtant toutes les paroles des chansons par coeur. C'est
vraiment la chose la plus cute du monde! Si j'avais une petite fille de 12 ans, je serais contente qu'elle aime les
Backstreet Boys, car ils sont clean sans être niaiseux. Ils ont des opinions, des choses à dire.

Après plusieurs «fausses entrées» qui soulevaient des cris à faire trembler l'aéroport (heureusement, j'avais avalé des
Tylenol avant de commencer le reportage!), après avoir laissé débarquer tous les autres passagers, on m'a enfin invitée
à monter dans l'avion avec mon équipe de production et les caméras pour rencontrer les trois Backstreet Boys qui
arrivaient de Floride: Nick, Howie et A.J. Les deux autres, Brian et Kevin (ils sont cousins), devaient rappliquer
quelques heures plus tard en provenance du Kentucky, où ils avaient assister à des célébrations familiales pour Noël.

J'ai tout d'abord rencontré Nick, le plus jeune du groupe (il aura bientôt 17 ans), un très beau garçon blond, très grand,
charmant. Je comprends qu'ils puisse provoquer chez les très jeunes filles un élan de folie... Puis j'ai parlé à A.J., le
plus flyé du groupe, le plus audacieux. Il a vraiment l'attitude du jeune aventurier qui ne craint pas d'affronter le
danger. Il est brave! Puis je me suis entretenue avec Howie, qui est, à mon goût, le plus sensible et le plus émerveillé
du groupe. Son côté mi-espagnol, mi-irlandais lui confère un charme tout à fait particulier. Il est très sweet,
super-intéressant en entrevue, très cute; il a vraiment quelque chose de particulier dans les yeux... et il est
indéniablement le plus chaleureux du groupe.

Ils étaient tous trois accompagnés de leur gérant, Donna Wright, et de Denise McLean, la mère de A.J., qui s'occupe
du groupe depuis le début. Denise voyage partout avec les boys et les assiste sur tous les plans. C'est une femme très
gentille qui a élevé A.J. toute seule, sans son mari (il a quitté le foyer familial très tôt), et qui est en quelques sorte
l'ange gardien du groupe.

La foule espérait au plus haut point parler au boys, les toucher à leur descente d'avion. Mais, comme il n'y avait qu'un
seul garde du corps pour les accompagner (le deuxième devait escorter Kevin et Brian, qui arrivaient par un autre
avion), les chanteurs ont décidé de ne pas traverser la foule et de passer... derrière la vitre, qui formait un écran. Ils ont
juste esquissé des bye-bye de la main et ils ont filé! Mon Dieu! que les filles étaient déçues! Il y en avaient qui
pleuraient à chaudes larmes. Finalement, plusieurs d'entre elles ont décidé de me confier leurs lettres et leurs toutous
pour que je les offre au boys de leurs part. J'ai tout pris et j'ai tout remis au chanteurs. Ils étaient très contents. Mais
c'est évident qu'à ce stade de leur carrière, ils ont déjà l'habitude des cadeaux: ils en reçoivent beaucoup. Je ne sais pas
ce qu'ils font avec toutes ces choses, mais c'est le mère de A.J., Denise, qui a la responsabilité des lettres et des
cadeaux.

Dans l'intimité de leurs chambres d'hôtel!
Le même jour, à l'hôtel Concorde de Québec, où ils logeaient, la gérante des Backstreet Boys, Donna Wright, nous a
prêté sa suite de deux étage pour nous permettre d'interviewer en toute intimité trois des jeunes stars du groupe. Kevin
et Brian sont arrivés de l'aéroport plus tard, et ils étaient fatigués. On a donc remis leur entrevue au lendemain, ce qui
m'a permis de passer plusieurs heures dans leurs chambres respectives et même de réaliser quelques photos exclusive
(fort intimes) avec tout le groupe pour le magasine 7 JOURS. Pour les besoins de la cause, je me suis rerouvée sur
un lit avec cinq beaux jeunes hommes... J'ai déjà véçu pire! J'en connais qui vont me haïr et mourir de jalousie, mais
que voulez-vous? Ce n'est pas de ma faute, c'est le métier qui veut ça! De toute façon, les boys ont été très, très
corrects, très respectueux et réservés, sans humour déplacé ou quoi que ce soit. Au contraire, ils ont parlé très
sérieusement d'amour et de sujets actuels très importants comme la drogue, le sida, la religion, la famille, qui sont les
grandes centres d'intérêt de leur vie et de tous les adolescents du monde, en ce moment.

Il fallait maintenant passer à la grande étape du show, qu'ils présentaient le soir même au Colisée de Québec, avant
d'envahir (le lendemain) la scène du Centre Molson. Mes heures de coeur à coeur avec les beaux Backstreet Boys
s'achevaient pour faire place à l'excitation, à la fébrilité et à la fascination du spectacle. Même quand on s'est rerouvé à
Montréal, le lendemain, à l'étage de leur suite du Marriott-Château Champlain pour regarder ensemble les photos
prises à Québec, c'était dans un climat absolument hallucinant. Toute une cohorte d'agent de sécurité était en poste,
pendant qu'une équipe de télé américaine filmait le groupe. Des fans s'étaient infiltrés jusque dans les escaliers de
l'hôtel et réclamaient les boys à hauts cris... Des centaines de jeunes filles attendaient depuis 12 heures à la porte de
l'hôtel. On n'avait pas vu ça depuis les New Kids on the Block!

Le 22 mars prochain, les Backstreet Boys reviennent en supplémantaires au Colisée de Québec et au Centre Molson de
Montréal. Mais tout est déjà sold out, et de petites filles en larmes qui n'ont pu obtenir de billet s'enferment dans leur
chambre au grand désespoir de leurs parents. Il s'agit vraiment d'un phénomène bouleversant! Loin de trouver ces
déchaînement dérisoires, je trouve ça très touchant, émouvant. Moi, dans mon adolescence, je n'ai jamais ressenti une
telle passion pour un chanteur on pour un groupe. Et, d'une certaine façon, je trouve ça dommage...

La leçon de français au Capitole
Le jour même où ils présentaient leur show au Colisée de Québec, les Backstreet Boys ont exprimé le désir
d'apprendre quelques phrases de français pour ajouter encore au charme (si c'est possible) de leur performance. J'étais
certainement la personne la mieux placée pour jouer le rôle du prof de français, puisque c'est moi qui devait les
présenter sur scène, ce soir là. On a donc convenu qu'ils viendraient me rejoindre à mon hôtel (non, je ne dormais pas
dans le même hôtel qu'eux), c'est-à-dire au Capitole. Quand ils ont vu le décor et la salle de spectacle, ils ont été
émerveillés! Alors j'ai décidé de leur donner leur leçon de français dans les escaliers au tapis rouge du Capitole. Ils se
sont assis là comme des écoliers bien sages et, avec l'aide d'Élizabeth et de Mylène, je leur ai appris quelques mots,
qielques phrases à dire au début... et à la fin du spectacle. Puis j'ai traduit en français le titre de quelques-unes de leurs
chansons. Ils ont dû répéter plusieurs fois après moi avant d'attraper un accent suffisament correct pour prononcer «Je
ne briserai jamais ton coeur»... Ils ont fait de très beaux efforts... et plusieurs gaffes! C'était vraiment quelque chose,
et c'était charmant! Puis tout à coup dans l'escalier, comme ça, sans musiciens, a cappella, ils se sont mis à chanter
I'll Never Break Your Heart... C'était fantastique!

Je dois dire que Brian est celui qui a le plus de facilité à s'exprimer en français. Howie n'est pas mal non plus. Il a fait
des blagues très cutes sur la façon que nous avons, au Québec, de prononcer son prénom. On prononce «Awie» en
escamotant le H et en transformant un peu le O en A. Ce qui fait quelque chose comme «Ah oui?» Alors, tous les
autres gars l'ont taquiné pour le restant de la journée en l'appelant «Ah oui?» Et Howie a aussi appris à prononcer le
mot «poutine»... le pire, c'est qu'après ça il voulait absolument en manger! Ils étaient tous adorables.

Et le soir, juste avant d'entrer sur scène, au Colisée, Kevin a écrit des mots français sur sa main pour pouvoir les
prononcer correctement durant le spectacle. Et toutes les phrases que je leur ai enseignées dans l'escalier, ils les ont
toutes refilées, quelques part, durant leur show. C'est charmant, non?

Portrait des Boys
J'ai pensé qu'il serait intéressant de rencontrer les boys un par un pour découvrir un aspect de leur personnalité qui ne
nous a pas été dévoilé jusqu'ici. Dans leur vidéoclips, on entend quelques commentaires, mais on n'a jamais
l'impression de connaître la pensée, le coeur de ces jeunes gars-là. Dans les entrevues en groupe, ils se renvoient la
balle, font des blagues,... ils sont amusants, mais moi, je voulais fouiller un peu plus loin et savoir QUI ils étaient,
individuellement.

A.J.: L'audacieux
Alexander James McLean est le plus fou, le plus audacieux de la gang. Il transporte toujours avec lui une collection de
ses D.C. préférés. On a l'impression qu'il doit bouger sans arrêt, qu'il doit s'activer à quelque chose. Il se promène tout
le temps. Dans un même souffle, il dit qu'il prend toute sorte de vitamines, qu'il veut engraisser et qu'il aime le
chocolat aussi bien que le junk food.
Cette entrevue est importante parce que A.J. parle aussi de son éducation monoparentale. Il a grandi seul avec sa mère
et il a le sentiment d'avoir été abandonné par son père. J'ai voulu parler de ce sujet avec lui parce qu'il y a beaucoup de
jeunes, aujourd'hui, qui vivent dans une famille monoparentale et il est important de leur donner des exemples de
personnes qui ont réussi aussi bien que les enfants élevés par leur deux parents. A.J. et moi avons parlé du rôle de son
père, qu'il vient de revoir après une absence de 10 ans. Cette situation-là n'est pas étrangère au fait que sa mère a tenu
à l'accompagner partout avec le groupe. C'est extraordinaire de voir l'amour, l'attention que cette mère accorde à son
jeune garçon. Elle a vraiment encouragé ses rêves et elle cherche à lui donner confiance, sans prendre trop de place.
Elle regarde A.J. avec une fierté extrême; elle espère pour lui une carrière au cinéma.
A.J. m'a parlé aussi de son expérience à la scène, au théatre, et de son amour pour la poésie et pour Shakespeare. C'est
super qu'un gars puisse faire en même temps du rap et se passionner pour Shakespeare! A.J. m'a aussi parler de sa
façon de voir les femmes, de son attitude envers elles; dans le futur,il se voit marié et père de famille. C'est un jeune
homme absolument passionnant.

Nick: Un grand timide
J'ai parlé avec Nick... en regardant la télévision! Eh oui! D'abord, parce qu'il est un grand mordu de télé. Et aussi parce
qu'il était très nerveux. Il me l'a avoué après l'entrevue. Je le regardais... il me regardais dans les yeux... et, tout à
coup, il regardait par terre; surtout au début, il bafouillait, il cherchait ses mots. Il a l'habitude de répondre aux
questions avec tout le groupe. Tout à coup, il se sentait seul, sans l'appui de sa gang. Il a finalement reconnu qu'il
cachait bien une très grande sensibilité.
Il n'avait que 14 ans et demi quand il s'est joint au groupe; il est le plus jeune de la bande. À la maison, dans sa
famille, c'est tout le contraire: il est l'aîné de cinq enfants. C'est tout à fait l'inverse pour Kevin, qui, avec ses 25 ans,
est l'aîné des Boys; à la maison, par contre, il est le plus jeune de trois enfants. On a parlé de ce changement de rôles
dans l'entrevue, et ç'a été intéressant. Comme Nick est le plus grand (de taille) dans le groupe, on s'attend à ce qu'il
soit plus fonceur, plus sûr de lui, mais il est encore très jeune, et il parle beaucoup de l'importance de sa famille. Il
est vraiment très charmant.

Kevin: Le plus sérieux
Dans leur album, tous les gars remercient le bon Dieu! Et Kevin ajoute qu'il dédie l'album à la mémoire de son père.
Kevin a été très affecté par la maladie (cancer) et la mort de son père en 1991. Il me parle beaucoup du rôle de son père
dans sa vie, de la difficulté à vivre le grand départ de quelqu'un d'aussi important. Il y a beaucoup d'adolescents qui
doivent affronter cette dure réalité etqui ne savent pas comment traverser l'épreuve. Le témoignage de Kevin peut aider
beaucoup de jeunes, je pense.
Kevin traverse une période plus sombre que les autres boys. Il est très beau garçon, mais il est celui qui sourit le
moins, et qui, selon les autres boys, s'inquiète le plus. Il faut dire aussi qu'il a 25 ans. Il est plus conscient de tout ce
qu'il est en train de vivre, et il se pardonne plus difficilement une gaffe. Il se sent un peu responsable du groupe.
Kevin a aussi un frère aîné qui travaille comme mannequin. Et, probablement à cause de ça, il est très exigeant sur le
plan de l'esthétique. C'est lui qui donne son appréciation sur les photos et tout. Il envisage aussi avec beaucoup de
lucidité toutes les issues possibles pour lui dans l'éventualité où il devrait cesser de faire de la musique. Il est vraiment
très sérieux.

Howie: Le plus généreux
Avec Howie, j'ai parlé d'une multitude de choses. Il vient d'une grande famille extrêmement religieuse. Même si les
autres boys vont à l'église et chantent dans des chorales, ils conviennent tous que c'est Howie qui est le plus religieux
de tout le groupe. Alors, j'ai parlé avec lui de l'importance de la religion, de Dieu,et de ce que les rites religieux
signifiaient pour lui.
Puis on a parlé de ses rêves, de ce qu'il aimerait faire plus tard. Il est agréable de parler avec Howie parce que ce n'est
pas une personne réservée. Il est très ouvert, très généreux. Généreux, c'est vraiment le mot qui convient à sa
personnalité. Il est très conscient qu'il est en train de vivre une grande aventure, quelque chose qui n'arrive pas souvent
dans une vie. Une autre chose que j'ai beaucoup aimée, chez Howie, c'est qu'il est curieux. Il aime poser des questions,
et il s'intéresse à tout ce qui se passe autour de lui.

Brian: Le joker
C'est le plus drôle, le plus ouvert, le plus amusant de la gang. Il est adorable. C'est le p'tit dernier de la formation. Il
vivait encore dans le Kentucky (alors que les autres étaient en Floride) quand les Backstreet Boys ont voulu trouver un
cinquième membre. Il lui ont fait passer une audition... et il s'est amené à Orlando! Brian a raconté comment il a vécu
tout ce brouhaha, le départ de son école, la séparation d'avec sa famille et tout.
Il adore Jim Carrey et lui-même a un grand talent au chapitre des blagues absurdes et des grimances marrantes. Il adore
rire, il a des yeux pétillants, en amandes et très bleus. Très attaché à sa famille, comme tous les autres boys d'ailleurs,
Brian aime particulièrement parler de ses parents et de ses grands-parents, qui l'ont beaucoup encouragé. Comme les
autres, il déclare ne pas avoir le temps de sortir avec une blonde mais, comme tout le monde, il affirme vouloir se
marier, un jour, et avoir des enfants.

Pour toute la gang, la famille est la valeur la plus importante. Il s'agit vraiment de cinq beaux gars clean qui chantent
l'amour et qui véhiculent l'espoir. J'espère que tout le monde sera au rendez-vous à TQS pour voir ce groupe de jeunes
lancés d'abord en Europe, mais propulsé en grande partie par l'engouement des Québecoises. Un groupe qui va bientôt
faire un malheur dans le reste du Canada et au États-Unis.


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